Une nouvelle tentative d’arrestation de Yoon Suk Yeol, à son domicile, est actuellement empêchée par le service de sécurité présidentiel sud-coréen ce mercredi 15 janvier 2025. Malgré leur mandat d’arrêt à l’encontre du président suspendu, les enquêteurs affirment être « dans une impasse » et même engagés dans un « affrontement physique » avec la garde rapprochée de Yoon Suk Yeol.
Les enquêteurs venus arrêter mercredi 15 janvier 2025 (mardi en fin de soirée, heure française) le président sud-coréen suspendu Yoon Suk Yeol à son domicile pour sa tentative ratée d’imposer la loi martiale sont engagés dans un nouveau face-à-face contre sa garde rapprochée qui bloque leur opération, a constaté l’Agence France Presse.
Les agents du CIO, l’entité qui centralise les investigations sur Yoon Suk Yeol, sont dans une impasse face au Service de sécurité présidentiel (PSS) après avoir montré leurs mandats , dont un ordre d’arrêt, a rapporté pour sa part l’agence de presse Yonhap.
Les enquêteurs venus arrêter mercredi 15 janvier 2025 (mardi en fin de soirée, heure française) le président sud-coréen suspendu Yoon Suk Yeol à son domicile pour sa tentative ratée d’imposer la loi martiale sont engagés dans un nouveau face-à-face contre sa garde rapprochée qui bloque leur opération, a constaté l’Agence France Presse.
Les agents du CIO, l’entité qui centralise les investigations sur Yoon Suk Yeol, sont dans une impasse face au Service de sécurité présidentiel (PSS) après avoir montré leurs mandats , dont un ordre d’arrêt, a rapporté pour sa part l’agence de presse Yonhap.
Le PSS avait déjà fait échouer leur premier essai le 3 janvier dernier.
Les enquêteurs engagés dans un « affrontement physique »
Deux véhicules des enquêteurs étaient arrivés à son domicile avant l’aube mercredi, d’après Yonhap.
Des directs télévisés ont montré des effectifs du CIO, accompagnés de la police, tenter d’entrer dans la résidence de Yoon Suk Yeol mais être bloqués par des personnes non-identifiées.
Les enquêteurs, qui ont prévenu qu’ils appréhenderaient toute personne faisant obstruction, sont engagés dans un affrontement physique alors qu’ils essaient d’entrer par la force dans la résidence présidentielle , a affirmé Yonhap.
Les enquêteurs venus arrêter mercredi 15 janvier 2025 (mardi en fin de soirée, heure française) le président sud-coréen suspendu Yoon Suk Yeol à son domicile pour sa tentative ratée d’imposer la loi martiale sont engagés dans un nouveau face-à-face contre sa garde rapprochée qui bloque leur opération, a constaté l’Agence France Presse.
3 Commentaires
Xeme
il y a 2 semaines (08:04 AM)Chez nous, un mensonge covid19 avec ses poisons vaccins "sûrs et efficaces ", pour réduire la population en tuant et rendant infertile, a permis à un tyran de se faire voter une loi d'habilitation, d'enrichir ses proches de 1000 milliards, d'enfermer tout un peuple pour faire s'écrouler l'économie au motif qu'il y a un virus dangereux qui apparaît entre 22H et 6H, selon les heures fixées en conseils des ministres, et ce tyran est applaudi par certains comme un héros visionnaire.
Toute Honte Bue
il y a 2 semaines (11:31 AM)Dans leur nouvelle tentative pour arrêter Yoon Suk Yeol, les forces de l’ordre avaient mobilisé des milliers de policiers afin de prendre l’avantage sur le service de sécurité.
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