Me EL Hadj Diouf avoue être surpris par le retour de Bibo Bourgi. Mais, il pense que ça pourrait être un retour calculé. «Le procès va encore durer plusieurs mois ; Bibo Bourgi est capable de son retour pour donner des donné des garanties en disant qu’il a un autre rendez-vous avec son médecin et repartir en France pour ne plus revenir à l’approche du verdict», a répliqué l’avocat qui répondait à Me Cissé, soulignant que le retour de son client va «clouer le bec» de ceux qui distiller l’information selon laquelle Bourgi n’allait pas revenir.
Et Me Diouf, avocat de l’Etat dans ce dossier de traque de biens mal acquis contre les dignitaires du régime de Me Wade de souligner : «Si Bibo était revenu avec son frère, j’aurais applaudi. Mais, il est clair qu’il va trouver les moyens de disparaitre». Ce n'est pas la première fois. LEs deux hommes en ont failli arriver aux mains au cours du procès de Karim. "Vous êtes le fou du village", avait assèné Me Cissé à son collègue, le 1er septembre dernier au tribunal.
6 Commentaires
Trhue
En Décembre, 2014 (15:47 PM)Normalement c'est dans une cour de roi qu'il faut un fou pas dans un tribunal , mais ) la CREI tout est possible !!
Yes
En Décembre, 2014 (16:47 PM)Nay Ler
En Décembre, 2014 (18:22 PM)Il avait jure que Bibo Bourgi ne mettrait plus les pieds au Senegal pour ce proces.
Maintenant devant la realite il dit que Bibo devait ramener son frere disparu.
Meaitre il faut reconnaitre en toute modestie que vous avez menti "daga neurmelou" nagoul rek
Jamm
En Décembre, 2014 (01:46 AM)Dfg
En Décembre, 2014 (06:29 AM)Fokkmuguenn
En Décembre, 2014 (23:14 PM)L'administration a placé volontairement des contraintes aux vrais jeux décisionnels, de concertations, dont chaque voix devrait être indépendante et libre. Le jeu démocratique au vrais sens du mot ne peut en aucun cas ni s’y inspirer, ni s’y expirer.
Ces confusions qui contrarient la bonne marche de la gouvernance à modèle démocratique, sont les suivantes:
1- La place du gouverneur ne permet point le fonctionnement de son institution régionale sans que l’État ne dicte ou n’approuve les décisions. Raison : le gouverneur est nommé.
2- Ce qui influe sur la cohabitation entre les rôles et fonctions du gouvernement et du Préfet.
3- Le Maire, appartenant à un parti politique (conquérant du pouvoir de l’état), se trouve souvent, s'il est du parti au pouvoir à avoir plus de relations et de privilèges que son homologue du parti opposition. Ce même Maire qui a d’autres fonctions ailleurs, d’autres responsabilités.
Ces facteurs, sont les déterminants clés d'une politique d’un état qui ne se dotant pas des vrais instruments et des principes fondamentaux d'une politique d’état administrative à valeur démocratique, se refoule derrière des applications institutionnelles dont toutes les décisions sont d'abord approuvées par le parti au pouvoir par une manière officielle, celle des procédures à recouvrement d’intérêt que sont celles de l'état ( pouvoir en exercice) avant qu'elles ne approuvées.
Cela revient au fait que les populations ne peuvent jamais s'exprimer librement et que les concertations émanant du peuple aboutissent souvent à des décisions que n’approuve le peuple. Pour l’intérêt du peuple et non pour l’intérêt personnel du Gouvernant.
Dans les vraies démocraties, les partis politiques qui investissent les maires ne sont les mêmes partis qui conquièrent le pouvoir de l'état. La Mairie est autonome et le maire a autant de pouvoir pour sa Ville que le président de la république l'a pour l'État. C’est là, que la place du gouverneur n’ait point de sens, si ce n’est une place cachée de gestion des intérêts personnels du président de la république et du parti au pouvoir.
Cette place à la tête des régions devait être attribuée
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