Le "couple de la Contrescarpe", deux trentenaires dont l'interpellation violente filmée le 1er mai 2018 est à l'origine de l'affaire Benalla, ont été condamnés vendredi à Paris à 500 euros d'amende chacun pour des violences commises envers des policiers ce jour-là. Georgios D., vendeur grec, et Chloé P., graphiste française, avaient reconnu avoir jeté des projectiles en direction des forces de l'ordre place de la Contrescarpe à Paris, dans le quartier Latin, où un rassemblement avait dégénéré après une journée de manifestations émaillée de violences.
Le parquet avait requis deux mois de prison avec sursis. "Ce jour-là, ce qu'ils ont fait est grave et inadmissible", a estimé la procureure, représentante de l'accusation. "Il y avait de la fumée partout, on a perdu le contrôle", a affirmé la jeune femme. "Nous n'avons jamais voulu faire de mal - on sait qu'on aurait pu", a-t-elle assuré. "Nous ne sommes ni manifestants ni fauteurs de trouble, on regrette vraiment."
La société Velours, citée dans l'affaire Benalla, se dit "trahie" La société de sécurité Velours, citée dans l'affaire Benalla pour avoir assuré la sous-traitance d'un contrat conclu avec un oligarque russe et visé par une enquête, a dénoncé vendredi une "trahison" d'ex-employés et assuré ne faire l'objet d'aucune "mesure judiciaire".
Le nom de cette société, qui a employé Alexandre Benalla entre octobre 2014 et novembre 2015, est apparu avec les révélations en décembre de Mediapart sur un contrat signé entre Mars, la société de Vincent Crase - ex-employé de LREM mis en examen avec M. Benalla pour les violences du 1er-Mai - et le sulfureux oligarque russe Iskander Makhmoudov. Jeudi, le parquet national financier (PNF) a confirmé avoir ouvert une enquête sur ce contrat. Selon le site d'information, les investigations visent le chef de "corruption".
1 Commentaires
Anonyme
En Février, 2019 (13:54 PM)Ce Ben"allah" , maffieux et mégalomane sait parfaitement qu'il tient les "c..illes" de son bienfaiteur et se sent ainsi hors d'atteinte.
Cet opportuniste de bas caniveau mais dont le sens aiguisé de la magouille l'a fait gravir les échelons ment comme il respire.
Durant son séjour sous les ors de la République, il s'est servi de son flair de chasseur pour obtenir des renseignements, des contrats qui n'avaient aucuns liens avec son statut d'employé à la sécurité du président. Les autorités policières et sécuritaires ont été mis hors concours par ce "protégé". Ses mensonges , malgré son serment à dire tte la vérité n'ont fait que s'accentuer au fil des "affaires".
Et ...il n'est pas encore venu "traficouiller" au Sénégal avec ses potes arabes et russes ????
Participer à la Discussion