La courbe d’infection monte quasiment à la verticale en Inde, avec plus de 55 000 nouvelles infections au Covid-19 détectées en 24 heures ; l’augmentation du nombre de nouveaux cas grimpe de 55% en une journée. La troisième vague indienne débute donc fortement, et même si les cas sont peu sévères, les autorités prennent des précautions et imposent des couvre-feux et confinements partiels.
L’essentiel des régions indiennes comme le Maharashtra, le Pendjab ou le Bihar interdisent les déplacements non essentiels à partir de 22h. En plus de cela, les deux États urbanisés de Delhi et du Karnataka, où se trouve Bangalore, imposent un confinement pendant les week-ends.
Omicron moins vulnérable que Delta
La plupart des écoles, cinémas, salles de sport sont fermées dans tout le pays et les autres rassemblements publics sont très limités sauf, étonnement, ceux menés dans le cadre des élections régionales à venir. Beaucoup craignent d’ailleurs que la campagne pour le scrutin de mars prochain, dans l’État le plus peuplé du pays, l’Uttar Pradesh, se transforme en un cluster géant.
L’infection par le variant Omicron est fulgurante, mais l’essentiel des cas sont soit asymptomatiques, soit très légers. Plus important - la plupart des malades ne semblent pas nécessiter d’assistance respiratoire, alors que c’est ce besoin d’oxygène qui avait mis les hôpitaux indiens à genoux au printemps dernier, à cause de l’infection au variant Delta.
La plupart des écoles, cinémas, salles de sport sont fermées dans tout le pays et les autres rassemblements publics sont très limités sauf, étonnement, ceux menés dans le cadre des élections régionales à venir. Beaucoup craignent d’ailleurs que la campagne pour le scrutin de mars prochain, dans l’État le plus peuplé du pays, l’Uttar Pradesh, se transforme en un cluster géant.
L’infection par le variant Omicron est fulgurante, mais l’essentiel des cas sont soit asymptomatiques, soit très légers. Plus important - la plupart des malades ne semblent pas nécessiter d’assistance respiratoire, alors que c’est ce besoin d’oxygène qui avait mis les hôpitaux indiens à genoux au printemps dernier, à cause de l’infection au variant Delta.
0 Commentaires
Participer à la Discussion