Au Brésil, une femme aurait été enterrée vivante puis tenté pendant onze jours de sortir de son cercueil, avant de finalement succomber.
À 37 ans, Rosangela est officiellement décédée le 29 janvier d'un choc septique, à en croire son certificat de décès. Enterrée le lendemain dans une commune du nord-est du Brésil, elle aurait pendant onze jours tenté de sortir de son cercueil rapporte le média G1. Ce sont des proches de la défunte qui, le 9 février, ont été alertés par des riverains du cimetière comme Natalina :
"Je me suis rendue en face de la tombe et j’ai entendu plusieurs fois taper. J’ai pensé que des enfants jouant par là me faisaient une blague. Puis j’ai encore entendu gémir deux fois, et plus rien".
Le corps encore chaud
Le doute a poussé les habitants de la commune a déterré le cercueil à la nuit tombée :
"De très nombreuses personnes ont assisté à l’ouverture du cercueil ce soir-là et ont touché le corps de Rosangela. Il n’était pas froid, il était chaud" a détaillé Ana, présente à ce moment-là
18 Commentaires
Anonyme
En Février, 2018 (10:15 AM)Anonyme
En Février, 2018 (10:58 AM)Thiessois
En Février, 2018 (11:25 AM)Baye Fall
En Février, 2018 (11:29 AM)Anonyme
En Février, 2018 (11:38 AM)Anonyme
En Février, 2018 (12:02 PM)Anonyme
En Février, 2018 (12:08 PM)Hke
En Février, 2018 (12:29 PM)Anonyme
En Février, 2018 (12:31 PM)M. Antonio B..., écrivain de mérite, estimé de ses concitoyens, ayant
rempli avec distinction et intégrité des fonctions publiques en
Lombardie, tomba, vers 1850, à la suite d'une attaque d'apoplexie, dans
un état de mort apparente qu'on prit malheureusement, comme cela
arrive quelquefois, pour la mort réelle. L'erreur était d'autant plus facile
qu'on avait cru apercevoir sur le corps des signes de décomposition.
Quinze jours après l'enterrement, une circonstance fortuite détermina la
famille à demander l'exhumation ; il s'agissait d'un médaillon oublié par
mégarde dans le cercueil ; mais la stupeur des assistants fut grande
quand à l'ouverture, on reconnut que le corps avait changé de position,
qu'il s'était retourné, et, chose horrible ! qu'une des mains était en partie
mangée par le défunt. Il fut alors manifeste que le malheureux Antonio
B... avait été enterré vivant ; il avait dû succomber sous les étreintes du
désespoir et de la faim.
Anonyme
En Février, 2018 (12:38 PM)Sans compter les deums c pays est pays de merde
Yatt
En Février, 2018 (13:39 PM)Les cercueils brésiliens ne sont-ils pas scellés ? Disposent-ils d'appareils respiratoires et de "kits de survie" comme l'affirme la réponse menteuse au post 7 ? Au-delà de la respiration combien de temps un organisme humain (de plus malade pour le cas d'espèce) peut se passer d'eau ?
Les revues de médecine engagent le pronostic vital à partir de 3 jours !!!
Maintenant nous voudrions échanger sur l'objet des mensonges et affabulations qui se déversent de façon massive et inquiétante sur le net :
- soit par des journaux (7 sur 7 be. nous a gratifié d'un vétéran de la seconde guerre mondiale de 88 ans ayant battu une bande 5 jeunes agresseurs pour sauver une jeune femme, oubliant qu'à cet âge, cet homme aurait gagné cette guerre à .... moins de 15 ans d’âge !!!),
- soit par des internautes (on nous a annoncé via les réseaux sociaux que la SDE serait en grève le 16 février à partir de minuit, et même sur l’article que nous commentons, un mythomane téméraire nous a gratifié d’un "en Europe les cercueils sont équipés de kit de survie").
Le phénomène des "nouvelles mensongères" devient quand même préoccupant !!!
La question est pourquoi ?
Anonyme
En Février, 2018 (15:02 PM)Anonyme
En Février, 2018 (15:19 PM)Par contre la femme qui entend des bruits et gémissements et ne fait aucun rapprochement, devra vivre avec ça.
Anonyme
En Février, 2018 (15:47 PM)Anonyme
En Février, 2018 (03:27 AM)Anonyme
En Février, 2018 (09:05 AM)Anonyme
En Février, 2018 (09:41 AM)En 1864, au Pays de Galles, des pêcheurs amenèrent un jour au port un jeune noyé qu'ils avaient remonté dans leur filet. L'adolescent fut transporté dans l'église car le village ne possédait pas de morgue. Un médecin venu du bourg l'examina et confirma son décès par noyade. C'était jour de marché. Toute la journée, les habitants des environs défilèrent devant le corps du jeune homme pour essayer de le reconnaître. En vain. Le lendemain, après une brève cérémonie, l'inconnu allait être inhumé anonymement, lorsque, à l'instant même où le menuisier venait de planter le dernier cloue dans le couvercle de son cercueil, il se réveilla et poussa un grand cri. Le jeune homme venait d'Irlande et son bateau de pêche avait fait naufrage. Il vécut encore de nombreuses années, en "bon chrétien" précise le narrateur, sans aucune séquelle.
Un jour de 1972, dans un cimetière de la région parisienne, des fossoyeurs perçoivent soudain des bruits sourds provenant d'une tombe. Celle-là même où, la veille, ils ont descendu un cercueil. La police est aussitôt alertée. Pourtant, après vérification, il s'avère que le mort est bien mort. Alors ? Hallucination collective ou dernier appel désespéré d'un enterré vivant ? Personne ne le saura jamais. Toujours est-il malgré les progrès de la science, le risque d'être enterré par erreur, alors qu'on n'est pas encore mort, existe. C'est ce qu'affirme le docteur Peron-Autret dans son livre Les Enterrés Vivants, publié aux éditions Balland. Ce risque, il l'évalue, en France, à 4% des inhumations ! Etre enterré vivant était une des grandes peurs du Moyen-Age. Du reste, les croque-morts doivent leur nom au fait qu'ils mordaient un orteil du défunt pour s'assurer qu'il était bien mort. Et récemment encore, les notaires découvraient dans les testaments des dernières volontés pour le moins surprenantes, du style : « Je veux qu'on me brûle la plante des pieds avec une bougie » ou « j'exige qu'on me transperce la main avec une aiguille à tricoter avant de me mettre en bière »'
Si, autrefois, les plus fortunés demandaient à ce qu'on installe des clochettes dans leur cercueil au cas où ils se réveilleraient, certains, aujourd'hui, n'hésitent pas à se faire enterrer avec leur téléphone ! Pour ne plus avoir qu'à décrocher et éventuellement prévenir qu'ils sont « ressuscités » ! De nombreux G.I américains n'ont malheureusement pas eu cette chance.
Enterrés vivants, personne n'a jamais entendu leurs appels. En ouvrant les cercueils pour procéder à diverses formalités lors du transport aux Etats-Unis, on a alors constaté dans de nombreux cas que le corps avait bougé. Mais il y a pire encore, certains avaient dévoré leur linceul et leurs mains ! Toutes choses qu'on a retrouvées dans leur estomac. Preuve qu'ils ont été absorbés et digérés par un organisme encore en vie.
Anonyme
En Février, 2018 (11:39 AM)Participer à la Discussion