Le Président Macky Sall était ce samedi chez Modou Diagne Fada, à la cité Keur Gorgui. Il lui présentait ses condoléances suite au décès de son père durant le mois de février dernier.
Ce qui nous lie est dela de politique meme Idrissa l'homme le plus rancunier de ce pays s'il perd un membre important de sa famille il recevra les condoleances du president.
Fada confirmera sa transhumance bientôt, c'est toujours dans ces cérémonies là, que les choses se nouent, maky et sa femme sont spécialiser dans ce ramassage de poubelle
hanté par la saison deux de la traque, si vs avez un animal domestique , chien, chat, rat, cafard , qui agonise, pas encore mort, appeez maky , il viendra presenter ses condoleancees
Entreprenariat politique ou comment gagner sa vie sans travailler : les médiocres prennent le pouvoir.
La politique est une entreprise financièrement rentable au Sénégal. Le pays est un immense gâteau de chef étoilé à partager entre plus de 300 partis dont 290 vautours n’osant pas voler de leurs propres ailes à une présidentielle car n’ayant ni le quotient électoral, ni la surface financière pour payer la caution, si ce n’est pas le pouvoir qui s’en acquitte à leur place pour berner les masses, astakhfiroullah !, baiser devrais-je dire. Les polluants politiques persistants et vrais faux opposants se réfugient derrière le nid douillet des coalitions, désertent le terrain politique pour envahir le terrain médiatique et exister par l’unité de bruit ; ni permanence, ni structures, zéro activité. Le récépissé ne sert point à conquérir le suffrage des électeurs, mais c’est un permis de combinazione, de spoliation, de prédation, d’accaparement de ressources sur le dos du Sénégal. La stratégie est simple. Le parti-media dit soutenir l’action du Président de la république en fonction qui lui jette un grand os à ronger rembourré avec fromage : salaire, avantages en nature et espèces, impunités garantis durant le mandat.
Si c’est à la veille du premier tour de la présidentielle, il faut faire semblant de se présenter sans en avoir le courage. Aucune consigne et on attend le deuxième tour pour le grand chantage du maître en la matière. Au président sortant qui détient la caisse noire de milliards, il est exigé des frais de campagne. Les soi-disant souteneurs du challenger prétendent que leur soutien est sans condition. De ce fait, ils reçoivent des frais de campagne. Si le challenger passe, c’est le jackpot : rentes assurées durant le mandat du nouvel élu. Le supporter du candidat battu va transhumer par contournement, pour, dit-il, soutenir l’action du Président de la République. Dans tous les cas, les entrepreneurs politiques ne perdent rien de leur investissement et suceront le sang du contribuable sénégalais : salaires, passeport, logement, couverture maladie, parc automobiles, carburant, voyages à l’autre bout du monde. C’est pourquoi les partis yobaléma, altoppé prospèrent. Violence au summum sur le peuple dépouillé ne saurait être plus pernicieuse. Ainsi déguisé, le vol est institutionnalisé et le crime organisé sans porter le nom de camorra ou oser appeler au « legalize it » à propos du yamba de Peter Tosh et du mouvement rastafari. Personne ou peu pour défendre les intérêts supérieurs de la nation orpheline et impunément violée à répétitions sur recommandation juridiquement encadrée. Le seul métier qui vaille est la politique. Inutile de travailler ; point de curriculum-vitae à faire valoir. Le parcours politique prime sur parcours professionnel.
Faites de la politique et toujours de la politique, rien que de la politique, ainsi ventre et bas-ventre sont éternellement satisfaits. Les compétences en politique politicienne payent plus que les compétences pures.
Ah tchim !, tchim mbaye ! transhumance !, appellation d’origine contrôlée de la prostitution politique dans le maquis avec ou sans la carte sanitaire du parti au pouvoir! Et si la proposition de l’ex- Premier Ministre Souleymane Ndéné Ndiaye avait abouti, combien d’hommes politiques, pardon, de bêtes en transhumance à la recherche de pâturages d’abord verts-PS, ensuite bleus-PDS, après marron-beige-APR, voulant goinfrer à tous les râteliers, de Senghor à Diouf, en passant par Wade et Macky, seraient fusillés ?
Rage du Sunugal, les politichiens émergent, l’homo-senegalensis s’immerge et se noie mais quand le peuple se réveillera, le monde des politichiens s’effondrera. Donald Trump ne parlera plus de pays de merde. Le rire du nègre bon banania, comme pendant l’époque coloniale, ne se rappellera plus au bon souvenir de l’homo-africanus, risée du monde.
