Deux parmi les trois présumés meurtriers de quatre touristes français membres d’une même famille française, tués en Mauritanie le lundi 24 décembre dernier, près d’Aleg, dans l’est du pays, ont été arrêtés. Selon la Rfm qui donne l’information, c’est en Guinée Bissao que la cavale des assaillants des français s’est terminée. Aucune autre information sur l’identité des personnes arrêtées et sur les conditions de leur arrestation n’a été livrée par les forces de sécurité.
Les faits s’étaient passés le 24 décembre à Aleg, ville située à 250km au sud-est de la capitale Nouakchott. Les trois meurtriers ont surpris les cinq Français en train de prendre une collation vers 11h sur le bord de la route et les ont sommés de remettre leur argent, selon la police. Après s’être emparé du butin, les assaillants ont tiré une rafale d’arme automatique sur les cinq ressortissants français, tuant immédiatement quatre d’entre eux. Les corps des victimes avaient été abandonnés sur place. La police menait des recherches pour tenter d’identifier et d’arrêter les assaillants, qui ont pris la fuite à bord d’une Mercedes blanche, avait précisé le chef de la police d’Aleg. Ce véhicule a ensuite été retrouvé abandonné par les agresseurs.
Depuis les recherches s’organisaient à la frontière entre le Sénégal et le Mali où les gendarmes ont dressé des barrages dès le premier jour des évènements. Le Mali avait aussi été mis à contribution dans cette affaire qui a mobilisé l’Elysée. Aucune information sur des recherches engagées en Guinée Bissao n’avait été livrée par la presse.
Les faits s’étaient passés le 24 décembre à Aleg, ville située à 250km au sud-est de la capitale Nouakchott. Les trois meurtriers ont surpris les cinq Français en train de prendre une collation vers 11h sur le bord de la route et les ont sommés de remettre leur argent, selon la police. Après s’être emparé du butin, les assaillants ont tiré une rafale d’arme automatique sur les cinq ressortissants français, tuant immédiatement quatre d’entre eux. Les corps des victimes avaient été abandonnés sur place. La police menait des recherches pour tenter d’identifier et d’arrêter les assaillants, qui ont pris la fuite à bord d’une Mercedes blanche, avait précisé le chef de la police d’Aleg. Ce véhicule a ensuite été retrouvé abandonné par les agresseurs.
Depuis les recherches s’organisaient à la frontière entre le Sénégal et le Mali où les gendarmes ont dressé des barrages dès le premier jour des évènements. Le Mali avait aussi été mis à contribution dans cette affaire qui a mobilisé l’Elysée. Aucune information sur des recherches engagées en Guinée Bissao n’avait été livrée par la presse.
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