
« Cette affaire est extrêmement grave, pour des raisons de santé publique. C’est un commerce lucratif sur les réseaux sociaux. Les pharmaciens ont expliqué que même les compléments alimentaires peuvent constituer un danger. On tue des gens avec des médicaments. Ces bonnes dames qui faisaient d’autres activités se sont mises à vendre ces produits. Ce n’est pas leur métier de les vendre. Il faut qu’elles arrêtent. Les victimes ne savent pas les effets néfastes de ces produits. Mais il y a beaucoup de dames qui se sont retrouvées avec des infections. Elles n’ont pas nié que les produits ont été saisis sur elles. Elles disent seulement qu’elles ne savaient pas que c’est interdit. C’est un problème de santé publique. Il faut un avertissement exemplaire », plaide Me Kane avant de demander le franc symbolique.
14 Commentaires
Pascaline Bampassy
En Février, 2025 (13:37 PM)Ces produits non-homologués provoquent des nécroses, des cancers, et des tas d’autres maladies que nous n’avons pas encore cernées ! Les vendeuses doivent être condamnées avec la dernière sévérité !
Hakim
En Février, 2025 (14:14 PM)Et les vendeurs de khessal sur les réseaux sociaux ?
Et les boutiques cosmétiques qui ont pignon sur rue et qui vendent des produits de depigmentation ?
Et les vendeurs de remèdes pour siti, impuissance sexuelle, hémorroïdes, etc ?
Et les vendeurs de produits aphrodisiaques et de pommades miracles pour agrandir la taille de l’organe genital ?
Et les télés qui leur vendent des temps d’antenne pour faire la promotion de ces produits ?
Pms
En Février, 2025 (15:52 PM)Pms
En Février, 2025 (15:52 PM)Participer à la Discussion