En Syrie, dix combattants pro-iraniens visés par une frappe aérienne non identifiée ont été tués dans l’est du pays. C’est la deuxième fois en un peu plus d’une semaine qu’un bombardement de ce genre cible les positions des milices iraniennes qui soutiennent le régime de Bachar el-Assad.
Ces frappes meurtrières ont eu lieu dans la nuit de lundi 16 à mardi 17 septembre. Les bombes se sont abattues sur trois positions des Gardiens de la révolution, l'unité d’élite de l’armée iranienne. Ces forces de la République islamique interviennent en Syrie, en soutien au pouvoir de Damas.
Dans l’Est syrien, elles comptent également dans leurs rangs des miliciens irakiens. Les dix combattants tués dans les bombardements étaient d’ailleurs tous de nationalité irakienne.
L'implication d'Israël ?
Comme l’attaque similaire survenue il y a un peu plus d’une semaine dans cette même région, celle-ci également n’a pas été officiellement identifiée. Mais dans un contexte de tensions entre Israël d’une part et l’axe chiite, Hezbollah libanais, et Iran d’autre part, les regards se sont vite tournés vers l’État Hébreux.
Un organe du Hezbollah avait d’ailleurs au moment de la première attaque cité « une source sécuritaire en Syrie » imputant la frappe à Israël, mais Tsahal se refuse à tout commentaire.
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