« Je voudrais vous faire une proposition : puisqu'entre Israël et la Palestine la confiance nécessaire dans tout dialogue devant aboutir à des résultats positifs n'existe pas, pourquoi ne pas mettre en place un comité non pas de médiation ou de négociation, car celles-ci sont personnelles mais de bons offices constitué sur une base paritaire Israël/Palestine où chaque partie choisira librement trois pays amis, même si, de toute évidence, au départ les points de vue sont divergents, » a déclaré M. Wade devant les autres Etats membres des Nations Unies.
Le Président Wade a réaffirmé le soutien du Sénégal à la Palestine qui doit présenter vendredi une demande d'adhésion aux Nations Unies.
« Au nom de la paix et de la justice, j'en appelle une fois de plus au gel des colonies de peuplement en terre palestinienne et à l'arrêt de la violence sous toutes ses formes, conditions sine qua non d'une reprise des négociations entreprises par d'autres pays, en vue d'un règlement pacifique du conflit dans l'intérêt des peuples palestinien et israélien et pour la stabilité du Moyen-Orient dans son ensemble, », a souligné le Président sénégalais.
Quant à la réforme du système des Nations Unies, M. Wade a rappelé que le processus de réforme du Conseil de sécurité a été lancé il y a 18 ans et que le statut quo relève selon lui d'un vrai paradoxe puisqu'une organisation universelle par vocation qui s'active à accompagner tant de mutations à l'intérieur des Etats reste elle-même réticente à l'ouverture et au changement.
« C'est un paradoxe que l'Afrique, qui occupe en moyenne 70% de l'ordre du jour du Conseil ne puisse, à ce jour y être représenté dans la catégorie des membres permanents avec droit de veto. Donner à l'Afrique un siège de membre permanent du Conseil de sécurité avec droit de veto, est une exigence de l'équité et de la légitimité démocratique. Ce sera, surtout, réparer une injustice historique qui n'a que trop duré, » a souligné le Président du Sénégal.
26 Commentaires
Lio
En Septembre, 2011 (17:53 PM)Frokh Thiaya
En Septembre, 2011 (17:53 PM)Doul Rek
En Septembre, 2011 (18:01 PM)Afo
En Septembre, 2011 (18:01 PM)Dr1
En Septembre, 2011 (18:03 PM)Iba Der Abdou Niou Doye
En Septembre, 2011 (18:04 PM)Africa
En Septembre, 2011 (18:06 PM)Lady
En Septembre, 2011 (18:06 PM)Fanch
En Septembre, 2011 (18:31 PM)Big Joe
En Septembre, 2011 (18:42 PM)Ou Puis-je Trouver La Vidéo ?
En Septembre, 2011 (18:42 PM)Abdoulaye Weddi
En Septembre, 2011 (18:50 PM)Bek
En Septembre, 2011 (19:14 PM)Africaniste
En Septembre, 2011 (19:19 PM)Rigolot
En Septembre, 2011 (19:21 PM)Laye Weddi
En Septembre, 2011 (19:22 PM)J Aime Mon Pays La Casamance
En Septembre, 2011 (19:38 PM)Fff
En Septembre, 2011 (19:44 PM)Laye Weddi
En Septembre, 2011 (20:00 PM)Abdoulayewadeconnaitout
En Septembre, 2011 (20:12 PM)Ndeyssane il ne se rend meme pas compte qu'il est en train de gener Obama a qui, pourtant il souhaite de rencontrer....
Wade doff na!
Laye Weddi Waxeet
En Septembre, 2011 (20:13 PM)Doxandem
En Septembre, 2011 (20:33 PM)Mandela Sow
En Septembre, 2011 (04:24 AM)Jean
En Septembre, 2011 (12:35 PM)Tyka
En Septembre, 2011 (21:57 PM)Rastacool
En Septembre, 2011 (01:42 AM)Voilà le piége politique qui a permis à l’opposition boycotteuse des élections législatives du 3 juin 2007 d’exalter la critique citoyenne de la gouvernance pour s’offrir à moindre frais la complicité dynamique d’une partie de la société civile, que nous qualifions d’extravertie, ainsi que le soutien d’une presse affairiste, qui n’est pas toute la presse. C’est dans la logique de cette même critique citoyenne que cette opposition dite BENNO SIGGIL SENEGAL a fait de la critique contre la candidature du président Abdoulaye WADE la question contentieuse primordiale et essentielle. L’objectif caché de cette démarche est de tuer chez le sénégalais tout envie de juger le président Wade sur sa vision et sur son bilan économique, social et politique impressionnant, mais, aussi et surtout, de décharger tout candidat de l’opposition de l’obligation de présenter un programme alternatif au sien, qui semble justement être la difficulté que chaque candidat de BENNO se sait incapable de surmonter.
