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Justice

«Sidiki Kaba et ses journalistes ont manipulé toute la presse pour salir Alioune Ndao», révèle l’avocat El Hadj Diouf (vidéo)

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«Sidiki Kaba et ses journalistes ont manipulé toute la presse pour salir Alioune Ndao», révèle l’avocat El Hadj Diouf (vidéo)
«Bibo ne rentrera pas. Ils vont encore prolonger son séjour médical en France, aussi longtemps que nécessaire», jure l’avocat El Hadj Diouf sur le plateau de «Ça me dit mag» de la 2Stv. Invité de Pape Alé Niang, le tonitruant avocat a fait des révélations fracassantes et éventé une manipulation de l’opinion autour du limogeage du procureur spécial Alioune Ndao. Il met en cause le ministre de la Justice, Garde des Sceaux et ex-avocat de Bibo Bourgi.

«Ils ont manipulé toute l’opinion», renchérit El Hadj Diouf selon qui le ministre de la Justice a manipulé «toute la presse avec ses journalistes» pour salir le procureur spécial. «Je n’ai pas vu le président (Macky Sall : ndlr) depuis plus de 6 mois, m’a révélé Alioune Ndao. Alors comment aurai-je pu demander les arrestations de Madické Niang, Abdoulaye Diop et autres, sans leur servir au préalable une mise en demeure? Et encore faudrait-il que leurs dossiers aient été transmis à la chambre d’instruction de la Crei», rapporte El Hadj Diouf qui cite des bribes d’une conversation qu’il a eue avec l’ex-procureur spécial, après son limogeage.

Dans ce dossier, «Macky Sall s’est fait manipuler», révèle l’avocat qui rappelle et précise: «Alioune Ndao ne peut emprisonner personne. Parce que les gens ne connaissent pas le droit, on en profite pour abuser de leur méconnaissance. (...) Ils ont voulu humilier Alioune Ndao qui a œuvré pendant près de deux ans sur ce dossier (le dossier Karim Wade : ndlr). Ndao a beaucoup de mérite. D’ailleurs c’est la raison pour laquelle ce poste lui a été confié. Parce qu’on sait qu’il est incorruptible», tranche-t-il.
«Cette cour (la Crei : ndlr) n’est pas bonne. Il faut faire vite et évacuer les dossiers», aurait soufflé un jour, Sidiki Kaba, à Alioune Ndao, justement au sujet de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) dont il est devenu le patron, aujourd’hui.

Voir un extrait de l’entretien



42 Commentaires

  1. Auteur

    Dandy

    En Novembre, 2014 (12:16 PM)
    BRAVO MAÎTRE AVOCAT DU PEUPLE
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  2. Auteur

    B

    En Novembre, 2014 (12:24 PM)
    Alioune Ndao a echoue. il nous parlait de 694 milliards. en proces du 31 juillet 2014 au 10 Novembre 2014, il na pu montrer aucune preuve. il a ete malhonnete de placer karim wade sans preuve palpable. A Letat actuel des choses, karim ne devait meme pas recevoir une mise en demeure parce que en proces on a vu aucune preuve
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    Auteur

    Ams

    En Novembre, 2014 (12:27 PM)
    se qui trouve que se crei ne serve à rien c,est depuis le début que se dosier est un réglement de conte , et un acharnement politique , donc arréte de se foutre des senegalais

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    Auteur

    Deçu

    En Novembre, 2014 (12:41 PM)
    un bon avocat n'est pas un avocat que bavard comme ce e h diouf ...tout ce qu'il dit est faux il ne gagne presque pas de procés car au lieu de dire le droit et apporter la preuve des ses allegations il passe tout son temps à faire griotisme et à manquer de respect aux gens
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    Auteur

    El Diouf A Raison

    En Novembre, 2014 (12:58 PM)
    Première fois de ta vie, maitre el hadji Diouf a raison.

    Le malheur et ce qui est grave est que Maitre SIDIKI KABA le ministre de la justice actuel était l'avocat de Bibo bourgi un des complots de Karim WADE. L'heure est grave chers compatriotes.

    Chers sénégalais, soyons raisonnable et on demande la démission de Sidiki KABA.
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    Auteur

    Lu

    En Novembre, 2014 (12:58 PM)


    Limogeage de Alioune Ndao: L’ex-Procureur de la CREI est-il victime de sa fidélité à l’ex PM ?



    Le Magistrat Alioune NDAO, nommé Procureur de la CREI par les soins de Madame Mimi Toure, ex Ministre de la Justice, « Maître des poursuites », a fait preuve de zèle extraordinaire dans la traque des biens mal acquis, qui reflétait amplement la fermeté avec laquelle son mentor pilotait le dossier.





    Limogeage de Alioune Ndao: L’ex-Procureur de la CREI est-il victime de sa fidélité à l’ex PM ?

    Durant toute la période du magistère de Madame Mimi Touré comme Ministre de la Justice, la Dame de « fer », avait son « bras de fer » en la personne du Magistrat Alioune NDAO, dont la fermeté et la détermination dans la traque des biens mal acquis, suscitaient l’admiration des partisans de la reddition des comptes, tout en semant le désarroi dans les rangs des principaux dirigeants de régime déchu du Président Wade.



    La migration de Madame Mimi Touré, du Ministère de la Justice, à la Primature, généralement perçue comme une reconnaissance de son sens élevé de l’Etat dans la gestion des dossiers de la traque des biens mal acquis, renforçait la détermination du Procureur dans son travail d’instruction des dossiers des personnes présumées coupables.



    Mais entre temps, le Procureur NDAO voyait le Ministère de la Justice, changer de main, avec l’arrivée d’un Avocat «Droit de l’Hommiste », plus regardant dans le respect des procédures d’instruction, notamment dans l’appréciation de « l’opportunité des poursuites ».



