« Les professionnels des médias vivent mal » : le constat est de Diatou Cissé, qui s’exprimait en marge du 9ème congrès du Syndicat des professionnels de l’information et de la communication.
Dans les colonnes du Quotidien, Diatou Cissé a évoqué avec le franc-parler qu’on lui connaît la situation de précarité des travailleurs de la presse. La secrétaire générale sortante du Synpics d’indexer le non-respect par les patrons de presse des textes qui régissent la formation. « S’il n’a pas un contrat de travail, s’il n’a pas un salaire décent et s’il n’est pas reconnu des fichiers de l’Ipres ou de la Sécurité sociale, l’employé est forcément en situation de précarité », a décrié Diatou Cissé, convaincue que « l’aide à la presse ne profite pas aux employés, aux travailleurs porteurs de productivité ».
L’entreprise de presse, quant à elle, « reste une nébuleuse pour ses travailleurs, car aucun patron de presse, à ma connaissance, ne discute de son bilan ou de son chiffre d’affaires avec ses employés », a fustigé celle qui vient de passer les manettes au journaliste du Soleil, Ibrahima Khaliloulah Ndiaye.
7 Commentaires
Nit Dafay Nité
En Décembre, 2012 (13:54 PM)mais elle n'aura pas lieu. Le salarié ne sait pas comment la patron fait pour le payer à la fin du mois.
Il aspire à être son propre patron jusqu'au jour ou il le devient et se rend compte que la critique est aisée et l'art difficile.
Boy Th
En Décembre, 2012 (14:13 PM)J'espere qu'elle reflechira deux fois la prochaine fois avant de sortir des idioties parey
Askaan
En Décembre, 2012 (14:20 PM)Ba Khoul Dara
En Décembre, 2012 (14:32 PM)Cices
En Décembre, 2012 (15:11 PM)L'ange
En Décembre, 2012 (17:53 PM)B52
En Décembre, 2012 (20:34 PM)Participer à la Discussion