Les mangues sont en passe de devenir une culture fourragère à Sédhiou surtout en cette période de forte production. En lieu et place de la paille et du foin, des animaux se gavent chaque jour d’énormes quantités de mangues. C’est le cas de cet âne, trouvé sur l’avenue Ibou Diallo, sur l’axe qui mène vers le fleuve en train de savourer un sac de mangues.
Un geste qui remet sur la table l’épineuse question de la conservation ou de la transformation des fruits en Casamance où des quantités inestimables pourrissent entre les mains des producteurs.
Par Paul FAYE
7 Commentaires
Anonyme
En Juin, 2015 (08:44 AM)Anonyme
En Juin, 2015 (09:32 AM)Anonyme
En Juin, 2015 (09:44 AM)Boy Casa
En Juin, 2015 (09:59 AM)@boy Casa
En Juin, 2015 (10:48 AM)Boy Casa
En Juin, 2015 (11:02 AM)Ma Warou
En Juin, 2015 (14:45 PM)yaw diar nga école de journalisme ? on dirait un texte d'un éléve de cm2
Participer à la Discussion