Le rythme des auditions dans le cadre de l’enquête sur les biens mal acquis s’accélère. La Cour de répression contre l’enrichissement illicite (Crei) semble vouloir aller plus vite. Après l’audition de l’ancien ministre des Transports, Karim Wade, par ailleurs fils du président sortant, Me Abdoulaye Wade, le 6 décembre, ce sera le tour des anciens ministres du régime sortant Madické Niang et Samuel Sarr respectivement ministre des Affaires Étrangères et ministre d’Etat. Ils seront entendus le 7 décembre par les gendarmes de la Section de recherches. Selon le Populaire, ils devront, eux aussi, prouver que tous les biens dont ils disposent ont une origine licite.
13 Commentaires
Spon
En Décembre, 2012 (10:37 AM)Djibson
En Novembre, 2023 (21:35 PM)Benawaaay
En Décembre, 2012 (10:40 AM)bandes de voyous wadistes
Beug Diameu
En Décembre, 2012 (10:49 AM)Scat7171
En Décembre, 2012 (10:49 AM)Bibi
En Décembre, 2012 (11:07 AM)Moi Meme
En Décembre, 2012 (11:37 AM)je vends une maison a l'angle sur la route, a la route de boune urgence : [email protected]
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Gr Mor
En Décembre, 2012 (13:06 PM)Semou
En Décembre, 2012 (14:04 PM)Lyon
En Décembre, 2012 (15:10 PM)Le Bourgeois
En Décembre, 2012 (17:12 PM)Griot Moderne
En Décembre, 2012 (08:16 AM)Kilifa
En Décembre, 2012 (11:06 AM)Il est certes admis que la justice doit communiquer pour mieux informer. Ici, l’information du Procureur spécial était plutôt une révélation. Elle a mis à l’index des personnes que la justice n’a pas encore incriminées, mais que Monsieur NDAO soupçonne d’avoir distrait indûment des milliards, évoquant même avec aplomb que ceux qui ont volé des millions ne l’intéressaient pas. Ce qui soit dit en passant devrait aider à libérer des prisons tous les voleurs de poules et de portables qui emplissent nos prisons.
Où sont donc ensevelis le secret de l’enquête et la présomption d’innocence, et pourquoi Monsieur le Procureur spécial semble même avoir oublié qu’il ne lui appartient pas de juger, qu’il est du parquet. Ce n’est certainement pas ainsi qu’une bonne justice pourrait être rendue. Les prémisses d’une justice populaire se font jour ; elles ne sont pas en adéquation avec la gouvernance dite de rupture ; c’est plutôt la justice des vainqueurs, donc de l’injustice judiciaire.
La bonne justice, c’est celle qui requiert la sérénité, la mesure et l’objectivité. Elle ne peut avoir pour compagnons ni la fausse glorification, ni la partialité masquée artificiellement.
On peut constater et réprouver l’intempérance d’un procureur tardivement promu, en mal de gloire ou d’honneur, mais on ne peut tolérer que l’Etat trace les mêmes sillons. La justice populaire restera toujours une justice de réaction, d’arbitraire et dérives. Nous avons dit : Ruptures ?
Kilifa
En Décembre, 2012 (11:23 AM)Participer à la Discussion