Le corps avait été découvert mardi matin par un couple d'agriculteurs dans son champ à Signy-L’Abbaye ( Ardennes), deux jours après le signalement de la disparition. L’autopsie a confirmé ce que tout le monde savait déjà. Il s’agit bien du corps de Valentin Gomes. Porté disparu depuis le samedi 2 octobre, l’étudiant de 23 ans inscrit à Polytech Lille participait à un week-end d’intégration quand il a disparu dans la nuit de samedi à dimanche. « L’autopsie réalisée à l’institut médico-légal de Reims ne permet pas de déterminer à ce stade la cause de la mort » ni de « retrouver de trace objective de l’intervention volontaire d’un tiers ayant causé une lésion », a fait savoir le procureur de Charleville-Mézières, Laurent de Caigny.
Selon l’autopsie, « le décès est survenu au lieu de découverte du cadavre » et « les blessures superficielles relevées paraissent compatibles avec des écorchures pouvant résulter d’un frottement accidentel sur une végétation épineuse, voire sur un fil de fer barbelé type clôture de champ ». Le parquet n’exclut pas pour autant la piste criminelle. « À ce stade l’enquête reste criminelle, rien n’excluant cette hypothèse, le trajet du défunt depuis son départ de la soirée jusqu’à sa mort restant à préciser pour en comprendre la raison, le sens et les interactions éventuelles avec un tiers », ajoute le parquet, précisant que « les auditions de témoins se poursuivent ». « Seules les analyses toxicologiques et anatomopathologiques des prélèvements réalisés lors de l’autopsie pourront éclairer le déterminisme mortel », précise le communiqué.
Selon l’autopsie, « le décès est survenu au lieu de découverte du cadavre » et « les blessures superficielles relevées paraissent compatibles avec des écorchures pouvant résulter d’un frottement accidentel sur une végétation épineuse, voire sur un fil de fer barbelé type clôture de champ ». Le parquet n’exclut pas pour autant la piste criminelle. « À ce stade l’enquête reste criminelle, rien n’excluant cette hypothèse, le trajet du défunt depuis son départ de la soirée jusqu’à sa mort restant à préciser pour en comprendre la raison, le sens et les interactions éventuelles avec un tiers », ajoute le parquet, précisant que « les auditions de témoins se poursuivent ». « Seules les analyses toxicologiques et anatomopathologiques des prélèvements réalisés lors de l’autopsie pourront éclairer le déterminisme mortel », précise le communiqué.
Ni suicidaire ni dépressif selon ses camarades
Etudiant au sein de l’école d’ingénieurs de Lille et originaire de la région de Rennes, Valentin Gomes n’était pas décrit « comme suicidaire ou dépressif par ses camarades », précise le parquet. Il était alcoolisé quand il a quitté la soirée de samedi et n’était pas revenu au camping. Face aux réactions suscitées par sa disparition, de nombreux internautes avaient critiqué l'organisation du week-end d'intégration. « Il n’y a jamais eu de bizutage à Polytech », martèlent les participants.
Etudiant au sein de l’école d’ingénieurs de Lille et originaire de la région de Rennes, Valentin Gomes n’était pas décrit « comme suicidaire ou dépressif par ses camarades », précise le parquet. Il était alcoolisé quand il a quitté la soirée de samedi et n’était pas revenu au camping. Face aux réactions suscitées par sa disparition, de nombreux internautes avaient critiqué l'organisation du week-end d'intégration. « Il n’y a jamais eu de bizutage à Polytech », martèlent les participants.
0 Commentaires
Participer à la Discussion