    C’est ainsi que s’installait rapidement un malaise entre le nouveau « Maître des poursuites » et son Procureur, qui n’avait pas pris la pleine mesure des implications de ce changement, dans la gestion des procédures.



    En effet, l’ « Avocat », dont toute la carrière professionnelle était axée dans la défense du Droit, prenait la place d’une « Politique », qui était réputée par son intransigeance à l’égard de ses adversaires politiques, surtout lorsqu’ils sont présumés coupables d’enrichissement illicite.



    Le Procureur Alioune NDAO n’a pas su adapter son mode de traitement « zélé » de ses dossiers, au nouveau contexte, qui devait le rendre plus regardant dans sa gestion des poursuites, et surtout, plus attentif à la manière dont le nouveau Maître des poursuites entendait qu’il le fasse.



    Tant que son mentor était encore politiquement tout puissant à la tête de la Primature, il se croyait libre de continuer sa manière de faire son travail, sans égard aux observations que lui faisait le nouveau Ministre de la Justice, en poussant même son outrecuidance jusqu’à lui réclamer systématiquement des « instructions écrites », avant de se conformer, à contre cœur, à ses instructions.



    Mais le limogeage de son mentor de la Primature, dans les conditions humiliantes que l’on sait, et l’atmosphère de rébellion qu’elle a entretenu envers le Chef de l’Etat, ont dû le « révolter » à tel point, jusqu’à pousser son esprit « d’ indépendance » à l’égard du Maître des poursuites, à défier même les instructions du Chef de l’Etat, dans l’opportunité d’ouvrir une procédure judiciaire avant les élections locales, à l’encontre de Baldé, Maire sortant de l’Opposition, pour éviter toute interprétation politique de cette action judiciaire.



    De même, son intransigeance dans la prise en compte du dossier médicale de Bourgi lors du démarrage du procès de Karim, avait étonné beaucoup de monde, y compris les partisans fermes de la reddition des comptes, même si son comportement était à la mesure du dilatoire de la Défense pour empêcher la tenue du procès.



    De «guerrier» contre l’impunité que le créditait l’opinion, il devenait « inhumain » dans son comportement face à la nécessité de la comparution de Bourgi, même en civière !



    Cela lui faisait perdre beaucoup de sympathisants, tout en donnant l’impression d’un « acharnement judiciaire » contre Karim, que la Défense a largement exploité afin de gagner la compassion des populations envers Bourgi, et par ricochet, envers leur client.



    C’est dans cette période que fleurissaient des « sondages » donnant Karim au second tour des élections présidentielles, avec des chances de battre le Président sortant au second tour, dans le but évident de faire passer dans l’opinion, le procès contre Karim comme étant un artifice politique pour lui barrer la route aux Présidentielles de 2017.



    Mais, ce qui aurait fait perdre définitivement au Procureur, la confiance du Maître des poursuites et du Chef de l’Etat, serait lié à ses nouvelles tentatives d’ouverture des instructions à l’encontre de hautes personnalités du régime déchu de Wade, sans en référer au Maître des poursuites, alors que le procès de Karim se gérait laborieusement.



    Ces nouvelles initiatives allaient donner l’occasion à l’Opposition, de tenter de vicier encore davantage l’atmosphère, pour jeter le doute sur la culpabilité présumée de Karim.



    Ainsi, à « l’insubordination » caractérisée du Procureur, s’ajoutait une suspicion d’amalgame des « affaires », perçue comme un «projet de sabotage » de la traque des biens mal acquis, par le sentiment de « cafouillage » , et même de « confusion » que son initiation unilatérale ne manquerait pas de produire dans l’opinion, sous l’effet d’une forte dose de propagande de la Dépense et du PDS.



    Son limogeage, en plein procès de Karim, a donc surpris plus d’un, mais paradoxalement pour les non avertis, n’a pas réjoui outre mesure la Défense, dont certains des ténors l’ont mal apprécié publiquement!



    L’on est même surpris que les Avocats de Karim n’aient pas demandé une liberté provisoire pour leur client, du fait de ce changement de Procureur en plein procès !



    Le Procureur Alioune NDAO a donc était victime de sa fidélité à « l’intransigeance » dans la gestion des procédures judiciaires, jusqu’au zèle, qu’il a héritée de son mentor, du temps de sa toute puissance.



    Cet épisode de l’ascension et de la déchéance du Procureur NDAO, avec le malaise qu’elles ont produit chez les partisans de la traque des biens mal acquis, et au sein des plus hautes autorités du pays, traduisent, en fait, les dégâts collatéraux de l’assujettissement du Pouvoir Judiciaire au Pouvoir Exécutif.



    Dans un Pouvoir Judiciaire indépendant, comme le préconise l’Avant projet de Réforme des Institutions par la CNRI, un tel comportement de Procureur n’aurait pas pu avoir lieu, et le cas échéant, son limogeage soulagerait plus qu’il ne gênerait le Pouvoir Exécutif et l’opinion publique.



    Donc, plus que jamais, l’adoption des propositions de Réforme de la CNRI, est le gage d’une gestion sereine des poursuites judiciaires, qui ne seront plus susceptibles d’être suspectées d’être motivées par des soucis de règlements de comptes politiques entre adversaires.



    L’aventure du Procureur NDAO appelle donc notre pays à tourner rapidement la page dans ce sens.



    Ibrahima SENE, PIT/SENEGAL

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    Auteur

    Suite

    En Novembre, 2014 (13:00 PM)


    Mais entre temps, le Procureur NDAO voyait le Ministère de la Justice, changer de main, avec l’arrivée d’un Avocat «Droit de l’Hommiste », plus regardant dans le respect des procédures d’instruction, notamment dans l’appréciation de « l’opportunité des poursuites ».



    C’est ainsi que s’installait rapidement un malaise entre le nouveau « Maître des poursuites » et son Procureur, qui n’avait pas pris la pleine mesure des implications de ce changement, dans la gestion des procédures.