Aujourd’hui, les Sénégalais dans leur majorité regrettent d’avoir accidentellement élu un chef d’Etat agrégé à des promesses non tenues. Nous avons un Président anti-modèle et anti-démocratique. Macky Sall est un ‘’terroriste de la démocratie’’. Il est pire que Yaya Jammeh qui a au moins laissé ses adversaires conquérir le suffrage des Gambiens. Nous allons vous faire une liste qui est loin d’être exhaustive de ses promesses.
Macky Sall nous avait promis de réduire son mandat de 7 à 5 ans après l’avoir répété à sept reprises dans des rencontres internationales. Il revient enfin, voulant profiter l’occasion pour faire un tripatouillage constitutionnel avec son référendum budgétivore, demander l’avis du conseil constitutionnel sur la réduction de son mandat. Un avis qu’il a présenté aux Sénégalais comme une décision. Cela justifie que nous avons à la tête de notre pays un chef d’Etat qui manque de sérieux et qui n’a aucun respect pour son peuple. Or le peuple est souverain. Il pouvait juste passer au Parlement dont il détient la majorité pour réduire son mandat et se soumettre à l’épreuve de parole donnée.
Il avait promis de former un gouvernement de 25 ministres. Aujourd’hui nous en sommes à 49, sans compter les Ministres conseillers mais aussi des alliés qui n’ont aucune nomination et qui reçoivent chaque mois de salaires de Ministre d’Etat. Le cas Mamadou Ndoye de la Ligue Démocratique est une parfaite illustration.
Il nous avait promis une gouvernance sobre et vertueuse. D’où le slogan ‘’La patrie avant le parti’’. Peut-on parler de sobriété avec un Etat qui valorise le clientélisme politique. Les sénégalais se demandent encore l’utilité des HCCT (Haut conseil des collectivités territoriales) dont 6,5 milliards circulent par année entre les mains de Ousmane Tanor Dieng pour juste le contrôle de sa troupe au moment où des millions de Sénégalais vivent dans l’extrême pauvreté. La CNDT (Commission nationale du dialogue des territoires) confiait au feu Djibo Ka qui avait un budget annuel de 400 millions F CFA. Le HCDS (haut conseil du dialogue social) confié à Innocence Ntap Ndiaye qui circule avec un budget annuel de 300 à 400 millions.
La CPDP (Commission de protection des données personnelles) à sa tête Awa Ndiaye avec un budget annuel de 400 millions. Il faut aussi noter l’implication abusive de son frère Aliou Sall sur les ressources du pays mais aussi celle de la famille de la Première dame. Nous nous souvenons encore de ses fraiches déclarations dans le magazine ‘’Jeune Afrique’’ interrogé par Marwane Ben Yahmed sur l’implication des familles présidentielles africaines dans la gestion des affaires publiques. Macky répond : «Je ne mêle jamais ma famille à la gestion du pays. Si mon frère est amené à être cité dans des affaires de sociétés privées, c’est parce que je lui avais justement indiqué très clairement, dès ma prise de fonctions, qu’il ne bénéficierait jamais de ma part d’un décret de nomination, notamment en raison de l’histoire récente du Sénégal et parce que je ne voulais pas être accusé de népotisme». Ce frère est l’actuel DG de la CDC (caisse de dépôt et de consignation). Cela justifie que le régime de Macky Sall est le règne de la sacralisation du népotisme.
Le candidat Macky Sall avait promis de réduire le budget présidentiel qu’il jugeait inconcevable pour un pays comme le nôtre. Le budget qu’il dénonçait sous Wade était fixé à 1.100.000.000. Pour 2018 Le Président Sall a décidé de fixer sa dépense de personnels à 9.162.719.080.
Il avait promis un Etat de droit alors qu’au même moment il déclare couvrir certains dossiers des transhumants devant la justice. Nous nous souvenons encore de ‘’Awa Koudou Ndiaye’’, mais aussi Me Ousmane Ngom qui est apparu dans une délégation présidentielle alors qu’il était interdit de sortir du territoire. Ce qui laisse entendre une justice sélective dans ce pays. Il tire sur une force qui lui est confié pour neutraliser et exiler ses adversaires.
Il avait promis la transparence électorale au moment où nous notons des centaines de bureaux fictifs lors des consultations référendaires, la distribution sélective des cartes d’électeurs, des transferts d’électeurs lors des élections législatives, des ordres de missions à en plus finir dans des villes où la mouvance présidentielles se trouve faible sur la balance électorale, l’absence de certains bulletins de votes dans des centres ou bureaux et tant d’autres.
