Est-ce que quelqu'un au Parlement britannique prend de la drogue ? Fait-on la fête à Noël pendant les restrictions sanitaires ? Les questions sont très sérieuses, puisque Boris Johnson doit actuellement jongler entre des annonces sévères de son gouvernement, et des comportements d’apparence contradictoires sur le sujet observés à Westminster.
Le pouls s'accélère et la transpiration est excessive, à Westminster. Un effet du stress ou de la cocaïne ?
Sans doute un peu des deux pour le gouvernement, qui s'enlise avec la découverte de traces de ladite drogue au Parlement, dans les salons et les toilettes, dont celles qui jouxtent le bureau du Premier ministre.
Le pouls s'accélère et la transpiration est excessive, à Westminster. Un effet du stress ou de la cocaïne ?
Sans doute un peu des deux pour le gouvernement, qui s'enlise avec la découverte de traces de ladite drogue au Parlement, dans les salons et les toilettes, dont celles qui jouxtent le bureau du Premier ministre.
Manque de chance, car Boris Johnson vient d'annoncer un grand plan de lutte contre la consommation de stupéfiants.
Démission d'une conseillère
D'autre part, dans la soirée de ce mercredi, c'est une conseillère en pleurs qui a annoncé sa démission suite à la fuite d'une vidéo. On la voit plaisanter à propos de la fête de Noël sans gestes barrières de l'année dernière, dans les bureaux du chef du gouvernement.
Celui-ci s'est excusé, tout en niant l'existence de ce type de fêtes. Mais selon un sondage, plus de neuf personnes sur dix pensent qu'elles ont bien eu lieu, en pleine surcharge des hôpitaux et interdiction de fêter Noël en famille ou entre amis.
Une majorité de sondés, même chez les conservateurs, pensent que les membres du gouvernement n'ont pas respecté les mesures sanitaires. Là encore, ce scandale intervient alors que de nouvelles restrictions entrent en vigueur.
D'autre part, dans la soirée de ce mercredi, c'est une conseillère en pleurs qui a annoncé sa démission suite à la fuite d'une vidéo. On la voit plaisanter à propos de la fête de Noël sans gestes barrières de l'année dernière, dans les bureaux du chef du gouvernement.
Celui-ci s'est excusé, tout en niant l'existence de ce type de fêtes. Mais selon un sondage, plus de neuf personnes sur dix pensent qu'elles ont bien eu lieu, en pleine surcharge des hôpitaux et interdiction de fêter Noël en famille ou entre amis.
Une majorité de sondés, même chez les conservateurs, pensent que les membres du gouvernement n'ont pas respecté les mesures sanitaires. Là encore, ce scandale intervient alors que de nouvelles restrictions entrent en vigueur.
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