    En effet, l’ « Avocat », dont toute la carrière professionnelle était axée dans la défense du Droit, prenait la place d’une « Politique », qui était réputée par son intransigeance à l’égard de ses adversaires politiques, surtout lorsqu’ils sont présumés coupables d’enrichissement illicite.



    Le Procureur Alioune NDAO n’a pas su adapter son mode de traitement « zélé » de ses dossiers, au nouveau contexte, qui devait le rendre plus regardant dans sa gestion des poursuites, et surtout, plus attentif à la manière dont le nouveau Maître des poursuites entendait qu’il le fasse.



    Tant que son mentor était encore politiquement tout puissant à la tête de la Primature, il se croyait libre de continuer sa manière de faire son travail, sans égard aux observations que lui faisait le nouveau Ministre de la Justice, en poussant même son outrecuidance jusqu’à lui réclamer systématiquement des « instructions écrites », avant de se conformer, à contre cœur, à ses instructions.



    Mais le limogeage de son mentor de la Primature, dans les conditions humiliantes que l’on sait, et l’atmosphère de rébellion qu’elle a entretenu envers le Chef de l’Etat, ont dû le « révolter » à tel point, jusqu’à pousser son esprit « d’ indépendance » à l’égard du Maître des poursuites, à défier même les instructions du Chef de l’Etat, dans l’opportunité d’ouvrir une procédure judiciaire avant les élections locales, à l’encontre de Baldé, Maire sortant de l’Opposition, pour éviter toute interprétation politique de cette action judiciaire.



    De même, son intransigeance dans la prise en compte du dossier médicale de Bourgi lors du démarrage du procès de Karim, avait étonné beaucoup de monde, y compris les partisans fermes de la reddition des comptes, même si son comportement était à la mesure du dilatoire de la Défense pour empêcher la tenue du procès.



    De «guerrier» contre l’impunité que le créditait l’opinion, il devenait « inhumain » dans son comportement face à la nécessité de la comparution de Bourgi, même en civière !



    Cela lui faisait perdre beaucoup de sympathisants, tout en donnant l’impression d’un « acharnement judiciaire » contre Karim, que la Défense a largement exploité afin de gagner la compassion des populations envers Bourgi, et par ricochet, envers leur client.



    C’est dans cette période que fleurissaient des « sondages » donnant Karim au second tour des élections présidentielles, avec des chances de battre le Président sortant au second tour, dans le but évident de faire passer dans l’opinion, le procès contre Karim comme étant un artifice politique pour lui barrer la route aux Présidentielles de 2017.



    Mais, ce qui aurait fait perdre définitivement au Procureur, la confiance du Maître des poursuites et du Chef de l’Etat, serait lié à ses nouvelles tentatives d’ouverture des instructions à l’encontre de hautes personnalités du régime déchu de Wade, sans en référer au Maître des poursuites, alors que le procès de Karim se gérait laborieusement.



    Ces nouvelles initiatives allaient donner l’occasion à l’Opposition, de tenter de vicier encore davantage l’atmosphère, pour jeter le doute sur la culpabilité présumée de Karim.



    Ainsi, à « l’insubordination » caractérisée du Procureur, s’ajoutait une suspicion d’amalgame des « affaires », perçue comme un «projet de sabotage » de la traque des biens mal acquis, par le sentiment de « cafouillage » , et même de « confusion » que son initiation unilatérale ne manquerait pas de produire dans l’opinion, sous l’effet d’une forte dose de propagande de la Dépense et du PDS.



    Son limogeage, en plein procès de Karim, a donc surpris plus d’un, mais paradoxalement pour les non avertis, n’a pas réjoui outre mesure la Défense, dont certains des ténors l’ont mal apprécié publiquement!



    L’on est même surpris que les Avocats de Karim n’aient pas demandé une liberté provisoire pour leur client, du fait de ce changement de Procureur en plein procès !



    Le Procureur Alioune NDAO a donc était victime de sa fidélité à « l’intransigeance » dans la gestion des procédures judiciaires, jusqu’au zèle, qu’il a héritée de son mentor, du temps de sa toute puissance.



    Cet épisode de l’ascension et de la déchéance du Procureur NDAO, avec le malaise qu’elles ont produit chez les partisans de la traque des biens mal acquis, et au sein des plus hautes autorités du pays, traduisent, en fait, les dégâts collatéraux de l’assujettissement du Pouvoir Judiciaire au Pouvoir Exécutif.



    Dans un Pouvoir Judiciaire indépendant, comme le préconise l’Avant projet de Réforme des Institutions par la CNRI, un tel comportement de Procureur n’aurait pas pu avoir lieu, et le cas échéant, son limogeage soulagerait plus qu’il ne gênerait le Pouvoir Exécutif et l’opinion publique.



    Donc, plus que jamais, l’adoption des propositions de Réforme de la CNRI, est le gage d’une gestion sereine des poursuites judiciaires, qui ne seront plus susceptibles d’être suspectées d’être motivées par des soucis de règlements de comptes politiques entre adversaires.



    L’aventure du Procureur NDAO appelle donc notre pays à tourner rapidement la page dans ce sens.



    Ibrahima SENE, PIT/SENEGAL

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    En Novembre, 2014 (13:02 PM)


    Tant que son mentor était encore politiquement tout puissant à la tête de la Primature, il se croyait libre de continuer sa manière de faire son travail, sans égard aux observations que lui faisait le nouveau Ministre de la Justice, en poussant même son outrecuidance jusqu’à lui réclamer systématiquement des « instructions écrites », avant de se conformer, à contre cœur, à ses instructions.



    Mais le limogeage de son mentor de la Primature, dans les conditions humiliantes que l’on sait, et l’atmosphère de rébellion qu’elle a entretenu envers le Chef de l’Etat, ont dû le « révolter » à tel point, jusqu’à pousser son esprit « d’ indépendance » à l’égard du Maître des poursuites, à défier même les instructions du Chef de l’Etat, dans l’opportunité d’ouvrir une procédure judiciaire avant les élections locales, à l’encontre de Baldé, Maire sortant de l’Opposition, pour éviter toute interprétation politique de cette action judiciaire.



