Le président de la République, Macky Sall, a souligné, mercredi à New York, la nécessité d’accélérer la réforme des opérations de maintien de la paix en vue de "mieux les adapter aux besoins et défis pressants, actuels et futurs’’.
"Il est impératif d’accélérer le processus de réforme nécessaire des opérations de maintien de la paix pour mieux les adapter aux besoins et défis pressants, actuels et futurs", a indiqué Macky Sall, au cours d’un débat de de Haut niveau du Conseil de sécurité.
Les misions actuelles "dépassent le strict cadre sécuritaire de maintien de la paix et englobent aujourd’hui de nombreux autres défis", fait valoir Macky Sall au cours de cette rencontre portant sur "L’avenir des opérations de paix : mise en œuvre des recommandations du Panel indépendant de haut niveau sur les opérations de paix".
Le président sénégalais a salué "la détermination" du secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres de faire avancer l’Agenda de la réforme des opérations de maintien de la paix et sa vision d’une réforme globale de l’architecture de paix et de sécurité de l’ONU.
Selon Macky Sall, les Etats membres, les pays contributeurs de troupes et de police, l’Assemblée générale et le Conseil de sécurité doivent "faire montre de la même détermination pour que cette réforme soit couronnée de succès".
"Les opérations de maintien de la paix sont confrontées à des obstacles et à des restrictions pour s’acquitter de leurs mandats en raison principalement du manque de paix ou d’hostilité des pays hôtes ou des parties belligérantes", a analysé le chef de l’Etat du Sénégal, 5e contributeur de troupes en Afrique et 9e au niveau mondial.
A ses yeux, la dimension politique constitue "une condition essentielle pour rendre efficaces les opérations de paix".
Aussi Macky Sall a-t-il appelé à "un engagement politique précoce" du Conseil de sécurité avant le déploiement et pendant toute la durée de vie des missions pour "faire avancer et soutenir un règlement politique des conflits".
Il estime que le Conseil doit aussi jouer un rôle important dans la planification et la conduite des opérations et persévérer dans ses efforts pour l’élaboration de mandats "clairs, réalistes et réalisables".
Cette perspective doit tenir notamment compte des "environnements opérationnels hostiles et œuvrer à renforcer le dialogue triangulaire" entre le Conseil de sécurité, les pays contributeurs de troupes et le secrétariat, a indiqué le chef de l’Etat sénégalais.
International
4 Commentaires
L'oracle
En Septembre, 2017 (19:16 PM)TOUS LES PAYS SERIEUX REFUSENT D'Y ENVOYER LEURS FILS
IL N'Y'A QUE QUELQUES VOYOUS DE PRESIDENTS EN MANQUE DE VISIBILITE INTERNATIONALE, [senegal,burundi,afrique du sud,thiad,congo,chine ,bangladesh ] QUI S'EMPRESSENT A LES ENVOYER
LES QCCIDENTAUX N'ENVOIENT DES TROUPES QUE POUR PROTEGER LEURS INTERETS
NOUS ,NOS CHEFS D'ETAT ENVOIENT DES TROUPES POUR FIDELISER OU CORROMPRE POLICIERS ET MILITAIRES
A CAUSE DES TROUPES QU'IL ENVOIT PARTOUT ,IDRISS DEBY A FRAUDE LES ELECTIONS,ET FORCE UN 3ieme MANDAT SOUS L'OEIL COMPLICE DE LA COMMUNAUTE INTERNATIONALE
Anonyme
En Septembre, 2017 (19:31 PM)Passant
En Septembre, 2017 (01:03 AM)Le député maire khalifa ababacar sall risque a cause de ce non respect 99,99 % de chance rester en prison.
Son maintien est purement et simplement politique a plus de 150 %.
Aucune personne du pouvoir surtout ne peut expliquer sa prison alors que de plus gros voleurs et detourneurs des derniers publics, épinglés dans des rapports des corps de contrôle sont protégés dans une impunité totale par le président macky sall.
Comment expliquer la liberté de hawa coundou ndiaye( qui réclame même un portefeuille ministériel), baila wane, les 24 cités pour la crei, le directeur de la poste, celui du coud, l´ancien directeur du port,aliou sall le frère petrolet et gazet, ....la liste est longue...
Tous les gens de la famille, du parti ou des transhumants du président sont protégés par ce dernier de la justice. Dans le rapport incriminant le maire de Dakar, les précepteurs ne sont pas en prison uniquement parce que du clan présidentiel. La loi dit qu´ils devaient être en prison...
Le président refuse même d´appliquer la jurisprudence bartelemy dias, qui était dans la même situation que le député maire de Dakar et qui était sorti de prison par le président macky sall lui même.
Des voleurs et detourneurs de milliards et des milliards sont protégés par le coude magique du président.
Seul les opposants vont en prison ou sont exilés,
Le président macky sall nous avait dit qu´il ne protégerait personne, " je dis bien personne " avait il martelé. A présent, le président a demandé aux services de contrôles de ne plus sortir de rapports...C´est sans précédant...
Le président macky sall a trahi toutes ses promesses et son peuple.
Il mène une gouvernance mafieuse basé sur une corruption d´Etat, une justice politisée pour mettre en prison ses adversaires, une impunité totale pour les voleurs du clan présidentiel, le tout fait dans une indignité effroyable...
Depuis que des sondages ont cité karim wade et le maire de Dakar comme candidats sérieux, le président a pris la décision de les égorger politiquement pour les rendre inéligibles, en utilisant très très lâchement la justice du pays.
D.
En Septembre, 2017 (07:02 AM)Il faut aussi que l'ONU accompagne davantage (notamment en terme de moyens) les initiatives de l'Union africaine, vu que la majorité des opérations de maintien de la paix se déroule en Afrique et que les Etats les fournisseurs de troupes sont africains.
Il faut enfin admettre une présence permanente de l'Afrique au niveau des Conseil de Sécurité et rendre le système des vétos obsolète.
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