Deux vols de la compagnie Air France entre les Etats-Unis et Paris, l'un au départ de Los Angeles et l'autre de Washington, ont été déroutés dans la nuit de mardi à mercredi à la suite de menaces anonymes, a-t-on appris auprès des autorités et du transporteur aérien.
Les quelque 700 passagers et membres d'équipage qui se trouvaient à bord des deux appareils ont pu débarquer sans encombre et des inspections ont été lancées pour vérifier les appareils, les passagers et les bagages.
Les agents fédéraux du FBI ont dit n'avoir aucun élément attestant que les menaces contre le vol au départ de Los Angeles étaient crédibles.
Le vol AF065 entre Los Angeles et Paris-Charles de Gaulle et le vol AF055 entre Washington et Paris-Charles de Gaulle ont atterri "par mesure de précaution pour permettre l'inspection des appareils, des passagers et des bagages", a précisé un porte-parole d'Air France.
Les quelque 700 passagers et membres d'équipage qui se trouvaient à bord des deux appareils ont pu débarquer sans encombre et des inspections ont été lancées pour vérifier les appareils, les passagers et les bagages.
Les agents fédéraux du FBI ont dit n'avoir aucun élément attestant que les menaces contre le vol au départ de Los Angeles étaient crédibles.
Le vol AF065 entre Los Angeles et Paris-Charles de Gaulle et le vol AF055 entre Washington et Paris-Charles de Gaulle ont atterri "par mesure de précaution pour permettre l'inspection des appareils, des passagers et des bagages", a précisé un porte-parole d'Air France.
L'Airbus A380 assurant le vol AF065 s'est posé à Salt Lake City, dans l'Utah, où les 473 passagers et 24 membres d'équipage ont été escortés jusqu'à un terminal, a déclaré un porte-parole de l'Aviation civile américaine (FAA).
Les inspections menées à bord n'ont rien révélé et, selon plusieurs médias de l'Utah dont la chaîne de télévision KSL, les passagers ont été autorisés à remonter à bord pour poursuivre leur vol.
Le Boeing 777-300 assurant le vol AF055 au départ de la capitale fédérale s'est posé pour sa part sur l'aéroport canadien de Halifax, en Nouvelle-Ecosse. Ses 262 passagers et membres d'équipage ont débarqué sans encombre, indique la gendarmerie royale du Canada (GRC) sur son compte Twitter.
Dans un bref communiqué, Air France a confirmé que ses deux vols "ont fait l'objet de menaces anonymes reçues par appel téléphonique après leurs décollages respectifs".
Les inspections menées à bord n'ont rien révélé et, selon plusieurs médias de l'Utah dont la chaîne de télévision KSL, les passagers ont été autorisés à remonter à bord pour poursuivre leur vol.
Le Boeing 777-300 assurant le vol AF055 au départ de la capitale fédérale s'est posé pour sa part sur l'aéroport canadien de Halifax, en Nouvelle-Ecosse. Ses 262 passagers et membres d'équipage ont débarqué sans encombre, indique la gendarmerie royale du Canada (GRC) sur son compte Twitter.
Dans un bref communiqué, Air France a confirmé que ses deux vols "ont fait l'objet de menaces anonymes reçues par appel téléphonique après leurs décollages respectifs".
"Par mesure de précaution et afin de procéder à des contrôles, Air France a décidé en application des mesures de sûreté en vigueur de faire atterrir les deux appareils", poursuit la compagnie aérienne.
La sécurité dans le transport aérien est en alerte renforcée depuis les attentats commis vendredi soir à Paris et Saint-Denis qui ont fait 129 morts revendiqués par l'organisation Etat islamique (EI).
Le mouvement djihadiste armé a également revendiqué la destruction vol d'un avion charter russe le 31 octobre au-dessus du Sinaï qui a fait 224 morts. Les autorités russes sont parvenues à la conclusion que l'appareil qui devait effectuer la liaison entre la station balnéaire égyptienne de Charm el Cheikh et Saint-Pétersbourg a été la cible d'un attentat à la bombe.
La sécurité dans le transport aérien est en alerte renforcée depuis les attentats commis vendredi soir à Paris et Saint-Denis qui ont fait 129 morts revendiqués par l'organisation Etat islamique (EI).
Le mouvement djihadiste armé a également revendiqué la destruction vol d'un avion charter russe le 31 octobre au-dessus du Sinaï qui a fait 224 morts. Les autorités russes sont parvenues à la conclusion que l'appareil qui devait effectuer la liaison entre la station balnéaire égyptienne de Charm el Cheikh et Saint-Pétersbourg a été la cible d'un attentat à la bombe.
(avec Tangi Salaün à Paris; Henri-Pierre André pour le service français)
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