L’Association des juristes sénégalaises (Ajs) note une montée en flèche des statistiques concernant les violences physiques, sexuelles et économiques. Son bulletin semestriel d’informations lancé hier, fait état, pour la période de janvier à juin 2022, de 29,7% de cas de violence physique, 28,12% pour les violences sexuelles, 14,13% concernent les violences psychologiques et 27,98% les cas de violence économique.
« Bien que les violences physiques soient plus élevées, nous remarquons que d’une région à une autre, les violences diffèrent, a précisé la chargée de communication de la structure, Ndeye Madjiguène Sarr Bakhoum.
Reprise par Enquête, elle a souligné que « selon les localités, les violences sexuelles et économiques sont plus dominantes d’une boutique à une autre », confiant que « c’est le cas des boutiques de Kébémer, avec un taux de 48,65% pour les violences sexuelles, et de Thiès avec un pourcentage de 41,67% pour les violences économiques ».
« Bien que les violences physiques soient plus élevées, nous remarquons que d’une région à une autre, les violences diffèrent, a précisé la chargée de communication de la structure, Ndeye Madjiguène Sarr Bakhoum.
Reprise par Enquête, elle a souligné que « selon les localités, les violences sexuelles et économiques sont plus dominantes d’une boutique à une autre », confiant que « c’est le cas des boutiques de Kébémer, avec un taux de 48,65% pour les violences sexuelles, et de Thiès avec un pourcentage de 41,67% pour les violences économiques ».
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