    De même, son intransigeance dans la prise en compte du dossier médicale de Bourgi lors du démarrage du procès de Karim, avait étonné beaucoup de monde, y compris les partisans fermes de la reddition des comptes, même si son comportement était à la mesure du dilatoire de la Défense pour empêcher la tenue du procès.



    De «guerrier» contre l’impunité que le créditait l’opinion, il devenait « inhumain » dans son comportement face à la nécessité de la comparution de Bourgi, même en civière !



    Cela lui faisait perdre beaucoup de sympathisants, tout en donnant l’impression d’un « acharnement judiciaire » contre Karim, que la Défense a largement exploité afin de gagner la compassion des populations envers Bourgi, et par ricochet, envers leur client.



    C’est dans cette période que fleurissaient des « sondages » donnant Karim au second tour des élections présidentielles, avec des chances de battre le Président sortant au second tour, dans le but évident de faire passer dans l’opinion, le procès contre Karim comme étant un artifice politique pour lui barrer la route aux Présidentielles de 2017.



    Mais, ce qui aurait fait perdre définitivement au Procureur, la confiance du Maître des poursuites et du Chef de l’Etat, serait lié à ses nouvelles tentatives d’ouverture des instructions à l’encontre de hautes personnalités du régime déchu de Wade, sans en référer au Maître des poursuites, alors que le procès de Karim se gérait laborieusement.



    Ces nouvelles initiatives allaient donner l’occasion à l’Opposition, de tenter de vicier encore davantage l’atmosphère, pour jeter le doute sur la culpabilité présumée de Karim.



    Ainsi, à « l’insubordination » caractérisée du Procureur, s’ajoutait une suspicion d’amalgame des « affaires », perçue comme un «projet de sabotage » de la traque des biens mal acquis, par le sentiment de « cafouillage » , et même de « confusion » que son initiation unilatérale ne manquerait pas de produire dans l’opinion, sous l’effet d’une forte dose de propagande de la Dépense et du PDS.



    Son limogeage, en plein procès de Karim, a donc surpris plus d’un, mais paradoxalement pour les non avertis, n’a pas réjoui outre mesure la Défense, dont certains des ténors l’ont mal apprécié publiquement!



    L’on est même surpris que les Avocats de Karim n’aient pas demandé une liberté provisoire pour leur client, du fait de ce changement de Procureur en plein procès !



    Le Procureur Alioune NDAO a donc était victime de sa fidélité à « l’intransigeance » dans la gestion des procédures judiciaires, jusqu’au zèle, qu’il a héritée de son mentor, du temps de sa toute puissance.



    Cet épisode de l’ascension et de la déchéance du Procureur NDAO, avec le malaise qu’elles ont produit chez les partisans de la traque des biens mal acquis, et au sein des plus hautes autorités du pays, traduisent, en fait, les dégâts collatéraux de l’assujettissement du Pouvoir Judiciaire au Pouvoir Exécutif.



    Dans un Pouvoir Judiciaire indépendant, comme le préconise l’Avant projet de Réforme des Institutions par la CNRI, un tel comportement de Procureur n’aurait pas pu avoir lieu, et le cas échéant, son limogeage soulagerait plus qu’il ne gênerait le Pouvoir Exécutif et l’opinion publique.



    Donc, plus que jamais, l’adoption des propositions de Réforme de la CNRI, est le gage d’une gestion sereine des poursuites judiciaires, qui ne seront plus susceptibles d’être suspectées d’être motivées par des soucis de règlements de comptes politiques entre adversaires.



    L’aventure du Procureur NDAO appelle donc notre pays à tourner rapidement la page dans ce sens.



    Ibrahima SENE, PIT/SENEGAL

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    En Novembre, 2014 (13:03 PM)




    De «guerrier» contre l’impunité que le créditait l’opinion, il devenait « inhumain » dans son comportement face à la nécessité de la comparution de Bourgi, même en civière !



    Cela lui faisait perdre beaucoup de sympathisants, tout en donnant l’impression d’un « acharnement judiciaire » contre Karim, que la Défense a largement exploité afin de gagner la compassion des populations envers Bourgi, et par ricochet, envers leur client.



    C’est dans cette période que fleurissaient des « sondages » donnant Karim au second tour des élections présidentielles, avec des chances de battre le Président sortant au second tour, dans le but évident de faire passer dans l’opinion, le procès contre Karim comme étant un artifice politique pour lui barrer la route aux Présidentielles de 2017.



    Mais, ce qui aurait fait perdre définitivement au Procureur, la confiance du Maître des poursuites et du Chef de l’Etat, serait lié à ses nouvelles tentatives d’ouverture des instructions à l’encontre de hautes personnalités du régime déchu de Wade, sans en référer au Maître des poursuites, alors que le procès de Karim se gérait laborieusement.



    Ces nouvelles initiatives allaient donner l’occasion à l’Opposition, de tenter de vicier encore davantage l’atmosphère, pour jeter le doute sur la culpabilité présumée de Karim.



    Ainsi, à « l’insubordination » caractérisée du Procureur, s’ajoutait une suspicion d’amalgame des « affaires », perçue comme un «projet de sabotage » de la traque des biens mal acquis, par le sentiment de « cafouillage » , et même de « confusion » que son initiation unilatérale ne manquerait pas de produire dans l’opinion, sous l’effet d’une forte dose de propagande de la Dépense et du PDS.



    Son limogeage, en plein procès de Karim, a donc surpris plus d’un, mais paradoxalement pour les non avertis, n’a pas réjoui outre mesure la Défense, dont certains des ténors l’ont mal apprécié publiquement!



