Les douanes suisses ont saisi 262 kg d'ivoire de contrebande lundi à l'aéroport de Zurich. Les défenses d'éléphant étaient cachées dans huit valises venant de Dar es Salam (Tanzanie) à destination de Pékin via Zurich, précise mardi un communiqué des douanes.
Elles avaient été enregistrées par trois ressortissants chinois. Les défenses avaient été sciées pour entrer dans les valises et elles étaient accompagnées d'un kg de crocs et de griffes de lions. Au marché noir la valeur de l'ivoire est estimée à 400.000 francs suisses (377.000 euros). Les trafiquants encourent de fortes amendes et la marchandise a été saisie, précise le communiqué.
Elles avaient été enregistrées par trois ressortissants chinois. Les défenses avaient été sciées pour entrer dans les valises et elles étaient accompagnées d'un kg de crocs et de griffes de lions. Au marché noir la valeur de l'ivoire est estimée à 400.000 francs suisses (377.000 euros). Les trafiquants encourent de fortes amendes et la marchandise a été saisie, précise le communiqué.
Espèces menacées d'extinction
La Suisse est signataire de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction, la CITES ou Convention de Washington. Jeudi dernier l'ONU a appelé ses 193 pays membres à combattre plus efficacement le commerce illégal des espèces sauvages, comme les éléphants et les rhinocéros, qui sont menacés de disparition.
Inquiétude
Dans une résolution non contraignante, la première du genre, l'Assemblée générale des Nations unies "se déclare très inquiète de l'augmentation continue du braconnage des rhinocéros et du nombre alarmant d'éléphants tués en Afrique. Il reste 470.000 éléphants d'Afrique à l'état sauvage, selon le décompte de l'ONG Elephants Without Borders (EWB), contre 550.000 en 2006.
La Suisse est signataire de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction, la CITES ou Convention de Washington. Jeudi dernier l'ONU a appelé ses 193 pays membres à combattre plus efficacement le commerce illégal des espèces sauvages, comme les éléphants et les rhinocéros, qui sont menacés de disparition.
Inquiétude
Dans une résolution non contraignante, la première du genre, l'Assemblée générale des Nations unies "se déclare très inquiète de l'augmentation continue du braconnage des rhinocéros et du nombre alarmant d'éléphants tués en Afrique. Il reste 470.000 éléphants d'Afrique à l'état sauvage, selon le décompte de l'ONG Elephants Without Borders (EWB), contre 550.000 en 2006.
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