Il nous avait promis une éducation pour tous et de qualité. Ce qui est un mensonge d’Etat. Il a au contraire instauré un système éliminatoire avec un taux d’échec de 60 % à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar. Il a brutalement imposé une réforme aux Etudiants. Les inscriptions étaient à 4900 F CFA sous Wade pour tous les niveaux. Il l’a augmenté à 25.000fcfa pour le premier cycle, à 50.000 F CFA pour le master et à 75.000 F CFA pour les étudiants en thèse de doctorat. Avec Wade, à défaut d’une bourse entière ou demie-bourse, l’obtention d’une bourse sociale ou aide était automatique. Actuellement, le cumul des boursiers et bénéficiaires d’aides ne fait pas 35 % des Etudiants. Il faut aussi tenir compte le système du Master sélectif.
Nous voulons enfin alerter les Sénégalais de prendre conscience que ce dictateur cherche à donner l’avenir de notre pays aux étrangers. Depuis combien de temps n’avez-vous pas entendu un appel d’offres ? Il bafoue les règles pour imposer le gré à gré en enrichissant les entreprises étrangères, car ils ont été ses souteneurs pendant l’élection présidentielle de 2012.
Aujourd’hui, les Sénégalais dans leur majorité regrettent d’avoir accidentellement élu un chef d’Etat agrégé à des promesses non tenues. Nous avons un Président anti-modèle et anti-démocratique. Macky Sall est un ‘’terroriste de la démocratie’’. Il est pire que Yaya Jammeh qui a au moins laissé ses adversaires conquérir le suffrage des Gambiens. Nous allons vous faire une liste qui est loin d’être exhaustive de ses promesses.
Macky Sall nous avait promis de réduire son mandat de 7 à 5 ans après l’avoir répété à sept reprises dans des rencontres internationales. Il revient enfin, voulant profiter l’occasion pour faire un tripatouillage constitutionnel avec son référendum budgétivore, demander l’avis du conseil constitutionnel sur la réduction de son mandat. Un avis qu’il a présenté aux Sénégalais comme une décision. Cela justifie que nous avons à la tête de notre pays un chef d’Etat qui manque de sérieux et qui n’a aucun respect pour son peuple. Or le peuple est souverain. Il pouvait juste passer au Parlement dont il détient la majorité pour réduire son mandat et se soumettre à l’épreuve de parole donnée.
Il avait promis de former un gouvernement de 25 ministres. Aujourd’hui nous en sommes à 49, sans compter les Ministres conseillers mais aussi des alliés qui n’ont aucune nomination et qui reçoivent chaque mois de salaires de Ministre d’Etat. Le cas Mamadou Ndoye de la Ligue Démocratique est une parfaite illustration.
Il nous avait promis une gouvernance sobre et vertueuse. D’où le slogan ‘’La patrie avant le parti’’. Peut-on parler de sobriété avec un Etat qui valorise le clientélisme politique. Les sénégalais se demandent encore l’utilité des HCCT (Haut conseil des collectivités territoriales) dont 6,5 milliards circulent par année entre les mains de Ousmane Tanor Dieng pour juste le contrôle de sa troupe au moment où des millions de Sénégalais vivent dans l’extrême pauvreté. La CNDT (Commission nationale du dialogue des territoires) confiait au feu Djibo Ka qui avait un budget annuel de 400 millions F CFA. Le HCDS (haut conseil du dialogue social) confié à Innocence Ntap Ndiaye qui circule avec un budget annuel de 300 à 400 millions.
La CPDP (Commission de protection des données personnelles) à sa tête Awa Ndiaye avec un budget annuel de 400 millions. Il faut aussi noter l’implication abusive de son frère Aliou Sall sur les ressources du pays mais aussi celle de la famille de la Première dame. Nous nous souvenons encore de ses fraiches déclarations dans le magazine ‘’Jeune Afrique’’ interrogé par Marwane Ben Yahmed sur l’implication des familles présidentielles africaines dans la gestion des affaires publiques. Macky répond : «Je ne mêle jamais ma famille à la gestion du pays. Si mon frère est amené à être cité dans des affaires de sociétés privées, c’est parce que je lui avais justement indiqué très clairement, dès ma prise de fonctions, qu’il ne bénéficierait jamais de ma part d’un décret de nomination, notamment en raison de l’histoire récente du Sénégal et parce que je ne voulais pas être accusé de népotisme». Ce frère est l’actuel DG de la CDC (caisse de dépôt et de consignation). Cela justifie que le régime de Macky Sall est le règne de la sacralisation du népotisme.
