Du 24 au 25 octobre, Dakar organise la 8e édition du forum international sur la paix et la sécurité en Afrique. Le rendez-vous de cette année sera placé sous le sceau de la résilience du continent africain face aux nombreux tumultes rencontrés au cours de l’année écoulée. Les discussions tourneront autour du thème : « L’Afrique à l’épreuve des chocs exogènes : défis de stabilité et de souverainetés ». En prélude à ce forum, une cérémonie de lancement s’est tenue ce jeudi 8 septembre sous la houlette de la ministre des affaires étrangères, Aissata Tall Sall. La patronne de la diplomatie sénégalaise a profité de l’occasion pour aborder la question de la force africaine en attente (appartenant à l’Union Africaine) lors de la conférence de presse. Pour la ministre, les difficultés que rencontre ce contingent sont au nombre de deux : l’insuffisance de ressources humaines et le manque de moyens financiers.
« Quand on parle de force, déjà, c’est le facteur humain qui intervient en premier, dit-elle. Il faut donc que dans tous nos États, avec nos armées régulières et constituées, soient les pourvoyeurs en hommes expérimentés de cette force africaine en attente ».
Elle ajoute : « L’autre chose qui manque à cette force, ce sont les financements. Vous avez entendu le président Macky Sall dire depuis quelques jours qu’il nous faut repenser l’intervention du système des nations unies sur le théâtre d’opération ; il faut repenser le maintien de la paix. En pensant qu’il est fondamental de faire avec ce que nous avons comme force locale avant de nous ouvrir à des forces extérieures. »
9 Commentaires
Vous n'avez pas honte.Toujours mendier et quemander.
L'occident qui finance et qui a mis cette fausse force vous dirigera toujours.
A quand l'independance?
Vive l'Afrique Libre.
Van Damm
En Septembre, 2022 (00:02 AM)chimmmmmmmm
Me
En Septembre, 2022 (23:43 PM)Participer à la Discussion