Antoine Félix Diome a débuté son réquisitoire d’hier en balançant des flèches à l’avocate Me Corinne Dreyfus Schmidtt qui avait demandé la veille à la Cour de comprendre ses confrères qui étaient « brouillon ».
Retournant ses propos contre la présidente de l’Association française des avocats pénalistes, Antoine Diome s’est amusé à donner des exemples de couacs à la défense. C’est le cas, après la plaidoirie de Me Jessica Finel, quand « son confrère du même bord », Me Cassart, lance à l’entame de son propos, sans sourciller : « J’assume de prendre le contre-pied de ma consœur… ».
La défense a fait des incursions dans le fond, note-t-il, au point qu’au cours de son intervention, Me Souleymane Ndéné Ndiaye a été obligé de glisser un mot à Me Seydou Diagne (non mais comment peut-il savoir, à quelques mètres de la barre, ce qui était écrit sur le bout de papier ?). L’on a soutenu que pour les désignations d’experts, jamais une notification n’a été faite.
6 Commentaires
Naa Leer
En Août, 2014 (09:19 AM)Karim
En Août, 2014 (09:23 AM)Ne me trahissez pas! Faites tout pour que le proces soit avorte et avec le temps on n'en reparlera plus jamais.
Ne me trahissez pas ,maitres! Ne lachez pas la question sur les procedures et ne reconnaissez jamais la legitimite de la crei.
Honoris Causa Diom Ak Diomb
En Août, 2014 (09:33 AM)C'EST VRAI QUE DANS NOTRE PARLER DÉMOCRATIQUE OU POLITIQUE IL Y A TROP DE RACAILLE DANS LA ROCAILLE...
Abou
En Août, 2014 (10:36 AM)Mais
En Août, 2014 (12:12 PM)Sago
En Août, 2014 (13:15 PM)Participer à la Discussion