Ce jeune avait écrit dans un courriel que « quatre bombes » avaient été placées dans un établissement, provoquant l’évacuation d’un lycée d’Ingersheim (Haut-Rhin)
Un adolescent de 16 ans a été mis en examen mardi à Montauban pour une fausse alerte à la bombe ayant provoqué l’évacuation d’un lycée d’Ingersheim (Haut-Rhin) le 17 octobre, a appris l’AFP ce mercredi 1er novembre auprès du parquet.
Disant agir au nom « des soldats d’Allah », ce jeune - « a priori pas du tout radicalisé », selon le parquet- avait écrit dans un courriel que « quatre bombes » avaient « été placées dans la nuit dans le lycée, le gymnase et à l’extérieur ».
« C’est un adolescent lambda qui n’a pas du tout mesuré la portée de ses agissements (...) C’est un manque total de discernement d’adolescent », a encore précisé le parquet.
Trois établissements évacués
Interpellé grâce au travail d’enquête des cybergendarmes, il a passé une trentaine d’heures en garde à vue, avant d’être mis en examen pour avoir communiqué « une fausse information dans le but de faire croire qu’une destruction va être ou a été commise ».
Le 17 octobre, trois établissements avaient été évacués après des courriels menaçants en Alsace, dont un collège-lycée à Ingersheim.
Ces fausses alertes se sont multipliées en France dans les établissements scolaires, les aéroports ou les musées, dans les jours suivant l’assassinat de Dominique Bernard, professeur à Arras (Pas-de-Calais) le 13 octobre par un jeune Russe, originaire d’Ingouchie, dans le Caucase, et fiché pour radicalisation islamiste depuis février 2021.
Un adolescent de 16 ans a été mis en examen mardi à Montauban pour une fausse alerte à la bombe ayant provoqué l’évacuation d’un lycée d’Ingersheim (Haut-Rhin) le 17 octobre, a appris l’AFP ce mercredi 1er novembre auprès du parquet.
Disant agir au nom « des soldats d’Allah », ce jeune - « a priori pas du tout radicalisé », selon le parquet- avait écrit dans un courriel que « quatre bombes » avaient « été placées dans la nuit dans le lycée, le gymnase et à l’extérieur ».
« C’est un adolescent lambda qui n’a pas du tout mesuré la portée de ses agissements (...) C’est un manque total de discernement d’adolescent », a encore précisé le parquet.
Trois établissements évacués
Interpellé grâce au travail d’enquête des cybergendarmes, il a passé une trentaine d’heures en garde à vue, avant d’être mis en examen pour avoir communiqué « une fausse information dans le but de faire croire qu’une destruction va être ou a été commise ».
Le 17 octobre, trois établissements avaient été évacués après des courriels menaçants en Alsace, dont un collège-lycée à Ingersheim.
Ces fausses alertes se sont multipliées en France dans les établissements scolaires, les aéroports ou les musées, dans les jours suivant l’assassinat de Dominique Bernard, professeur à Arras (Pas-de-Calais) le 13 octobre par un jeune Russe, originaire d’Ingouchie, dans le Caucase, et fiché pour radicalisation islamiste depuis février 2021.
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