Les Bulgares votent dimanche pour la cinquième fois en deux ans pour élire leur Parlement, cherchant à mettre fin aux troubles qui ont paralysé le système politique à la suite de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Ce conflit a aggravé le marasme dans le pays le plus pauvre de l’Union européenne, qui se trouve sur le flanc oriental de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN), à moins de 482 kilomètres de la Crimée, sur la rive opposée de la mer Noire, et où la société se déchire sur l’aide à apporter à Kiev.
Les partis dirigés par les anciens premiers ministres Boïko Borissov et Kiril Petkov sont au coude à coude, selon les sondages d’opinion. Au cours des deux dernières années, l’essentiel du pouvoir a été entre les mains de cabinets intérimaires nommés par le président Roumen Radev, un ancien pilote de chasse qui a adopté des positions pro-Kremlin, notamment en déclarant que la Crimée était russe et en qualifiant les opposants qui soutiennent l’armement de l’Ukraine d’ardents défenseurs de la guerre.
La Finlande vote également ce dimanche pour élire ses parlementaires, quelques jours après que le pays nordique a reçu l’accord pour rejoindre l’OTAN dans le cadre du revirement total de sa politique de sécurité. Dans un pays qui partage une frontière d’environ 1 300 kilomètres avec la Russie, les électeurs finlandais pourraient déloger la très populaire première ministre sociale-démocrate Sanna Marin alors que le scrutin est annoncé serré, face aux conservateurs et à l’extrême droite.
Les partis dirigés par les anciens premiers ministres Boïko Borissov et Kiril Petkov sont au coude à coude, selon les sondages d’opinion. Au cours des deux dernières années, l’essentiel du pouvoir a été entre les mains de cabinets intérimaires nommés par le président Roumen Radev, un ancien pilote de chasse qui a adopté des positions pro-Kremlin, notamment en déclarant que la Crimée était russe et en qualifiant les opposants qui soutiennent l’armement de l’Ukraine d’ardents défenseurs de la guerre.
La Finlande vote également ce dimanche pour élire ses parlementaires, quelques jours après que le pays nordique a reçu l’accord pour rejoindre l’OTAN dans le cadre du revirement total de sa politique de sécurité. Dans un pays qui partage une frontière d’environ 1 300 kilomètres avec la Russie, les électeurs finlandais pourraient déloger la très populaire première ministre sociale-démocrate Sanna Marin alors que le scrutin est annoncé serré, face aux conservateurs et à l’extrême droite.
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