L’enseignant chercheur Daouda Niang Diatta contre-attaque. C’est lui qui était accusé d’avoir détourné une somme de 13 millions de francs Cfa par les femmes ménagères de l’Université Assane Seck de Ziguinchor (UASZ) par la voix de l’ancienne présidente de leur GIE Zig propreté Fatoumata Sandigy. Vendredi dernier, ces femmes ont accusé Daouda Niang Diatta d’avoir détourné leurs fonds. L’enseignant-chercheur réfute les allégations de ces femmes et annonce des poursuites judiciaires.
« J’ai découvert ces accusations à travers la presse, naturellement je les récuse. C’est un coup fomenté. Nous commençons à découvrir les commanditaires, entre hier et aujourd’hui. C’est des gens mal intentionnés, tapis dans l’ombre, qui ont manipulé ces femmes fébriles. Elles ont été poussées pour m’accuser au vu et au su de tout le monde sans aucune preuve évidente. Je récuse ces accusations », a répondu d’emblée le sieur Niang Diatta.
L’enseignant chercheur ne compte pas laisser passer de telles accusations. « Je le dis, une suite judiciaire sera réservée à cette affaire ». Il affirme à ce titre qu’il s’agit de son honneur, de sa réputation. « Il s’agit de l’honneur d’un corps auquel j’appartiens que je ne pourrai entacher », s’est défendu D. N Diatta.
Cependant, l’enseignant chercheur se garde de citer de noms des personnes à l’origine de ces agissements. « Vous comprenez qu’à cette étape, vu les procédures qui vont venir, je ne vais pas citer de nom. La dame en question qu’on a mise en avant pour faire ces allégations en a fait d’autres. Les personnes sont venues lui faire miroiter monts et merveilles en lui disant de m’accuser », démonte l’enseignant chercheur.
Daouda Niang Diatta envisage de tirer au clair cette affaire, et que ceux qui ont fomenté ce coup vont répondre devant la justice. Pour lui, ces dames qui ont été mises en avant ne sont que des victimes. Ce sont les fomenteurs qui doivent répondre devant la barre.
« J’ai découvert ces accusations à travers la presse, naturellement je les récuse. C’est un coup fomenté. Nous commençons à découvrir les commanditaires, entre hier et aujourd’hui. C’est des gens mal intentionnés, tapis dans l’ombre, qui ont manipulé ces femmes fébriles. Elles ont été poussées pour m’accuser au vu et au su de tout le monde sans aucune preuve évidente. Je récuse ces accusations », a répondu d’emblée le sieur Niang Diatta.
L’enseignant chercheur ne compte pas laisser passer de telles accusations. « Je le dis, une suite judiciaire sera réservée à cette affaire ». Il affirme à ce titre qu’il s’agit de son honneur, de sa réputation. « Il s’agit de l’honneur d’un corps auquel j’appartiens que je ne pourrai entacher », s’est défendu D. N Diatta.
Cependant, l’enseignant chercheur se garde de citer de noms des personnes à l’origine de ces agissements. « Vous comprenez qu’à cette étape, vu les procédures qui vont venir, je ne vais pas citer de nom. La dame en question qu’on a mise en avant pour faire ces allégations en a fait d’autres. Les personnes sont venues lui faire miroiter monts et merveilles en lui disant de m’accuser », démonte l’enseignant chercheur.
Daouda Niang Diatta envisage de tirer au clair cette affaire, et que ceux qui ont fomenté ce coup vont répondre devant la justice. Pour lui, ces dames qui ont été mises en avant ne sont que des victimes. Ce sont les fomenteurs qui doivent répondre devant la barre.
5 Commentaires
Colombus
En Décembre, 2023 (23:38 PM)Patriote
En Décembre, 2023 (09:56 AM)Universitaire
En Décembre, 2023 (10:11 AM)Patriote
En Décembre, 2023 (12:42 PM)Le Justicier
En Décembre, 2023 (12:51 PM)Justice pour nos braves mamans
Justice pour nos braves mamans
Justice pour nos braves mamans
Justice pour nos braves mamans
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Justice pour nos braves mamans
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