
Si la musique sénégalaise tarde à s'exporter convenablement au delà des frontières sénégalo-gambiennes, ce n'est certainement pas la faute à Youssou Ndour qui, Ministre du Tourisme et des Loisirs aujourd'hui, a été dans une autre vie ambassadeur des sonorités africaines qui ont et qui aujourd'hui encore font la fierté du pays dans le monde entier.
De jeunes artistes, pourtant bénéficiant d'une bonne popularité, préfèrent tantôt faire de la "musique-Kleenex", tantôt chanter sans thème, ou plus souvent, le manque d'éducation préjudiciant, faire du début à la fin de leur carrière, de la musique en Wolof, se condamnant ainsi à n'être consommé qu'au Sénégal.
Fort heureusement, le pays de la Téranga a encore en son sein, des valeurs sures qui assurent la pérennité du Mbalakh, du rap, de l'acoustique, du folk, du reggae, du zouk et même du Jazz et du soul.
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