Jean-Luc Mélenchon n'envisage pas d'être lui-même candidat aux législatives des 12 et 19 juin, a indiqué vendredi sur France 2 l'ancien candidat LFI à la présidentielle, artisan d'un accord électoral entre LFI, le PS, EELV et le PCF.
Jean-Luc Mélenchon n'envisage pas d'être lui-même candidat aux législatives des 12 et 19 juin, a indiqué ce vendredi 6 juin sur France 2 l'ancien candidat LFI à la présidentielle, artisan d'un accord électoral entre LFI, le PS, EELV et le PCF.
????? L'accord conclu entre LFI, EELV, et PS et le PCF est "un réflexe de rassemblement face à un épisode annoncée de maltraitance sociale aggravée", déclare @JLMelenchon au #JT20H de @France2tv pic.twitter.com/QpxXmR5Q57
— Info France 2 (@infofrance2) May 6, 2022
Jean-Luc Mélenchon n'envisage pas d'être lui-même candidat aux législatives des 12 et 19 juin, a indiqué ce vendredi 6 juin sur France 2 l'ancien candidat LFI à la présidentielle, artisan d'un accord électoral entre LFI, le PS, EELV et le PCF.
"Ce n’est pas nécessaire", a justifié le leader de la Nouvelle union populaire, écologique et sociale (Nupes). Jean-Luc Mélenchon estime notamment que les sept millions de voix engrangées au 1er tour de la présidentielle.
Mélenchon, rassembleur de la gauche française
Quatorze ans après avoir claqué la porte du Parti socialiste (PS), Jean-Luc Mélenchon est parvenu à s'imposer comme chef de file de la gauche française, point culminant d'une carrière politique émaillée de joutes oratoires, de campagnes novatrices et de positions controversées.
L'accord arraché cette semaine aux écologistes, aux socialistes et aux communistes en vue des élections législatives de juin sonne comme une revanche pour le leader de la France insoumise (LFI, gauche radicale), longtemps minoritaire au sein du PS.
A 70 ans, l'ex-sénateur socialiste, au verbe haut et au caractère "éruptif" - selon ses mots - voit sa stratégie de cavalier seul in fine couronnée de succès, même si seul le temps pourra dire s'il s'agit d'un épiphénomène ou d'une étape historique pour la gauche française. "Il doit se régaler de sa vengeance sur le PS, de pouvoir les humilier", sourit le dirigeant d'un petit parti de gauche.
Quatorze ans après avoir claqué la porte du Parti socialiste (PS), Jean-Luc Mélenchon est parvenu à s'imposer comme chef de file de la gauche française, point culminant d'une carrière politique émaillée de joutes oratoires, de campagnes novatrices et de positions controversées.
L'accord arraché cette semaine aux écologistes, aux socialistes et aux communistes en vue des élections législatives de juin sonne comme une revanche pour le leader de la France insoumise (LFI, gauche radicale), longtemps minoritaire au sein du PS.
A 70 ans, l'ex-sénateur socialiste, au verbe haut et au caractère "éruptif" - selon ses mots - voit sa stratégie de cavalier seul in fine couronnée de succès, même si seul le temps pourra dire s'il s'agit d'un épiphénomène ou d'une étape historique pour la gauche française. "Il doit se régaler de sa vengeance sur le PS, de pouvoir les humilier", sourit le dirigeant d'un petit parti de gauche.
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