
Sous le sceau de l'anonymat, un des avocats de Luc confie : « À quoi bon formuler une demande de liberté provisoire ? Parce que si on le faisait, je suis sûr que le Parquet allait s'y opposer. Alors il vaut mieux attendre ; le 19 novembre c'est loin, ce n'est pas loin ». Luc Nicolaï croulait sous une myriade de chefs d'inculpations, mais dernièrement, cette liste s'est effritée comme une peau de chagrin. Ce n'est que la détention de drogue en vue d'une consommation personnelle que le doyen des juges d'instruction a finalement retenue, une aubaine pour le promoteur de la Petite Côte.
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