
Dans son argumentaire, M. Al Farra a souligné : «L’adhésion de la Palestine à l’Onu est un droit naturel. C’est la revendication de son droit à l’autodétermination et à vivre libre et en paix». «Les négociations ne peuvent être sérieuses que si elles sont basées sur les principes de la légalité internationale, telles qu’annoncées dans les résolutions 194, 242 et 338 du Conseil de sécurité. Pour preuve, le droit à la liberté est garanti par l’ensemble des chartes et des conventions internationales, y compris la charte et les résolutions des Nations-Unies, notamment la résolution 181 de l’Assemblée générale de l’Onu», a-t-il poursuivi. À l'en croire, «cette lutte vise à mettre fin à l’occupation israélienne, la création d’un État démocratique et indépendant, sur l’ensemble du territoire palestinien, occupé depuis juin 1967 par Israël».
Très en verve, l'ambassadeur a martelé : «Cette fois-ci, la Palestine n’est pas seule dans ce combat, et nous continuerons jusqu’à obtenir notre indépendance». Abdalrahim Al Farra d'avertir : «Si la Palestine n’est pas reconnue, il n’y aura pas de paix dans le monde». Car, a-t-il argumenté, «plus de 127 pays africains et arabes soutiennent la revendication des Palestiniens».
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