Si une telle stratégie de tromperie politique a permis à cette opposition de rebondir, aprés la défaite de ses candidats aux dernières élections présidentielles de 2007, pour gagner, au niveau des grandes villes du Sénégal, les élections locales de 2009, elle va devenir, pour la prochaine élection présidentielle de Février 2012, un piége qui se refermera sur tout candidat de cette même opposition. Ce piège va, en effet, rendre chaque candidat de BENNO incapable de convaincre un sénégalais par un programme alternatif parce qu’il n’en aura pas dès lors qu’il est déjà dédouané par l’obligation de ne pas en faire cas avant les conclusions des Assises nationales dont on sait quelles sont parties pour ne jamais être plubliées.
La situation ainsi créée, par cet enfermement de l’opposition dans des débats sur des questions exclusivement institutionnelles, installe la classe politique sénégalaise dans une posture globale de refus de mettre la priorité sur l’examen des enjeux et urgences permettant au peuple sénégalais d’avoir la capacité de faire face à la triple crise économique, financière et alimentaire qui secoue le monde.
Pendant que les pays qui dominent notre environnement pertinent se querellent utilement pour trouver des réponses aux insidences de ces crises sur leurs économies et sur la vie quotidienne de leurs populations, nos politiques au Sénégal mettent au frigo ces questions. Ils préfèrent bavarder sur des problèmes d’ordre institutionnel et de candidatures recevables ou irrecevables. Ils oublient volontairement que notre République les dispensent d’utiliser inutilement leurs énergies pour régler ces genres de contentieux, en nous dotant d’un Conseil constitutionnel seul habilité à s’en charger.
Au regard de cette situation, où seul le camp présidentiel a un programme et un bilan à soumettre à la sanction des Sénégalais, pour réélire son candidat, l’opposition prive ces mêmes sénégalais de la possibilté de savoir à quelle sauce économique sociale et politique ils vont être mangés dans les plats des programmes alternatifs qu’ils attendent de chaque candidats de BENNO.
L’opposition BENNO semble croire qu’il lui suffit de faire un lynchage médiatique du candidat sortant pour prétendre par la seule force de ce lynchage injuste convaincre la majorité des électeurs qu’elle a des candidats capables de réaliser plus et mieux que lui.
Amadou Lamine Faye Ministre conseiller , Coordonnateur de l’Alliance panafricaniste
L’objet de ce livre est d’expliquer au citoyen les détours par lesquels BENNO est parvenue à imposer à l’opinion un mode de lecture des besoins des sénégalais qui a pu lui assurer, par l’appui des médias, de capturer les voix des grandes villes aux élections locales, parce que reposant sur de la tromperie politique en matière de priorité, mais qui va s’avérer être un piége pour ses candidats aux élections présidentielles, parce que inadapté pour la conquête du pouvoir d’Etat.
La particularité d’une élection présidentielle est qu’elle met face à face, un homme et son peuple, dans un contrat de confiance autour d’un programme de prise en charge des besoins non pas conjoncturels mais transgénérationnels. C’est pourquoi le mode d’approche de BENNO que je qualifie de “Cabinet/consulting” et qui est de moindre qualité et valeur heuristique que l’approche vision wadienne ne saurait servir, en Fevrier 2012 ,la cause d’un quelconque candidat issu de ses rangs.
Ce livre va montrer comment les Assises de l’opposition, ont été le laboratoire où a été élaboré l’approche de type “cabinet/consullting”, et comment elles se sont appuyées sur la tactique du mensonge consensuel qui a présenté, par exemple, les élections de 2007 comme frauduleuse.
Ce livre va révèler comment l’usage abusif et politicien de la critique citoyenne de la gouvernance a abaissé la qualité de l’offre politique globale de toute la classe politique sénégalais et par quelle manière elle a visé à enlever du tableau d’affichage des offres politiques de qualité, l’approche vision du candidat Wade dont la pertinence est prouvée par un bilan prodigieux.
Nous y montrerons également comment elle a affaibli l’intelligence collective des sénégalais au point, d’une part, de provoquer des réactions de sauvegarde de l’éthique dans la critique citoyenne de la gouvernance, qui sont à l’origine de la crise au Forum civil et, d’autre part, d’alimenter un désir populaire de sanction contre l’insulte à l’intelligence des sénégalais qui attend les prochaines élections de 2012 pour s’exprimer à nouveau, comme cela été le cas en 2007
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