Le candidat Macky Sall avait promis de réduire le budget présidentiel qu’il jugeait inconcevable pour un pays comme le nôtre. Le budget qu’il dénonçait sous Wade était fixé à 1.100.000.000. Pour 2018 Le Président Sall a décidé de fixer sa dépense de personnels à 9.162.719.080.
Il avait promis un Etat de droit alors qu’au même moment il déclare couvrir certains dossiers des transhumants devant la justice. Nous nous souvenons encore de ‘’Awa Koudou Ndiaye’’, mais aussi Me Ousmane Ngom qui est apparu dans une délégation présidentielle alors qu’il était interdit de sortir du territoire. Ce qui laisse entendre une justice sélective dans ce pays. Il tire sur une force qui lui est confié pour neutraliser et exiler ses adversaires.
Il avait promis la transparence électorale au moment où nous notons des centaines de bureaux fictifs lors des consultations référendaires, la distribution sélective des cartes d’électeurs, des transferts d’électeurs lors des élections législatives, des ordres de missions à en plus finir dans des villes où la mouvance présidentielles se trouve faible sur la balance électorale, l’absence de certains bulletins de votes dans des centres ou bureaux et tant d’autres.
Il nous avait promis une éducation pour tous et de qualité. Ce qui est un mensonge d’Etat. Il a au contraire instauré un système éliminatoire avec un taux d’échec de 60 % à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar. Il a brutalement imposé une réforme aux Etudiants. Les inscriptions étaient à 4900 F CFA sous Wade pour tous les niveaux. Il l’a augmenté à 25.000fcfa pour le premier cycle, à 50.000 F CFA pour le master et à 75.000 F CFA pour les étudiants en thèse de doctorat. Avec Wade, à défaut d’une bourse entière ou demie-bourse, l’obtention d’une bourse sociale ou aide était automatique. Actuellement, le cumul des boursiers et bénéficiaires d’aides ne fait pas 35 % des Etudiants. Il faut aussi tenir compte le système du Master sélectif.
Nous voulons enfin alerter les Sénégalais de prendre conscience que ce dictateur cherche à donner l’avenir de notre pays aux étrangers. Depuis combien de temps n’avez-vous pas entendu un appel d’offres ? Il bafoue les règles pour imposer le gré à gré en enrichissant les entreprises étrangères, car ils ont été ses souteneurs pendant l’élection présidentielle de 2012.
OUSMANE SONKO EST L'HOMME DE LA SITUATION POUR RELEVER CE PAYS QUE CES CORROMPUS ONT COMPLETEMENT RUINE. Y’EN A MARRE DES HERITIERS WADIENS ET SOCIALISTES. NOS CARTES D'ELECTEURS C'EST LE VRAI COMBAT QUI VAILLE . DOYEN MODY NIANG DOIT VOIR UN JOURNALISTE QUI TRADUIT SES CHRONIQUES EN WOLOF CAR TROP BENEFIQUE POUR LE SENEGALAIS LAMBDA QUI N’EST PAS INSTRUIT. ALY NGOUILLE NDIAYE DEGAGE
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35 Commentaires
Anonyme
En Mars, 2018 (19:11 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (19:24 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (19:49 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (20:04 PM)Inna lillahi wa inna ilayhi raji'un: ?????? ?????? ????????? ???????? ???????????