    L’on est même surpris que les Avocats de Karim n’aient pas demandé une liberté provisoire pour leur client, du fait de ce changement de Procureur en plein procès !



    Le Procureur Alioune NDAO a donc était victime de sa fidélité à « l’intransigeance » dans la gestion des procédures judiciaires, jusqu’au zèle, qu’il a héritée de son mentor, du temps de sa toute puissance.



    Cet épisode de l’ascension et de la déchéance du Procureur NDAO, avec le malaise qu’elles ont produit chez les partisans de la traque des biens mal acquis, et au sein des plus hautes autorités du pays, traduisent, en fait, les dégâts collatéraux de l’assujettissement du Pouvoir Judiciaire au Pouvoir Exécutif.



    Dans un Pouvoir Judiciaire indépendant, comme le préconise l’Avant projet de Réforme des Institutions par la CNRI, un tel comportement de Procureur n’aurait pas pu avoir lieu, et le cas échéant, son limogeage soulagerait plus qu’il ne gênerait le Pouvoir Exécutif et l’opinion publique.



    Donc, plus que jamais, l’adoption des propositions de Réforme de la CNRI, est le gage d’une gestion sereine des poursuites judiciaires, qui ne seront plus susceptibles d’être suspectées d’être motivées par des soucis de règlements de comptes politiques entre adversaires.



    L’aventure du Procureur NDAO appelle donc notre pays à tourner rapidement la page dans ce sens.



    Ibrahima SENE, PIT/SENEGAL

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    En Novembre, 2014 (13:03 PM)


    Ainsi, à « l’insubordination » caractérisée du Procureur, s’ajoutait une suspicion d’amalgame des « affaires », perçue comme un «projet de sabotage » de la traque des biens mal acquis, par le sentiment de « cafouillage » , et même de « confusion » que son initiation unilatérale ne manquerait pas de produire dans l’opinion, sous l’effet d’une forte dose de propagande de la Dépense et du PDS.



    Son limogeage, en plein procès de Karim, a donc surpris plus d’un, mais paradoxalement pour les non avertis, n’a pas réjoui outre mesure la Défense, dont certains des ténors l’ont mal apprécié publiquement!



    L’on est même surpris que les Avocats de Karim n’aient pas demandé une liberté provisoire pour leur client, du fait de ce changement de Procureur en plein procès !



    Le Procureur Alioune NDAO a donc était victime de sa fidélité à « l’intransigeance » dans la gestion des procédures judiciaires, jusqu’au zèle, qu’il a héritée de son mentor, du temps de sa toute puissance.



    Cet épisode de l’ascension et de la déchéance du Procureur NDAO, avec le malaise qu’elles ont produit chez les partisans de la traque des biens mal acquis, et au sein des plus hautes autorités du pays, traduisent, en fait, les dégâts collatéraux de l’assujettissement du Pouvoir Judiciaire au Pouvoir Exécutif.



    Dans un Pouvoir Judiciaire indépendant, comme le préconise l’Avant projet de Réforme des Institutions par la CNRI, un tel comportement de Procureur n’aurait pas pu avoir lieu, et le cas échéant, son limogeage soulagerait plus qu’il ne gênerait le Pouvoir Exécutif et l’opinion publique.



    Donc, plus que jamais, l’adoption des propositions de Réforme de la CNRI, est le gage d’une gestion sereine des poursuites judiciaires, qui ne seront plus susceptibles d’être suspectées d’être motivées par des soucis de règlements de comptes politiques entre adversaires.



    L’aventure du Procureur NDAO appelle donc notre pays à tourner rapidement la page dans ce sens.



    Ibrahima SENE, PIT/SENEGAL

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    Auteur

    Fin

    En Novembre, 2014 (13:04 PM)


    Dans un Pouvoir Judiciaire indépendant, comme le préconise l’Avant projet de Réforme des Institutions par la CNRI, un tel comportement de Procureur n’aurait pas pu avoir lieu, et le cas échéant, son limogeage soulagerait plus qu’il ne gênerait le Pouvoir Exécutif et l’opinion publique.



    Donc, plus que jamais, l’adoption des propositions de Réforme de la CNRI, est le gage d’une gestion sereine des poursuites judiciaires, qui ne seront plus susceptibles d’être suspectées d’être motivées par des soucis de règlements de comptes politiques entre adversaires.



    L’aventure du Procureur NDAO appelle donc notre pays à tourner rapidement la page dans ce sens.



    Ibrahima SENE, PIT/SENEGAL

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    Auteur

    Peuls,

    En Novembre, 2014 (13:10 PM)
    C'est rare que NOUS intervenions pour donner notre libre-franc avis sur les diatribes, souvent diaboliques, de Me Diouf qui n'a de Diouf que de nom, car certainisé, mouton d'un des archi-faux religieux de là-bas. NOUS rappelons que Me Alioune Ndao, dès sa nomination, s'est rendu là-bas, chez les archi-faux religieux, Dieu sait comment-pourquoi. Il se peut que Me Ndao et Me Diouf qui n'a de Diouf que de nom soient les deux dingues dindons des farces d'un même archi-faux religieux de là-bas. Ce qui est sûr-certain est que jamais des certains-es-certainisés-es-archi-faux religieux du funeste axe de tous les maux-affluents bougent-s'agitent pour les intérêts généraux de la Nation entière et de ses peuples archi-divers-archi-différents à jamais. QU'IMPORTE! NOUS, DIGNES-NOBLES PEUPLES SENEGALAIS, EXIGEONS QUE LE REPTILE EN CHEF DE L'ETANG POLITIQUE EN RUINE RAMENE TOUS LES WAGONS DE SOUS QU'IL A SACCAGES-DETOURNES-VOLES-TRAFIQUES, TOUTES LES TERRES QU'IL A BRADEES, TOUTES LES RESSOURCES QU'IL A PILLEES. DANS CETTE ATTENTE, IL DOIT RESTER AU REPOS BIEN MERITE. TOUS NOS SOUS. TOUS NOS BIENS! POINT À LA LIGNE! PEULS.
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    Auteur

