Les filles poursuivies pour avoir triché au Bac 2015 qui se déroule depuis lundi dernier dans le territoire national sont condamnées à un an de prison avec sursis.
Les quatre (04) filles ont reconnu les faits qui leur sont reprochés. Devant la barre elles avouent avoir reçu des épreuves corrigées d’un étudiant moyennant une somme de 25.000 de nos francs.
Un de leurs avocats Me Abdoul Aziz Ndiaye estime que « la triche n’est pas une excuse mais une suspension aurait suffi». Et d’ajouter : «C’est malheureux mais je prends acte… ».
C’est dire qu’elles s'en sont bien sorties avec Dame justice mais la sanction administrative les attend…
14 Commentaires
Anonyme
En Juillet, 2015 (01:07 AM)Anonyme
En Juillet, 2015 (01:49 AM)Anonyme
En Juillet, 2015 (03:44 AM)Djila
En Juillet, 2015 (06:46 AM)Manou
En Juillet, 2015 (06:48 AM)ce mois, beaucoup de destins ont été brisés, des personnes jetées en pâture, des sénégalais, au lieu des les défendre face à la puissance publique, les enfoncent. cette année, des individus enregistrés à leur insu, divulgués ou vendus tout court.
et c'est ce qui nous sépare des pays dits avancés, ce fossé: l'africain ne connait pas la fraternité. pour lui, la vie est une compétition ou plus de camarades seront éliminés, plus on aura de chance. vous ferez la remarque dans votre entourage que le moindre changement de niveau de vie d'un concitoyen lui vaut des risques insoupçonnés: mysticisme, calomnies, dénonciation, délation, un passé révisé...
Der
En Juillet, 2015 (08:48 AM)Pape I LÔ
En Juillet, 2015 (10:43 AM)Mais tout s'entend! 8 milliards de patrimoine; 7 milliards de Taïwan, et ce que l'on ignore, et ce qui est gaspillé, dépensé en politique, en campagne électorale...C'est normal que nos enfants, élèves soient comme çà!...
Et le "jom" est de nos jours un non-sens! On promeut l'exemple par le haut, or le haut est pourri. "Awa coudous est passée par là, "pétrtimbo", également. Combien de milliardaires dans le monde politique? Alors que les braves travailleurs: paysans (aux bons impayés) enseignants (aux salaires de domestiques) sont les pus misérables!...Que voulez-vous que les jeunes fassent? Qui savent (ces jeunes) qu'on peut s'enrichir (ou réussir) dans la facilité! Le "lidieunti"!...
Hélas, hélas! "Thippri! Thippri!...
Las
En Juillet, 2015 (11:34 AM)Anonyme
En Juillet, 2015 (13:50 PM)Ibrahima Sambou
En Juillet, 2015 (15:45 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (16:05 PM)Il me revient étant témoin des faits de faire un vibrant hommage à ses 23 jambars de l’Armée sénégalaise tombés dans la forêt vierge de la Casamance à Ziguinchor
En effet, ce samedi 25 juillet 2015 les événements tragiques de Babonda auront 20 ans jour pour jour.
Il fût un mardi 25 juillet 1995, tombèrent 23 de nos vaillants soldats dans la forêt danse de Babonda, ils étaient tous des éléments du 3iéme Bataillon d’infanterie de Kaolack « dénommés les légionnaires », parmi ses jambars tombés il y avait des officiers, sous-officiers et des hommes de troupe.
Ils étaient deux sections commandèrent par deux officiers promotionnaires à l’ENOA, issus de la 9ieme promotion de cette prestigieuse école.
La première section était sous les ordres du feu lieutenant Moustapha SAMB de la 30Ième compagnie avec des hommes basés à Badéme et Bagame et l’autre section était sous les ordres du feu lieutenant Babacar DIOUF de la 32Ième compagnie avec des hommes venant des secteurs de Mpack, Bourgadier et de Toubacouta.
