L'avocat Tony Buzbee, qui avait déjà déposé six plaintes lundi dernier, en a déposé cinq de plus contre le rappeur Diddy, ce dimanche soir à New York. L'une des plaintes accuse le rappeur d'avoir violé et drogué une enfant de 13 ans en présence de deux «célébrités».
Une avalanche de plaintes au contenu terrifiant. Le cabinet d'avocats Buzbee, qui avait annoncé le 1er octobre qu'il allait intenter 120 poursuites supplémentaires contre le rappeur Sean «Diddy» Combs, a déposé cinq nouvelles plaintes dimanche soir dans le district sud de New York.
Parmi les nouvelles plaintes, une plaignante accuse le rappeur de l'avoir droguée et violée quand elle avait 13 ans, et ce en compagnie d'une «célébrité masculine» pendant qu'une «célébrité féminine» les regardait.
Les faits auraient eu lieu le 7 septembre 2000, lorsque la fille en question a voulu assister aux MTV Video Music Awards. Dans sa plainte - dont le contenu est relayé par la presse américaine ce lundi - elle explique n'avoir pas pu entrer dans la salle sans billet et être alors entrée en contact avec plusieurs chauffeurs de limousine après l'événement, pour voir si elle pouvait assister à une afterparty. L'un des chauffeurs de Diddy l'aurait conduite à une fête, où elle a signé un accord de confidentialité et accepté un verre.
Après avoir bu ce verre, elle dit avoir «commencé à se sentir étourdie» et s’être dirigée vers une chambre vide pour s’allonger. Peu de temps après, Diddy serait entré dans la pièce avec «une célébrité masculine et une célébrité féminine». La victime présumée affirme ensuite avoir été violée par la célébrité masculine pendant que la célébrité féminine regardait, avant d’être violée par Diddy pendant que les deux célébrités regardaient.
La plainte indique qu’après les viols, la plaignante «est tombée dans une profonde dépression qui continue d’affecter tous les aspects de sa vie».
L'identité des personnalités encore secrète
Aucune information supplémentaire n'est donnée sur l’identité des célébrités visées, mais il est désormais de notoriété publique que les soirées tristement célèbres de Diddy ont attiré de nombreuses stars au fil des années.
«Nous laisserons les accusations contenues dans les plaintes déposées parler d’elles-mêmes et nous nous efforcerons de faire en sorte que justice soit rendue», a déclaré l'avocat Tony Buzbee dans un communiqué, dimanche, notamment relayé par NBC News. «Nous prévoyons de déposer des dossiers chaque semaine désignant M. Combs et d’autres comme accusés, alors que nous continuons de rassembler des preuves et de préparer les dossiers», a ajouté l’avocat qui a déclaré que plus de 120 autres victimes présumées de Diddy sont sur le point de se faire connaître et de passer devant les tribunaux prochainement.
Les avocats de Diddy avaient nié toutes les accusations peu de temps après que l’avocat avait annoncé leur intention de déposer ces plaintes. «M.Combs nie catégoriquement et déclare fausse et diffamatoire toute allégation selon laquelle il aurait abusé sexuellement de quiconque, y compris de mineurs», a déclaré une des avocates du rappeur, Erica Wolff, à DailyMail.com. «Il a hâte de prouver son innocence et de se disculper devant le tribunal, où la vérité sera établie sur la base de preuves et non de spéculations», avait-elle ajouté, tandis que l'équipe juridique de Diddy demandait à ce que l'anonymat des victimes présumées soit levé.
Diddy est actuellement incarcéré au Metropolitan Detention Center de Brooklyn après avoir été arrêté en septembre par la Sécurité intérieure pour racket et trafic sexuel.
L’ancien magnat du hip-hop s’est vu refuser la libération sous caution par deux juges différents, et devrait rester derrière les barreaux jusqu'à son procès en mai prochain. Dans le cadre de ce procès pénal, il risque la prison à vie.
4 Commentaires
Amax
En Octobre, 2024 (14:39 PM)-
Je viens de vérifier et c'est vrai : « Aux États-Unis, 72% des enfants noirs grandissent dans des familles monoparentales – c’est à dire sans père à la maison –, pour une moyenne américaine de 25% et de seulement 19% chez les Blancs. »
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En Octobre, 2024 (15:03 PM)Cela signifie que pour les Afro-américains, engrosser une fille et partir et qu'elle élève l'enfant seule c'est le modèle familial normal dans leur culture. C'est une situation unique au monde. Exactement à l'opposé des Américains toubabs.
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tu vois jusqu'où peut aller la lacheté d'un américain noir, pffff
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{comment_ads}Pffffffff
En Octobre, 2024 (16:01 PM)et maintenant ce sont ces gens que vous prenez en référence...
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C’est comme cela dans les sociétés esclavagiste. L’homme est un géniteur pas un père. L’héritage lourd du passé
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En Octobre, 2024 (17:02 PM)Thiey
En Octobre, 2024 (16:39 PM)BoulfalÈ
En Octobre, 2024 (19:52 PM)Participer à la Discussion