L’ex-sénatrice libérale, Aïda Ndiongue, a été placée vendredi sous contrôle judiciaire par le Juge d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI), a annoncé à la presse, un de ses avocats, Me Seydou Diagne.
L'ancienne députée libérale Aïda Ndiongue est arrivée, ce vendredi, un peu avant 11 heures, dans les locaux de la Cour de répression de l'enrichissement illicite (CREI) pour être entendue. Elle a été précédée sur les lieux quadrillés par un important dispositif de sécurité par son avocat Me Mbaye Jacques Ndiaye.
Tout de blanc vêtue, Aïda Ndiongue est arrivée à la CREI à bord d'une voiture 4X4 de couleur noire. Elle est sorti des bureaux des magistrats vers 13h 30.
Mme Ndiongue, responsable du Parti démocratique sénégalais (PDS, opposition), a bénéficié, la semaine dernière, d'un non-lieu du Tribunal correctionnel de Dakar, dans une autre affaire relative à un marché de logements sociaux.
Elle a passé 18 mois en détention, dans une prison dakaroise.
19 Commentaires
Dard
En Juin, 2015 (14:46 PM)Anonyme
En Juin, 2015 (14:55 PM)Deug
En Juin, 2015 (14:55 PM)Anonyme
En Juin, 2015 (15:00 PM)C'est un chapeau magnetique qu'on vous pose sur la tete.
Aida Ndiongue
En Juin, 2015 (15:00 PM)Anonyme
En Juin, 2015 (15:06 PM)noble dans l'épreuve et digne dans l'adversité que vous incarnez !!
DJIGUÉNE YOMBOUL DI
Anonyme @ Dard.
En Juin, 2015 (15:10 PM)Caméra
En Juin, 2015 (15:23 PM)Trombello
En Juin, 2015 (15:23 PM)Thieyy
En Juin, 2015 (15:48 PM)Anonyme
En Juin, 2015 (16:38 PM)Wxc
En Juin, 2015 (16:39 PM)Laissez Laaaa
En Juin, 2015 (16:56 PM)Larbins
En Juin, 2015 (18:44 PM)Tu ne voulais pas payer ? Eh bien ! tu vas marcher maintenant ! Un juge du Comté de Lake dans l'Ohio, a condamné une jeune femme, qui s'était enfuie pour ne pas payer sa course de taxi, à marcher 48,2 km (30 miles), la même distance que la course de taxi réalisée par son chauffeur, rapporte la chaîne d'information WOIO, relayée par le "Daily News" notamment.
Anonyme @ Dard
En Juin, 2015 (22:11 PM)Anonyme
En Juin, 2015 (01:27 AM)Anonyme
En Juin, 2015 (07:44 AM)Xeme
En Juin, 2015 (09:36 AM)Rappel.
Revenons aux règles d’exécution de marché et de payement pour comprendre. Lorsqu’une entreprise gagne un marché de l’état, elle exécute les travaux ou fournie la commande. Les travaux exécutés ou la commande fournie sont attestés par des attachements, un procès verbal de réception, et dans le cas des fournitures de commande s’y ajoute un bordereau de livraison. L’entreprise fait sa facture qui est certifiée par le service technique de l’état responsable de tutelle des travaux ou de la commande. Le trésor ou tout autre organe financier de l’état ne décaisse un seul franc que sur la base de cette facture certifié par l’organe technique et qui vaut ordre de décaissement.
Dans ces cas, lorsqu’un pouvoir arrête un entrepreneur par l’accusation de détournement de biens de l’état (même si on s’interdit de se demander comment, vue que tout est inversé dans ce pays), pourquoi il n’y a pas poursuite de la tutelle technique seule pour avoir demander à l’état de décaisser de l’argent sur la base d’attachements de travaux, de PV de réception et de facture certifiée alors que les travaux ne sont pas exécutés ou que la commande n’est pas honorée (selon l’accusation) ? Par rapport à l’état, l’entrepreneur n’a fait aucune faute. S’il y a faute c’est la tutelle technique qui a fait décaissé à l’état pour des travaux non exécutés ou des commandes non honorées. Le trésor ne connait pas l’entrepreneur et n’est pas sensé le connaître. Le trésor connait les bras techniques de l’état dont les attestations techniques (PV de réception, attachements, factures) sont des ordres de décaissements.
Mais ici, il s’agit de la procédure normale, dans les pays normaux. Au Sénégal, nous sommes sous un pouvoir de légionnaires, au service des pourvoyeurs de légions. Au Sénégal nous sommes sous ce que Sidi Lamine appelait la dictature médiatique qui part du principe que les consommateurs de ses produits sont des ignares qui vont avaler toute diabolisation. Au Sénégal nous sommes sous un pouvoir où la haine est érigée en institution d’état. Au Sénégal nous vivons le principe qui veut que n’importe quel non sens, ou même anti sens, répété par la presse des 100 fait office de droit républicain. Au Sénégal, nous vivons une dictature qui veut que le pouvoir de Macky a toujours raison même quand il a tord.
Il n’y a pas une goutte de droit dans les actes de Macky. Il n’y a que de la vengeance que la presse des 100 couvre de plus en plus mal. Ils ne peuvent pas duper le peuple tout le temps.
Anonyme
En Juin, 2015 (10:28 AM)Participer à la Discussion