
Le directeur informatique de la TFM, traduit en justice par Aïssatou Diop Fall, est un cousin paternel du président Bassirou Diomaye Faye. L’identité de Meissa Faye a été révélée par Cheikh Bara Ndiaye, pour étayer la thèse de l’indépendance et la neutralité de la justice sénégalaise.
Pour rappel, l’informaticien a été en position de garde à vue, à la suite d’une plainte de son ancienne collègue Aïssatou Diop Fall. Celle-ci lui reproche d’avoir effectué frauduleusement plusieurs retraits d’argent (plus de 2 millions F CFA) sur son compte bancaire.
L'affaire a finalement été gérée à la suite d'une médiation pénale.
13 Commentaires
Avant cette date, certains justiciables étaient plus égaux que d'autres. Jubanti rék
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En Juin, 2024 (15:12 PM)Karim-usa ~~~~(>_
En Juin, 2024 (15:54 PM)Idioties Des Copines D'hier Et
En Juin, 2024 (15:59 PM)Reply_author
En Juin, 2024 (17:35 PM)Même les insulteurs pro Sonko bénéficient d’impunité.
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En Juin, 2024 (17:48 PM)Reply_author
En Juin, 2024 (17:51 PM)Ce que ne vous savez pas c'est que sa femme est partie avec un toubab
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En Juin, 2024 (19:24 PM)Et aprés que Aïssatou Diop Fall nous dise foumou dieulé 200 millions (yi FONGIS compléter pour son investissement) si simpale journaliste
JUBB JUBBALE JUBANTYI
Human Being
En Juin, 2024 (15:17 PM).alors le zoo ya pas POROZET zanzement ?
Ngor
En Juin, 2024 (15:30 PM)Amad
En Juin, 2024 (16:46 PM)Cohérence rek, ce serait jub et jubal
Drdiop
En Juin, 2024 (16:52 PM)Mal
En Juin, 2024 (17:11 PM)Parce qu il est "entre guillemet" le cousin du president,( ce qui reste a verifier)
vous vous en rejuissez d'avoir de quoi crever l'oeil des lecteurs,
Ors qu il ya rien de special qui merite ce gros super titre a la con.
Pauvre de vous, pauvre Senegal.
Le journalisme d'aujourd hui, c'est un malheur.
Les saisies de drogue en provenance d’Amérique latine et à destination de l’Europe se sont multipliées ces derniers mois, contraignant les autorités à renforcer leurs moyens de lutte.
Les douaniers sénégalais ne chôment pas. Lundi 3 juin, ils ont intercepté sur la route entre Fatick et Kaolack, dans le centre du pays, une cargaison de 33 kg de cocaïne d’une valeur de 2,7 milliards de francs CFA (4,1 millions d’euros), dissimulée « dans des cachettes aménagées d’un véhicule de type Mercedes immatriculé à l’étranger », selon un communiqué des douanes. Deux jours plus tôt, une cargaison de 30 kg avait été saisie dans le village de Keur Ayip, près de la Gambie. Le chargement, d’une valeur de 2,4 milliards de francs CFA, était caché « dans les cavités des portières et de la malle arrière » d’un véhicule « en provenance d’un pays limitrophe du Sénégal », indiquent les douanes.
Les saisies s’enchaînent, volumineuses. En avril, une tonne de cocaïne avait été interceptée dans la ville de Kidira, frontalière avec le Mali. Le même mois, 95 kg sur l’axe routier Tambacounda-Koumpentoum. Et trois tonnes sur un navire arraisonné au large du Sénégal fin décembre. « La récurrence de ces saisies démontre la volonté des criminels de faire du Sénégal une plateforme du crime organisé », a dénoncé le directeur général des douanes, Mbaye Ndiaye.
Depuis le début des années 2000, l’Afrique de l’Ouest est devenue une zone privilégiée pour le transit de la cocaïne en provenance d’Amérique latine, particulièrement du Brésil, de la Colombie et du Pérou, et à destination de l’Europe, second marché le plus important de consommateurs. La Guinée-Bissau, au sud du Sénégal, a ainsi joué un rôle prépondérant dans le trafic international de poudre blanche. Mais le trafic s’est géographiquement étendu. De même que les saisies.
Les routes maritimes entre l’Amérique latine et l’Europe étant de plus en plus contrôlées, « la situation géographique de l’Afrique de l’Ouest en fait désormais une étape naturelle, d’autant que la route en provenance du continent africain est moins surveillée », relate Lucia Bird, directrice de l’Observatoire des économies illicites en Afrique de l’Ouest (basé à Dakar) au sein de l’ONG Global Initiative Against Transnational Organized Crime (GI-TOC).
Gang brésilien, mafia calabraise
Dans son rapport 2024 sur le trafic de drogue dans la région, l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) souligne que ces trafics se sont développés « dans un contexte d’augmentation de la production de cocaïne en Amérique du Sud et d’une demande croissante de la drogue en Europe ». Selon l’ONUDC, la majorité de la cocaïne qui arrive en Afrique de l’Ouest prend en effet la direction du Maghreb et de l’Europe en empruntant des routes maritimes le long du continent, mais aussi des routes terrestres à travers les pays du Sahel, dont la Mauritanie et le Mali, voisins du Sénégal.
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En Juin, 2024 (18:53 PM)Tout est le résultat de la politique occidentale dans le pays africains et voie de développement.
C’est par un renseignement anonyme que les investigations ont démarré au commissariat de Juvisy. Une indiscrétion selon laquelle un salon de la ville, installé rue Blazy, proposerait des prestations sexuelles à l’issue des séances de massage. Les clients qui le souhaiteraient verseraient ainsi 50 euros en échange d’une masturbation.
Malick
En Juin, 2024 (16:09 PM)Participer à la Discussion