Une affaire de "chantage et d'harcèlement sexuel" éclabousse le Centre des hautes études de défense et de sécurité (CHEDS) placé sous la tutelle de l'État-major Particulier de la présidence de la République.
L'employée F. F., analyste en défense, sécurité et paix, a intenté un procès contre le CHEDS pour licenciement abusif devant le tribunal du Travail.
Selon Les Échos, l'ex-mannequin, qui occupe le poste de chargée de programme à la direction de la recherche et de la publication du CHEDS, confie avoir été victime de "harcèlement sexuel" de la part de ses supérieurs.
Les faits remontent au mois de mars dernier. Mais, selon d'autres sources du journal, son licenciement est lié à ses nombreux retards et absences répétées.
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