Après avoir remporté dès le premier tour les élections municipales dans des villes-clés comme Milan, Bologne et Naples, le centre-gauche célèbre au second tour deux autres victoires de taille, selon les premières estimations. À Rome, l'ancien ministre Roberto Gualtieri a devancé son adversaire de droite, l'avocat Enrico Michetti, de 20 points. À Turin, le géologue Stefano Lo Russo a obtenu 59,2% des suffrages contre 40,8% pour l'entrepreneur proche des souverainistes, Paolo Damilano.
Avec notre correspondante à Rome, Anne Le Nir
Le centre-gauche reprend de l'élan, surtout grâce à l'ancien ministre de l'Économie Roberto Gualtieri, élu maire de la capitale avec 60,1%, contre 39,9% pour son adversaire. Membre du Parti démocrate (PD), le vainqueur de 55 ans veut démontrer que la Ville éternelle n'est pas ingouvernable. Ses premiers engagements concernent la résolution du problème des déchets, qui envahissent les rues de Rome, et celui des transports publics.
À Turin, le professeur de géologie Stefano Lo Russo, âgé de 45 ans et également issu du PD, place désormais en priorité les jeunes et la relance de l'économie sociale.
Avec notre correspondante à Rome, Anne Le Nir
Le centre-gauche reprend de l'élan, surtout grâce à l'ancien ministre de l'Économie Roberto Gualtieri, élu maire de la capitale avec 60,1%, contre 39,9% pour son adversaire. Membre du Parti démocrate (PD), le vainqueur de 55 ans veut démontrer que la Ville éternelle n'est pas ingouvernable. Ses premiers engagements concernent la résolution du problème des déchets, qui envahissent les rues de Rome, et celui des transports publics.
À Turin, le professeur de géologie Stefano Lo Russo, âgé de 45 ans et également issu du PD, place désormais en priorité les jeunes et la relance de l'économie sociale.
Moins de 41% de participation à Rome
Ces nouvelles victoires renforcent le Parti démocrate, grand pilier du gouvernement d'union nationale de Mario Draghi. Elles confirment également les scores décevants des forces de droite et l'étiolement du Mouvement 5 Étoiles. Ce n’est qu’à Trieste où les partis de droite se consolent, grâce à la réélection du maire sortant Roberto Piazza.
Ces élections municipales sont marquées par la désaffection des citoyens pour les responsables de leur ville. À Rome, par exemple, moins de 41% des électeurs appelés aux urnes ont voté au second tour, contre 51% en 2016.
Ces nouvelles victoires renforcent le Parti démocrate, grand pilier du gouvernement d'union nationale de Mario Draghi. Elles confirment également les scores décevants des forces de droite et l'étiolement du Mouvement 5 Étoiles. Ce n’est qu’à Trieste où les partis de droite se consolent, grâce à la réélection du maire sortant Roberto Piazza.
Ces élections municipales sont marquées par la désaffection des citoyens pour les responsables de leur ville. À Rome, par exemple, moins de 41% des électeurs appelés aux urnes ont voté au second tour, contre 51% en 2016.
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