Aduna diaroul yen yi, pensent t ils a ce qu'ils vont laisser derriere et surtout ce qu'ils vont retrouver balzakh! Adouna diekhna ba pare :triste:
Anonyme
En Mars, 2018 (21:03 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (21:25 PM)Guile
En Mars, 2018 (22:03 PM)Guile
En Mars, 2018 (22:03 PM)Guile
En Mars, 2018 (22:03 PM)Guile
En Mars, 2018 (22:03 PM)Guile
En Mars, 2018 (22:03 PM)Guile
En Mars, 2018 (22:03 PM)Guile
En Mars, 2018 (22:03 PM)Guile
En Mars, 2018 (22:03 PM)Guile
En Mars, 2018 (22:03 PM)Guile
En Mars, 2018 (22:03 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (00:33 AM)Bob
En Mars, 2018 (02:03 AM)Bob
En Mars, 2018 (02:03 AM)Bob
En Mars, 2018 (02:03 AM)Bob
En Mars, 2018 (02:03 AM)Bob
En Mars, 2018 (02:03 AM)Bob
En Mars, 2018 (02:03 AM)Bob
En Mars, 2018 (02:03 AM)Bob
En Mars, 2018 (02:03 AM)Anonyme
En Mars, 2018 (03:58 AM)Anonyme
En Mars, 2018 (07:23 AM)Anonyme
En Mars, 2018 (07:24 AM)Djibo ka ministre
Souleymane ndene ndiaye PM
Abdoulaye baldé ministre
Sada ndiaye ministre
Seydou diouf devenu ministre
Aminata LO ministre
Cheikh oumar anne COUD ministre conseiller sous wade
Seydina issa kane ministre ex Dg senelec
Samuel sarr ministre
Cheikh oumar ane DG Coud, ministre conseiller de wade
Iba Der deputé
Moussa sy deputé
Elhadji malick gueye député
Mamadou lamine keita ministre
Serigne mbacké ndiaye ministre
Ousmane ngom ministre
Aliou sow ministre
Modou diagne fada ministre
Modou bousso leye ministre
Safiétou thiam ministre
Moussa sakho ministre
Sitor ndour
Becaye diop ministre
Abdou aziz mbaye ministre
Ngone ndoye deputé
Ablaye makhtar diop ministre
Mbaye Jacques diop
Aida mbodj ministre
Abdou fall ministre
Farba senghor ministre
Papa samba mboup
Serigne mboup
Macoumba diouf ex DG ISRA
Alé lo député vice president assemblée nationale sous diouf, wade et maky
Modibo diop
Baila wane BMW mobilisait pour wade
Thierno lo ministre
Ablaye Baldé Ministre
Moustafa Guirassy Ministre
Momar aly ndiaye ministre
Awa couddou ndiaye ministre
Innocence ntap ndiaye ministre
Ameth Fall Braya
Pape diouf ex rewmi
Oumar sarr député ex rewmi
Oumar gueye ministre
Talla sylla Maire
Gana mbaye maire Bambey
Kalidou Diallo minister
Me Amadou ka PCA Port
Khoureychi thiam ministre
Ablaye sow Fédé Football
Aliou dia député
Fatou thiam député
Thierno bocoum député rewmi
Abdou khafor touré DG
Amadou tidiane wone ministre
Momar gueye directeur ONFP
Nafissatou Diop cissé ex rewmi
Anonyme
En Mars, 2018 (07:24 AM)Anonyme
En Mars, 2018 (07:25 AM)La politique est une entreprise financièrement rentable au Sénégal. Le pays est un immense gâteau de chef étoilé à partager entre plus de 300 partis dont 290 vautours n’osant pas voler de leurs propres ailes à une présidentielle car n’ayant ni le quotient électoral, ni la surface financière pour payer la caution, si ce n’est pas le pouvoir qui s’en acquitte à leur place pour berner les masses, astakhfiroullah !, baiser devrais-je dire. Les polluants politiques persistants et vrais faux opposants se réfugient derrière le nid douillet des coalitions, désertent le terrain politique pour envahir le terrain médiatique et exister par l’unité de bruit ; ni permanence, ni structures, zéro activité. Le récépissé ne sert point à conquérir le suffrage des électeurs, mais c’est un permis de combinazione, de spoliation, de prédation, d’accaparement de ressources sur le dos du Sénégal. La stratégie est simple. Le parti-media dit soutenir l’action du Président de la république en fonction qui lui jette un grand os à ronger rembourré avec fromage : salaire, avantages en nature et espèces, impunités garantis durant le mandat.
Si c’est à la veille du premier tour de la présidentielle, il faut faire semblant de se présenter sans en avoir le courage. Aucune consigne et on attend le deuxième tour pour le grand chantage du maître en la matière. Au président sortant qui détient la caisse noire de milliards, il est exigé des frais de campagne. Les soi-disant souteneurs du challenger prétendent que leur soutien est sans condition. De ce fait, ils reçoivent des frais de campagne. Si le challenger passe, c’est le jackpot : rentes assurées durant le mandat du nouvel élu. Le supporter du candidat battu va transhumer par contournement, pour, dit-il, soutenir l’action du Président de la République. Dans tous les cas, les entrepreneurs politiques ne perdent rien de leur investissement et suceront le sang du contribuable sénégalais : salaires, passeport, logement, couverture maladie, parc automobiles, carburant, voyages à l’autre bout du monde. C’est pourquoi les partis yobaléma, altoppé prospèrent. Violence au summum sur le peuple dépouillé ne saurait être plus pernicieuse. Ainsi déguisé, le vol est institutionnalisé et le crime organisé sans porter le nom de camorra ou oser appeler au « legalize it » à propos du yamba de Peter Tosh et du mouvement rastafari. Personne ou peu pour défendre les intérêts supérieurs de la nation orpheline et impunément violée à répétitions sur recommandation juridiquement encadrée. Le seul métier qui vaille est la politique. Inutile de travailler ; point de curriculum-vitae à faire valoir. Le parcours politique prime sur parcours professionnel.