    Lu

    En Novembre, 2014 (13:11 PM)
    Voila un defi que Aliou Ndao n a pas pu relever



    l’avocat de la défense, Me Amadou Sall a lancé un véritable défi à la Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite (CREI). Il a déclaré que « si le procureur de la CREI prouvait l’existence d’un compte de Karim Wade contenant 47 milliards à Singapour, il est prêt à déchirer sa robe d’avocat et mettre fin à son métier d’avocat ». Un véritable défi auquel le procureur de la CREI ne pourra faire face car aucun compte n’existe à Singapour et l’ex ministre de la justice le sait
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    Auteur

    Baller

    En Novembre, 2014 (13:17 PM)
    si maitre sidiki kaba etait l avocat de bourgi pourquoi maky la nome min de la justice .
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    Auteur

    Sos

    En Novembre, 2014 (13:23 PM)
    j attire l attention des Senegallais sur le fait que 75 % du gouvernement de Macky Sall travaillent en fait pour l ancien regime ...

    Ils font tout pour destabiliser le pays ...

    Ils ont corrompus les journalistes pour mener le pays au chaos ...

    Au secours la mafia et les fanc macons d un l ancien reigime sont parmi nous et mettent le pays a genoux ...

    Il est temps de demasquer tous les traires qui sont parmi nous ...

     :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :sn:  :tala-sylla: 
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    Auteur

    Listo

    En Novembre, 2014 (13:24 PM)
    Cet homme, avocat, bavard a tout rompre, à qui la presse tend volontiers le micro est un des nombreux médiocres et qui ne continue en rien, a faire comprendre très clairement , quels sont les enjeux, de quoi s'agit il!

    Il accuse le minitre de la justice d'avoir manipulé et la presse, l'opinion et même Macky Sall, et finalement Alioune Ndao a été démis de ses fonctions.

    En disant cela, Elhadj Diouf, avocat de Hissene Habre, et peut être pour régler son compte Sidiki Kaba, un de ceux,précisément qui se sont battus pour que Habre soit traduit en justice, Elhadj Diouf lui même est en train de manipuler l'opinion.

    Nous ne savons nullement ce qui est reproché à Aliuone, s'il a commis des fautes, s'il a outrepassé ses prérogatives, mais Il est faux de subodorer que Alioune Ndao, a été démis par Macky Sall quand bien même, il lui reviendrait le décret, mettant fin à ses fonctions!

    On peut s'émouvoir de la forme, du moment, de l 'opportunité, mais cela n'a aucune espèce d'importance, c'est le lot des hauts fonctionnaires et on le voit tous les jours au Conseil des ministres!

    Lorsque j'ai comp que Alioune Ndao a été démis après avis du Conseil Supérieur de la Magistrature, j'ai fait ce que chacun peut faire, en consultant le Net.

    Ce Conseil, préside par le Chef de l'Etat, a pour vice président le ministre mais compte surtout et surtout 6 Hauts Magistrats, dont le le a Presiident de la Cour Suprême, le Président de..... etc : le sort de Alioune Ndao a été scellé a ce niveau, et certainement pour de Serieux motifs!

    Peut on un instant imaginer que Sidiki Kaba puisse manipuler tout ce monde? Il faut tout de même être serieux!
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    Auteur

    Listo

    En Novembre, 2014 (13:34 PM)
    Plus exactement le Conseil Supérieur de la Magistrature compte 7 Hauts Mgistrats et c'est là où le sort de Alioune Ndao a été et certainement pour des motifs bien fondés!

    Peut on un instant , imaginer, que Sidiki Kaba ait pu manipuler tout ce monde?

    Il faut tout de même être sérieux et éviter d'être ridicule!
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    Auteur

    Baba

    En Novembre, 2014 (13:42 PM)
    Et ça coute combien au contribuable ce crei on va remettre en place une autre personne et c'est reparti pour 2 ans ? C'est lechec de Alioune Ndao ou celui de son patron
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    Auteur

    Dg

    En Novembre, 2014 (13:54 PM)
    Il suffit juste que Seneweb filtre ces genres de messages et insulte et le problème est réglé. Pas besoin d'activité la DIC pour ses infanteries.

    Y'a trop de choses pourries dans ce forum.

    Dans les autres forums les gens parlent de choses sérieuses, on apprend toujours en les visitant et on a tout suite envie de revenir et de découvrir de nouvelles choses, alors qu'ici, que des conneries, insulte sur insulte; "cou gueneu niaw sa morom lamigne ngané qui laaa....!!!!"

    Le monde avance et nous devons avancé avec lui. Parlons de choses sérieuses et important. Partageons nous des idées fortes et intéressantes... etc.

    Je lance donc ce message à SENEWEB: "svp supprimer tout ce qui est insulte et incitation à la heine raciale"
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    Mounos

    En Novembre, 2014 (14:09 PM)
    Les Sénégalais ont droit, depuis trois minutes à la rediffusion de l'émission "POINT DE VUE" d'Omar Gningue dont l'invité était monsieur JEAN PAUL DIAZ ! Cette émission a été fort intéressante, eu égard à la dimension de l'invité, qui n'a pas l'habitude de mâcher ses mots et d'user de la langue de bois. Je déplore simplement que la RTS n'ait pas collée à l'actualité brûlante qui n'est rien d'autre que le renvoi du Procureur Alioune N'daw, le meeting qui semble avoir été autorisé. A moins que l'animateur OUMAR soit du voyage avec le Président de la République au sommet du G20 EN AUSTRALIE, je ne vois pas ce qui justifie cette rediffusion avec DIAZ ! A suivre !
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    Mor

    En Novembre, 2014 (14:10 PM)
    Maitre est pour le people. Le Senegal a besoin de lui.
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    Auteur

