
Protestation en Inde après que deux foyers pour étudiantes de l'Université de Delhi ont enfermé leurs pensionnaires durant la nuit du 12 au 13 mars, pendant la grande fête du Holi.
Un couvre-feu justifié par la ministre du Développement des femmes comme une «protection des jeunes contre leurs explosions hormonales». Le «festival des couleurs», pendant lequel tout le pays s'asperge de pigments et de bombes à eau et s'abreuve de bhang thandai, une boisson au cannabis, est l'occasion d'attouchements et de harcèlement envers les filles.
La phrase rituelle «Bura na mano, Holi hai», «Ne soyez pas fâchée, c'est la Holi», étant censée excuser tous les débordements.
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