Faites de la politique et toujours de la politique, rien que de la politique, ainsi ventre et bas-ventre sont éternellement satisfaits. Les compétences en politique politicienne payent plus que les compétences pures.
Ah tchim !, tchim mbaye ! transhumance !, appellation d’origine contrôlée de la prostitution politique dans le maquis avec ou sans la carte sanitaire du parti au pouvoir! Et si la proposition de l’ex- Premier Ministre Souleymane Ndéné Ndiaye avait abouti, combien d’hommes politiques, pardon, de bêtes en transhumance à la recherche de pâturages d’abord verts-PS, ensuite bleus-PDS, après marron-beige-APR, voulant goinfrer à tous les râteliers, de Senghor à Diouf, en passant par Wade et Macky, seraient fusillés ?
Rage du Sunugal, les politichiens émergent, l’homo-senegalensis s’immerge et se noie mais quand le peuple se réveillera, le monde des politichiens s’effondrera. Donald Trump ne parlera plus de pays de merde. Le rire du nègre bon banania, comme pendant l’époque coloniale, ne se rappellera plus au bon souvenir de l’homo-africanus, risée du monde.
Tuubé Waalo
Anonyme
En Mars, 2018 (07:26 AM)29/12/2017
Aujourd’hui, les Sénégalais dans leur majorité regrettent d’avoir accidentellement élu un chef d’Etat agrégé à des promesses non tenues. Nous avons un Président anti-modèle et anti-démocratique. Macky Sall est un ‘’terroriste de la démocratie’’. Il est pire que Yaya Jammeh qui a au moins laissé ses adversaires conquérir le suffrage des Gambiens. Nous allons vous faire une liste qui est loin d’être exhaustive de ses promesses.
Macky Sall nous avait promis de réduire son mandat de 7 à 5 ans après l’avoir répété à sept reprises dans des rencontres internationales. Il revient enfin, voulant profiter l’occasion pour faire un tripatouillage constitutionnel avec son référendum budgétivore, demander l’avis du conseil constitutionnel sur la réduction de son mandat. Un avis qu’il a présenté aux Sénégalais comme une décision. Cela justifie que nous avons à la tête de notre pays un chef d’Etat qui manque de sérieux et qui n’a aucun respect pour son peuple. Or le peuple est souverain. Il pouvait juste passer au Parlement dont il détient la majorité pour réduire son mandat et se soumettre à l’épreuve de parole donnée.
Il avait promis de former un gouvernement de 25 ministres. Aujourd’hui nous en sommes à 49, sans compter les Ministres conseillers mais aussi des alliés qui n’ont aucune nomination et qui reçoivent chaque mois de salaires de Ministre d’Etat. Le cas Mamadou Ndoye de la Ligue Démocratique est une parfaite illustration.
Il nous avait promis une gouvernance sobre et vertueuse. D’où le slogan ‘’La patrie avant le parti’’. Peut-on parler de sobriété avec un Etat qui valorise le clientélisme politique. Les sénégalais se demandent encore l’utilité des HCCT (Haut conseil des collectivités territoriales) dont 6,5 milliards circulent par année entre les mains de Ousmane Tanor Dieng pour juste le contrôle de sa troupe au moment où des millions de Sénégalais vivent dans l’extrême pauvreté. La CNDT (Commission nationale du dialogue des territoires) confiait au feu Djibo Ka qui avait un budget annuel de 400 millions F CFA. Le HCDS (haut conseil du dialogue social) confié à Innocence Ntap Ndiaye qui circule avec un budget annuel de 300 à 400 millions.