    Deugue Rek

    En Novembre, 2014 (14:15 PM)
    Ki wakhoul deug tout ce qu'il fait c'est de la politique depuis 2 ans karime est en prison vous l'avait accuser des milliards tous rien bayilen domou djambour beutt bou rousoul toj yaw mom bosanione procebi dou diekh le ministre il à raison l'etat perd beaucoup d'argent dimbeuliniu el'hadji diouf c'est seulement l'argent qui t'intéressant wassalam
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    Kantar

    En Novembre, 2014 (14:17 PM)
    Elhadji est un gros menteur il va payer sa malhonetete intelectuelle sil croit que maintenir karim en prison lui donne des chances darriver au pouvoir.il est tout simplement entrain dinsulter lintelligence des senegalais, on verra
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    @ Dg

    En Novembre, 2014 (14:18 PM)
    Nous ne pouvons nous empêcher de dire combien cet avocat el Hadj Diouf est ridicule dans ce qu'il dit et surtout dans son comportement hideux dans tous les dossiers ou il est implique. Comment ce ministre peut manipuler le conseil supérieur de la magistrature avec les hauts magistrats intégrés ? Non nous n'insultons point mais nous montrons notre indignation face à ses dérapages de tous les jours.
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    Peuls,

    En Novembre, 2014 (14:32 PM)
    L'Italie fut un des rares pays occidentaux où les cruels mafieux-corrompus-prédateurs-voleurs-criminels donnaient l'impression d'être intouchables-éternels, tellement ils étaient riches-forts-solides-dangereux-violents-criminels, étendant leurs tentacules partout, jusqu'au Vatican, Intellectuels, Justice, etc. Heureusement pour l'Italie, un grand pays d'érudits, de Savants, de Scientifiques renommés, une écrasante majorité des Italiens-nes, en avait marre de vivre dans les terreurs-horreurs-déshonneurs de ces cruels fléaux-parasites. Avec le changement au niveau politique, furent nommés des Procureurs compétents-capables-expérimentés-efficaces-efficients-intègres-travailleurs, surtout libres-courageux. Quelques uns furent assassinés. De Pietro, un des piliers de la brigade anti-mafia, "Mani pulite", Mains propres, quelques autres ont pu se soustraire à l'assassinat, grâce à un renforcement inouïe de leur sécurité. Au Sénégal, il faut une brigade de Juristes, Policiers, Gendarmes, Militaires, Fonctionnaires PATRIOTES PURS-COMPETENTS-CAPABLES-LIBRES-COURAGEUX pour sauver le Sénégal des désastres wadiens-certainiens, une sérieuse menace pour la paix vraie dans ce Sénégal dans les catastrophes catastrophiques depuis le 01.01.1963. PEULS.
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    Boy Lebou

    En Novembre, 2014 (14:44 PM)
    Effectivement Mr. Kaba ne devait pas être nommé ministre de la justice, conflit d'intérêt grave. La même chose avec la femme de Latif Coulibaly au bureau de suivi du PSE. Absolument pas de rupture au Sénégal same old same.
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    Nga_ri

    En Novembre, 2014 (15:24 PM)
    il faut demissionner sidiki kaba, ces avocaillons senegalais n ont ni ethique, ni deontolologie. en plus il a une tete de rat ou de serpent au choix. ce sauvage manipule notre justice comme si c etait sa propriete.
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    Bn Usa

    En Novembre, 2014 (15:29 PM)
    Merci. Maitre Diouf. Excellnte contribution. Il faut eveiller les esprits. Mr Kaba ne doit pas diriger notre justice et Alioune Ndao doit etre reintegrer dans ses anciennes fonctions de la Crei. Sinon le Senegal dou mossa dem.
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    Deug

    En Novembre, 2014 (15:38 PM)
    Je l'ai toujours sous estimé mais il commence à me plaire , tu as parfaitement raison Me, Macky a mélangé les pédales quand il nommé Sidiky Kaba ministre de la justice, c'est honteux pour un président de faire ces genres d'erreurs. Me Diouf tu ignore les origines de Madiambal diagne, cet virus est un descendant des esclaves du royaume du Kayor, Me ce franmacon est corrompu jusqu'à la moelle osseuse, je te demande de conseiller au procureur de faire comme son parent le colonel abdou aziz ndao. Me Diouf entre dans l'histoire par la grande porte. Merci beaucoup Me. ..
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    Auteur

    Peuls,

    En Novembre, 2014 (15:44 PM)
    L'infect aspect qui caractérise les pseudos élites, est leurs incapacités de s'opposer dans le respect strict des Institutions de la République, de ses lois-règlements-règlements, tout en donnant leurs versions des faits argumentés, leurs projets-programmes alternatifs, à soumettre à l'examen des peuples du Sénégal éternellement archi-pluriel en TOUT. À ce sujet, l'Ingénieur Macky SALL, dans son sain-saint Discours de rupture affirme, "....il faut surtout oser agir, pour tisser les rameaux de l'espérance et édifier un Sénégal développé, libre et démocratique". En guise de conclusion, l'Ingénieur Macky SALL précise: "Nous pouvons relever tous ces défis à une condition: assumer une nouvelle Convergence; accepter une nouvelle manière d'être ensemble, une nouvelle manière de gérer notre diversité en la centrant, exclusivement, sur la défense de la cause et des intérêts de notre cher Sénégal". Fin de citation. Que certains-es-certainisés-arch-faux religieux du funeste axe de tous les maux-affluents, bouffeurs insatiables de harams-ribas, s'opposent-critiquent, mais qu'ils livrent leurs versions des faits argumentés, leurs projets-programmes, à soumettre à l'examen des Peuples divers-différents à jamais. PEULS.
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    Auteur

    Intéressé

    En Novembre, 2014 (15:48 PM)
    Le plutôt le Sénégal se debarrassera de macky le mieux .en plus de son manque de poigne il nous livre à la France
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    Auteur

    Traitres

    En Novembre, 2014 (16:35 PM)
    Beaucoup de personnalites du gouvernement de Macky Sall travaillent pour l ancien regime ...

