La star est au cœur d’une nouvelle polémique. La raison? Sa peau semble avoir été foncée à outrance sur la couverture du magazine américain 7Hollywood.
Nouveau bad buzz pour Kim Kardashian. La star est sous le feu des critiques après avoir publié les photos de sa dernière séance photo avec le magazine 7Hollywood, dont elle fait la couverture. Sur les photos, qui sont censées être un hommage à Elizabeth Taylor, la star arbore des cheveux courts et pose dans une robe noire, allongée sur un lit.
Mais un détail a irrité certains internautes: la peau de Kim Kardashian semble largement plus foncée que d'habitude. Ils l’accusent donc de blackface et de blackfishing, un terme utilisé pour désigner une personne accusée de faire semblant d’être noire ou métisse.
“Le truc avec l’histoire sans fin de Kim Kardashian et de sa famille avec l’appropriation culturelle et le blackfishing, c’est qu’elle sait ce qu’elle fait. Elles savent toutes. Mais elles continuent de le faire parce que ça fait vendre. Elles continuent de faire parler d’elles en faisant des trucs du genre”, a notamment écrit une utilisatrice de Twitter.
“Ce n’est pas cool ou mignon. Non, je ne suis pas honorée d’être une femme noire. Certaines personnes nous craignent à cause de notre couleur de peau. Ils nous détestent et nous traitent mal. Et vous voulez porter notre couleur de peau comme accessoire?”, a écrit une autre internaute en colère.
Contactée par le magazine britannique The Sun, une porte-parole du magazine a tenu à défendre Kim Kardashian. “C’est la lumière qui la rend plus foncée sur cette image précise, il y a plusieurs couvertures et d’autres photos où l’éclairage semble plus authentique”, a-t-elle déclaré avant d’ajouter: “Les gens sont bien vifs pour trouver le négatif dans tout mais ils oublient aussi qu’elle a des origines arméniennes”.
La star, quant à elle, n’a pas encore réagi à la polémique.
Polémiques à répétition
Ce n’est pas la première fois que Kim Kardashian est accusée de blackface et d’appropriation culturelle. En juin 2017, la couleur de sa peau sur les visuels de sa marque de maquillage KKW Beauty lui déjà valu plusieurs critiques.
Plus récemment, elle a également choisi de changer le nom de sa gamme de lingerie, qu’elle avait d’abord baptisée “Kimono”, après avoir été accusée de s’approprier un élément de la culture japonaise.
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