La Cour suprême n’a pas perdu de temps pour apporter des précisions sur une supposée annulation de l’arrêté Ousmane Ngom. Ceci, à la suite d’une publication d’un article de presse intitulé «La Cour suprême enterre l’arrêté Ousmane Ngom».
«La cour a annulé l’arrêté du 31 août 2018 du préfet du département de Dakar portant interdiction du sit-in devant les locaux du ministère de l’Intérieur envisagé le 4 septembre 2018 sous la bannière du Pds par Assane Ba, Birane Barry et Djiby Ndiaye. Il s’agit d’une jurisprudence constante de la Cour suprême fondée sur la Constitution et la loi numéro 78-02 du 29 janvier 1978 relative aux réunions, voire arrêt Alioune Tine Amnesty International», ont écrit, dans un communiqué, les services de communication de cette juridiction suprême.
A les en croire, «ceci n’a rien à voir avec l’arrêté du 20 juillet 2011 dit arrêté Ousmane Ngom».
Enfin, ils annoncent que l’arrêt disponible actuellement sera publié sur le site de la Cour suprême, après notification de la décision aux parties.
12 Commentaires
Citoyen
En Mai, 2019 (16:11 PM)C’était à la suite logique du 23 juin ou l’état a failli basculé avec pillage et saccage des institutions de la
nation qu'il fallait protéger le cœur des institutions les points névralgique de la nation.
Quand la France avait interdit les gilets jaunes de manifesté au coeur de paris je suis dit pour la premier fois
nous avons une avance sur eux.
Lebeau
En Mai, 2019 (22:13 PM)... Metier de journalisme pitoyablement à terre, bas le slip, à nu le cul.
Le droit ne connaît pas d'" arrêté Ousmane ngom", pour que la cour suprême reprenne lamentablement cette expression. Un arrêté est impersonnel.
L'avocat est libre d'interpréter une décision de justice. Le juge doit faire preuve de détachement
Bastante
En Mai, 2019 (00:28 AM)Douggy Duck
En Mai, 2019 (01:14 AM)Muslim
En Mai, 2019 (03:31 AM)Participer à la Discussion