    Ce sont des franc macons des mafieux etc...

    Ils veulent conduire le pays au chaos ...

    les traitres , dehors !!!!

     :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :haha:  :haha:  :haha:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :tala-sylla:  :tala-sylla:  :tala-sylla: 
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    Auteur

    Mtr

    En Novembre, 2014 (17:31 PM)
    CETTE GRANDE GUEULE NE ROUCOULE KE POUR SA PITANCE



    ON S EN FOUT DES ALIOUNE NDAO KABA WADE ET CONSORTS



    SUR VOTRE QUERELLE DE BORNE FONTAINE



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    Auteur

    Wala

    En Novembre, 2014 (17:50 PM)
    Si Monsieur sidiki kaba etait l'avocat de bibo pourquoi macky la nommer minister de la justice .

    Mais Macky je commence a regretter .

    Macky tu n'est pas elu pour faire du barra yeggo .

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    Auteur

    Futur

    En Novembre, 2014 (18:57 PM)
    je ne comprends pas pourqoi maitres parle a la place dee aliou ndao wa salam
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    Zinoviev

    En Novembre, 2014 (20:08 PM)
    PROCUREUR NDAO, SI TON STATUT TE LE PERMT , FAIS UN POINT DE PRESSE CAR SI TU TE TAIS CE QUE NOUS REDOUTONS ARRIVERA . LE MINISTRE DE LA JUSTICE A EU TA TETE MAIS C'EST CELLE DE MACKY QU'IL AURA POUR L'OFFRIR A TOUS CES LOBBIES IMPLIQUES DANS L'AFFARE KARIM ET QUI SONT TROP ENTRELACES QU'IL FAUT ETRE VIGILENT A L'EXTREME . SI LE PR PERD SA CREDIBILITE QUI VIENT D'ETRE SERIEUSEMENT ECORNEE PAR CE LIMOGEAGE IMPULSIF AINSI QUE LA " FUITE ORGANISEE DE BIBO" C'EST MEME PAS LA PEINE QU'IL SE PRESENTE AUX POCHAINES ELECTONS ! ON Y ARRIVERA PAS PARCEQUE CA VA EXPLOSER LE REGIME ET LE PDS N'AURA PLUS QU'A RAMASSER LES RESTES .... CES DROITS DE L'HOMMISTES SONT DES FUMIERS DEVANT L'ETERNEL , TU AS RAISON EL HADJI ET OU ETAIENT ILS LE 23 JUIN ? MACKY NE NOUS DECOIS PAS ! TU TE FAIS MANIPULER PAR TROP DE SECTEURS : C 'EST COMME SI TOUT EST FAIT POUR " vider petit a petit le dossier de la traque et proclamer la CREI sans objet " ........
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    Dabakh Le Citoyen

    En Novembre, 2014 (20:23 PM)
    MON TRES CHER PAYS LE SENEGAL VA MAL

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    Auteur

    Cheikhtcisse

    En Novembre, 2014 (20:58 PM)
    Mr le president de la republique le Senegal vous a elu pour resoudre ses problemes d'un cote et de faire revenir les milliards voles. Certes depuis que vous vous etes a la tete de la nation vous faites un travail remarquable en adoucissant les soufrances des senegalais. Nous vous demandons de bien vouloir retablir le Procureur Alioune n'daw dans ses fonctions de traques des biens mal acquis qui plus est fait un excellent travail dans l'interet du Senegal,tout en se basant sur les eclaircissements donnes par le depute du Peuple Maitre Elhadji diouf
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    Auteur

    Lam

    En Novembre, 2014 (21:44 PM)
    c'est dommage mais nous n'avons pas de président car Me diouf répéte chaque jour que le Prési est manipulé de la meme manière que tafsir thioye qui dit chaque jour que le président est trompé doc où va le sénégal si le prési est tout le tps manipulé et trompé.
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    Auteur

    Un Passant

    En Novembre, 2014 (01:05 AM)
     :tala-sylla:  SI CE QUE Me El Hadji DIOUF A DIT EST VRAI, NOTRE PAYS EST EN DANGER !!!!!!!

    Avoir nommé Sidiky Kaba à la tête de la justice sénégalaise a été une grosse erreur de la part de Macky. Car voici un ministre de la justice qui, il y'a quelques mois auparavant était l'avocat qui défendait Bibo Bourgi.

    Je me demande comment et pourquoi Macky a porté son choix sur Sidiky Kaba ?

    Macky yoo, Sidiky yoo peuvent tromper et manipuler les sénégalais 1 fois, mais s'ils pensent pouvoir le refaire, ils se fourrent le doigt dans l'oeil car 2017 est déjà très proche et rien ne pourra empêcher leur passage sur les bancs du tribunal.

    Si les révélations de Me Diouf sont vrais, cela signifie tout simplement que Macky a trahi et que 2017 est déjà perdu pour lui et que 2018 sera le début de l'ouverture des procés pour Macky et ses amis.

    LE PEUPLE VOUS REGARDE ET VOUS LAISSE FAIRE. MAIS SACHEZ QU'ON NE SE MOQUE PAS DE LA REPUBLIQUE CAR ELLE EST AU DESSUS DE TOUS LES MAGOUILLEURS !!!!!
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    Auteur

    O

    En Novembre, 2014 (05:30 AM)
    S'il vous plait, foutez une balle dans la tete a ce putin El hadj Diouf :haha:  :haha:  :haha:  :haha:  :haha:  :haha: 
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    Auteur

    Fara

    En Novembre, 2014 (09:46 AM)
    Merci Me au moinsà travers votre personne on connait la verité.



    Bravo Elhadji
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