La CPDP (Commission de protection des données personnelles) à sa tête Awa Ndiaye avec un budget annuel de 400 millions. Il faut aussi noter l’implication abusive de son frère Aliou Sall sur les ressources du pays mais aussi celle de la famille de la Première dame. Nous nous souvenons encore de ses fraiches déclarations dans le magazine ‘’Jeune Afrique’’ interrogé par Marwane Ben Yahmed sur l’implication des familles présidentielles africaines dans la gestion des affaires publiques. Macky répond : «Je ne mêle jamais ma famille à la gestion du pays. Si mon frère est amené à être cité dans des affaires de sociétés privées, c’est parce que je lui avais justement indiqué très clairement, dès ma prise de fonctions, qu’il ne bénéficierait jamais de ma part d’un décret de nomination, notamment en raison de l’histoire récente du Sénégal et parce que je ne voulais pas être accusé de népotisme». Ce frère est l’actuel DG de la CDC (caisse de dépôt et de consignation). Cela justifie que le régime de Macky Sall est le règne de la sacralisation du népotisme.
Le candidat Macky Sall avait promis de réduire le budget présidentiel qu’il jugeait inconcevable pour un pays comme le nôtre. Le budget qu’il dénonçait sous Wade était fixé à 1.100.000.000. Pour 2018 Le Président Sall a décidé de fixer sa dépense de personnels à 9.162.719.080.
Il avait promis un Etat de droit alors qu’au même moment il déclare couvrir certains dossiers des transhumants devant la justice. Nous nous souvenons encore de ‘’Awa Koudou Ndiaye’’, mais aussi Me Ousmane Ngom qui est apparu dans une délégation présidentielle alors qu’il était interdit de sortir du territoire. Ce qui laisse entendre une justice sélective dans ce pays. Il tire sur une force qui lui est confié pour neutraliser et exiler ses adversaires.
Il avait promis la transparence électorale au moment où nous notons des centaines de bureaux fictifs lors des consultations référendaires, la distribution sélective des cartes d’électeurs, des transferts d’électeurs lors des élections législatives, des ordres de missions à en plus finir dans des villes où la mouvance présidentielles se trouve faible sur la balance électorale, l’absence de certains bulletins de votes dans des centres ou bureaux et tant d’autres.
Il nous avait promis une éducation pour tous et de qualité. Ce qui est un mensonge d’Etat. Il a au contraire instauré un système éliminatoire avec un taux d’échec de 60 % à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar. Il a brutalement imposé une réforme aux Etudiants. Les inscriptions étaient à 4900 F CFA sous Wade pour tous les niveaux. Il l’a augmenté à 25.000fcfa pour le premier cycle, à 50.000 F CFA pour le master et à 75.000 F CFA pour les étudiants en thèse de doctorat. Avec Wade, à défaut d’une bourse entière ou demie-bourse, l’obtention d’une bourse sociale ou aide était automatique. Actuellement, le cumul des boursiers et bénéficiaires d’aides ne fait pas 35 % des Etudiants. Il faut aussi tenir compte le système du Master sélectif.
Nous voulons enfin alerter les Sénégalais de prendre conscience que ce dictateur cherche à donner l’avenir de notre pays aux étrangers. Depuis combien de temps n’avez-vous pas entendu un appel d’offres ? Il bafoue les règles pour imposer le gré à gré en enrichissant les entreprises étrangères, car ils ont été ses souteneurs pendant l’élection présidentielle de 2012.
Anonyme
En Mars, 2018 (07:27 AM)29/12/2017
Aujourd’hui, les Sénégalais dans leur majorité regrettent d’avoir accidentellement élu un chef d’Etat agrégé à des promesses non tenues. Nous avons un Président anti-modèle et anti-démocratique. Macky Sall est un ‘’terroriste de la démocratie’’. Il est pire que Yaya Jammeh qui a au moins laissé ses adversaires conquérir le suffrage des Gambiens. Nous allons vous faire une liste qui est loin d’être exhaustive de ses promesses.
Macky Sall nous avait promis de réduire son mandat de 7 à 5 ans après l’avoir répété à sept reprises dans des rencontres internationales. Il revient enfin, voulant profiter l’occasion pour faire un tripatouillage constitutionnel avec son référendum budgétivore, demander l’avis du conseil constitutionnel sur la réduction de son mandat. Un avis qu’il a présenté aux Sénégalais comme une décision. Cela justifie que nous avons à la tête de notre pays un chef d’Etat qui manque de sérieux et qui n’a aucun respect pour son peuple. Or le peuple est souverain. Il pouvait juste passer au Parlement dont il détient la majorité pour réduire son mandat et se soumettre à l’épreuve de parole donnée.
Il avait promis de former un gouvernement de 25 ministres. Aujourd’hui nous en sommes à 49, sans compter les Ministres conseillers mais aussi des alliés qui n’ont aucune nomination et qui reçoivent chaque mois de salaires de Ministre d’Etat. Le cas Mamadou Ndoye de la Ligue Démocratique est une parfaite illustration.
