
Le député de l’Apr et vice-président de l’Assemblée nationale livre ses quatre vérités dans la presse de cette semaine où il revient sur l’affaire de l’incendie de ses deux maisons à Touba, l’emprisonnement de Serigne Assane Mbacké et le rôle des forces de l’ordre qu’il accuse d’avoir laissé faire.
«Ce qui s’est passé chez moi le 20 juin, c’est plus qu’une non assistance à personne en danger. Il y a avait de la complicité des forces de sécurité et de défense qui n’avaient pas joué pleinement leur rôle. Si elles avaient (joué) leur rôle, ce qui s’est passé n’allait pas se produire», tient à préciser Moustapha Cissé Lô qui estime que l’Etat qui est l’unique responsable dans cette affaire.
Convaincu que les forces de l’ordre «avaient les moyens, elles ont été saisies à temps, mais elles n’ont pas réagi à temps. Je ne saurais accepter que, deux jours avant les saccages, depuis Accra, que j’ai saisi le commissaire de la police, la directrice de la Sûreté nationale et tous les deux m’ont rassuré avoir pris toutes leurs dispositions et malgré cela, qu’on puisse brûler mes biens, voler mon argent et blesser des individus», fustige le député, qui apporte des précisions sur l’emprisonnement du jeune marabout Serigne Assane Mbacké.
«Pour l’incendie, je ne poursuis outre que l’Etat du Sénégal. C’est clair. Mais je me sens diffamé par Serigne Assane Mbacké qui m’accuse d’avoir détourné de l’argent de l’Oncad (Office national des coopératives agricoles de Diourbel) et d’abus de confiance concernant 6 mille foyers pour des financements, j’ai porté plainte contre lui afin qu’il m’apporte les preuves et pour ce dossier aussi, je réclame 1 milliard de francs Cfa pour laver mon honneur. Voilà pourquoi, explique-t-il, ce dossier est entre les mains du juge sauf changement de dernière minute, je serai entendu le lundi (aujourd’hui) par le tribunal».
«Ce qui s’est passé chez moi le 20 juin, c’est plus qu’une non assistance à personne en danger. Il y a avait de la complicité des forces de sécurité et de défense qui n’avaient pas joué pleinement leur rôle. Si elles avaient (joué) leur rôle, ce qui s’est passé n’allait pas se produire», tient à préciser Moustapha Cissé Lô qui estime que l’Etat qui est l’unique responsable dans cette affaire.
Convaincu que les forces de l’ordre «avaient les moyens, elles ont été saisies à temps, mais elles n’ont pas réagi à temps. Je ne saurais accepter que, deux jours avant les saccages, depuis Accra, que j’ai saisi le commissaire de la police, la directrice de la Sûreté nationale et tous les deux m’ont rassuré avoir pris toutes leurs dispositions et malgré cela, qu’on puisse brûler mes biens, voler mon argent et blesser des individus», fustige le député, qui apporte des précisions sur l’emprisonnement du jeune marabout Serigne Assane Mbacké.
«Pour l’incendie, je ne poursuis outre que l’Etat du Sénégal. C’est clair. Mais je me sens diffamé par Serigne Assane Mbacké qui m’accuse d’avoir détourné de l’argent de l’Oncad (Office national des coopératives agricoles de Diourbel) et d’abus de confiance concernant 6 mille foyers pour des financements, j’ai porté plainte contre lui afin qu’il m’apporte les preuves et pour ce dossier aussi, je réclame 1 milliard de francs Cfa pour laver mon honneur. Voilà pourquoi, explique-t-il, ce dossier est entre les mains du juge sauf changement de dernière minute, je serai entendu le lundi (aujourd’hui) par le tribunal».
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