Vingt ans après, Babonda ne peut pas être oublié car 23 de nos jambars furent tombés les armes aux mains sous une pluie abondante des premières heures de l’aube jusqu’au soir au moment du crépuscule, c’est à dire 12 heures d’intenses combats entre deux sections de militaires et des centaines de rebelles venant de toutes les contrées de la casamance car ses derniers avaient reçu l’information que les militaires viendront ce mardi 25 juillet 2015 car ils avaient perdu un homme et eu des blessés le jeudi précédant ce fameux 25 juillet 2015.
Ils étaient dix fois plus nombreux que nos vaillants soldats avec un effectif d’une cinquantaine d’hommes, sous le commandement de ce vaillant, dynamique, courageux, téméraire, audacieux …… etc les qualificatifs sont nombreux de cet officier le feu lieutenant Moustapha SAMB qui prît le commandement car aux premières heures de combat son promotionnaire était touché mortellement et rendu l’âme.
Moustapha était incompris après ces événements on lui a traité de tous les noms d’oiseaux et il a été le seul bouc émissaire de ce qui se passa à Babonda, mais si ce n’était pas lui avec l’aide du Tout Puissant DIEU, personne n’allait sortir dans ce bourbier infernal car il dirigea le combat de bout en bout faisant échec à la haute stratégie des rebelles.
Si je dis haute stratégie des rebelles c’est en connaissance des choses car ses derniers nous laissâmes entrés pour nous encercler et nous posâmes une équation à plusieurs inconnues mais le feu lieutenant Moustapha SAMB résoudra cette équation car il sortira avec un effectif plus nombreux que celui qui tomba sur le terrain, ces jambars avec la fatigue et la durée des combats étaient sauvés avec leurs armes à la main.
Car c’est lui qui donnait l’ordre de tirer coup par coup pour ne pas épuiser les munitions et montrer aux rebelles que nous sommes toujours présents parce que ses hommes étaient encerclés et se trouvaient dans un engrenage que seul DIEU peut faire quelques choses.
La liaison radio avec les amis et le commandement à la base arrière était inexistante, des compagnies qui étaient composés par des commandos, des paras et d’autres troupes d’infanterie comme le reste du Bataillon dont les hommes combattaient à Babonda sous le commandement du feu colonel Mamadou SANE qui a rendu l’âme plus tard ont étaient stoppés net à l’entrée de Babonda avec des blessés dans leur rang, l’artillerie avec ses canons 105 A et 155 et les Blindés ne pouvaient rien car s’ils tiraient ils allaient écrasés leurs amis même le fameux Rallye guerrier l’avion de combat et de reconnaissance n’avait rien pu faire sinon que de survoler en longueur de journées parce que s’il bombardait des obus il allait tuer des amis car les rebelles et les militaires étaient cote à cote entrain de combattre.
On se rappelle tous que ce fameux lieutenant SAMB qui allait toujours en patrouille en tenue courte avec son pistolet PA et son arme automatique M16, quand on lui demandait la question pourquoi se mettre comme ca il nous répondait au combat plus qu’on est léger plus on registre au combat et ce même jour il était habillé de cette manière.
C’est cette fougue et l’envie de ne pas perdre que le feu lieutenant Moustapha SAMB étant commandant d’unité au 12ieme Bataillon d’instruction de Dakar Bango à Saint-Louis et qui fût désigné par l’Etat-major qui lui avait fait perdre la vie au faubourg du port en Guinée Bissau en 1998 il était, il est et il restera toujours dans nos mémoires de mêmes que tous ses jambars qui tombèrent à Babonda et dans les autres secteurs de la casamance et dans le monde que ses Terres leurs soient légères et que Allah le Tout le Puissant les accueillent dans son Paradis éternel amine.
Ce récit est le fait d’un jambar qui est toujours en activité et qui se remémore de cet événement qu’on doit immortaliser pour que ca reste toujours dans nos têtes afin que nous puissions toujours éviter de pareils cas dans l’avenir.
LE JAMBAR
Anonyme
En Juillet, 2015 (16:40 PM)Anar
En Juillet, 2015 (21:00 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (22:32 PM)Participer à la Discussion