
Une liberté provisoire qu’ils sollicitent au moment où leur procès qui s’est ouvert depuis le 31 juillet 2014, va connaître une autre tournure avec le retour d’Ibrahima Khalil Bourgi, considéré comme l’élément clé de cette procédure. Bourgi, mal en point au début du procès, avait été autorisé d’aller se soigner en France. Il est revenu requinqué, prêt à répondre à toutes les questions de la cour et participer ainsi à la manifestation de la vérité.
Ce qui a poussé le procureur spécial, Cheikh Tidiane Mara, a demandé à la Cour de rejeter ces demandes de mise en liberté provisoire.
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