Il nous avait promis une gouvernance sobre et vertueuse. D’où le slogan ‘’La patrie avant le parti’’. Peut-on parler de sobriété avec un Etat qui valorise le clientélisme politique. Les sénégalais se demandent encore l’utilité des HCCT (Haut conseil des collectivités territoriales) dont 6,5 milliards circulent par année entre les mains de Ousmane Tanor Dieng pour juste le contrôle de sa troupe au moment où des millions de Sénégalais vivent dans l’extrême pauvreté. La CNDT (Commission nationale du dialogue des territoires) confiait au feu Djibo Ka qui avait un budget annuel de 400 millions F CFA. Le HCDS (haut conseil du dialogue social) confié à Innocence Ntap Ndiaye qui circule avec un budget annuel de 300 à 400 millions.
La CPDP (Commission de protection des données personnelles) à sa tête Awa Ndiaye avec un budget annuel de 400 millions. Il faut aussi noter l’implication abusive de son frère Aliou Sall sur les ressources du pays mais aussi celle de la famille de la Première dame. Nous nous souvenons encore de ses fraiches déclarations dans le magazine ‘’Jeune Afrique’’ interrogé par Marwane Ben Yahmed sur l’implication des familles présidentielles africaines dans la gestion des affaires publiques. Macky répond : «Je ne mêle jamais ma famille à la gestion du pays. Si mon frère est amené à être cité dans des affaires de sociétés privées, c’est parce que je lui avais justement indiqué très clairement, dès ma prise de fonctions, qu’il ne bénéficierait jamais de ma part d’un décret de nomination, notamment en raison de l’histoire récente du Sénégal et parce que je ne voulais pas être accusé de népotisme». Ce frère est l’actuel DG de la CDC (caisse de dépôt et de consignation). Cela justifie que le régime de Macky Sall est le règne de la sacralisation du népotisme.
Le candidat Macky Sall avait promis de réduire le budget présidentiel qu’il jugeait inconcevable pour un pays comme le nôtre. Le budget qu’il dénonçait sous Wade était fixé à 1.100.000.000. Pour 2018 Le Président Sall a décidé de fixer sa dépense de personnels à 9.162.719.080.
Il avait promis un Etat de droit alors qu’au même moment il déclare couvrir certains dossiers des transhumants devant la justice. Nous nous souvenons encore de ‘’Awa Koudou Ndiaye’’, mais aussi Me Ousmane Ngom qui est apparu dans une délégation présidentielle alors qu’il était interdit de sortir du territoire. Ce qui laisse entendre une justice sélective dans ce pays. Il tire sur une force qui lui est confié pour neutraliser et exiler ses adversaires.
Il avait promis la transparence électorale au moment où nous notons des centaines de bureaux fictifs lors des consultations référendaires, la distribution sélective des cartes d’électeurs, des transferts d’électeurs lors des élections législatives, des ordres de missions à en plus finir dans des villes où la mouvance présidentielles se trouve faible sur la balance électorale, l’absence de certains bulletins de votes dans des centres ou bureaux et tant d’autres.
Il nous avait promis une éducation pour tous et de qualité. Ce qui est un mensonge d’Etat. Il a au contraire instauré un système éliminatoire avec un taux d’échec de 60 % à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar. Il a brutalement imposé une réforme aux Etudiants. Les inscriptions étaient à 4900 F CFA sous Wade pour tous les niveaux. Il l’a augmenté à 25.000fcfa pour le premier cycle, à 50.000 F CFA pour le master et à 75.000 F CFA pour les étudiants en thèse de doctorat. Avec Wade, à défaut d’une bourse entière ou demie-bourse, l’obtention d’une bourse sociale ou aide était automatique. Actuellement, le cumul des boursiers et bénéficiaires d’aides ne fait pas 35 % des Etudiants. Il faut aussi tenir compte le système du Master sélectif.
Nous voulons enfin alerter les Sénégalais de prendre conscience que ce dictateur cherche à donner l’avenir de notre pays aux étrangers. Depuis combien de temps n’avez-vous pas entendu un appel d’offres ? Il bafoue les règles pour imposer le gré à gré en enrichissant les entreprises étrangères, car ils ont été ses souteneurs pendant l’élection présidentielle de 2012.
Anonyme
En Mars, 2018 (08:51 AM)Anonyme
En Mars, 2018 (12:08 PM)Patrice
En Mars, 2018 (12:15 PM)Participer à la Discussion