Les autorités brésiliennes n'avaient toujours pas repris le contrôle mercredi matin de la prison où 26 détenus ont été massacrés ce week-end et ont acheminé un bus qui pourrait servir à transférer certains détenus et séparer les gangs rivaux.
Pendant la nuit, les deux camps ont continué à se faire face dans cet établissement près de Natal (nord-est), retranchés derrière des barricades de fortune et séparés par une simple cour intérieure d'une cinquantaine de mètres. Ils ont allumé de grands feux, ont poussé des cris de guerre, mais l'affrontement qui aurait pu tourner au bain de sang n'a pas eu lieu.
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