Depuis la lettre à Emmanuel Macron rendue publique par Boris Johnson, les Britanniques, « pas sérieux », ont été désinvités par la France de la réunion de coordination proposée à Calais après la mort de migrants qui avaient tenté de franchir la Manche. Le ministre britannique de l'Intérieur ne sera pas là, mais son homologue français attend à 15 heures à la mairie de la ville ses partenaires belge, néerlandais et allemand, ainsi que la commissaire européenne aux Affaires intérieures.
La commissaire européenne aux Affaires intérieures Ylva Johansson sera accompagnée des directeurs d'Europol et de Frontex, une invitation qui leur a été faite après l'entretien de la Suédoise, jeudi, avec Gérard Darmanin.
Le ministre de l'Intérieur et la commissaire ont évoqué à cette occasion trois axes qui intéressent particulièrement l'Union.
Les décisions opérationnelles seront prises par les quatre pays, mais l'UE devrait proposer son soutien pour le combat contre les réseaux et les filières des passeurs, pour l'augmentation de la coopération policière et de l'échange d'informations, et enfin pour la protection et la surveillance de ce qui est désormais devenu une frontière extérieure de l'Union européenne.
D'où la présence du directeur de Frontex, puisque les frontières extérieures de l'UE sont le terrain d'action de l'agence européenne de garde-côtes et de gardes-frontières.
De son côté, le commissaire européen chargé de coordonner les questions migratoires, Margaritis Schinas, estime qu'il est grand temps que le Royaume-Uni prenne enfin ses responsabilités, car il lui revient de résoudre ses problèmes relatifs à l'afflux de migrants et d'organiser lui-même le contrôle de ses frontières.
La commissaire européenne aux Affaires intérieures Ylva Johansson sera accompagnée des directeurs d'Europol et de Frontex, une invitation qui leur a été faite après l'entretien de la Suédoise, jeudi, avec Gérard Darmanin.
Le ministre de l'Intérieur et la commissaire ont évoqué à cette occasion trois axes qui intéressent particulièrement l'Union.
Les décisions opérationnelles seront prises par les quatre pays, mais l'UE devrait proposer son soutien pour le combat contre les réseaux et les filières des passeurs, pour l'augmentation de la coopération policière et de l'échange d'informations, et enfin pour la protection et la surveillance de ce qui est désormais devenu une frontière extérieure de l'Union européenne.
D'où la présence du directeur de Frontex, puisque les frontières extérieures de l'UE sont le terrain d'action de l'agence européenne de garde-côtes et de gardes-frontières.
De son côté, le commissaire européen chargé de coordonner les questions migratoires, Margaritis Schinas, estime qu'il est grand temps que le Royaume-Uni prenne enfin ses responsabilités, car il lui revient de résoudre ses problèmes relatifs à l'afflux de migrants et d'organiser lui-même le contrôle de ses frontières.
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