
À bord du second vol touristique de Blue Origin, l'acteur de 90 ans deviendra le plus vieil astronaute au monde.
Le 12 octobre, il n’ira toujours pas très loin dans l’espace, mais ce second vol de Blue Origin sera symbolique: William Shatner, le capitaine Kirk de la mythique série Star Trek, s’envolera à bord d’un vaisseau spatial.
La startup de Jeff Bezos a confirmé ce lundi 4 octobre que l’acteur de 90 ans fera partie de l’équipage qui montera à bord de la fusée New Shepard, en compagnie de la vice-présidente de Blue Origin, Audrey Powers, d’un ancien ingénieur de la Nasa, Chris Boshuizen, et de Glen de Vries, fondateur d’une startup de logiciels médicaux.
William Shatner deviendra ainsi l’astronaute le plus âgé à avoir séjourné dans l’espace, battant le record établi en juillet par le premier vol de Blue Origin, qui avait emmené en orbite l’aviatrice et astronaute de 82 ans Wally Funk.
“Cela fait longtemps que j’entends parler de l’espace. Je saisis l’occasion de le voir par moi-même. Quel miracle”, a déclaré l’acteur, qui explora la galaxie aux commandes de l’USS Entreprise, le vaisseau spatial de la série Star Trek, dans près de 80 épisodes diffusés de 1966 à 1969.
Une belle opération de communication pour Jeff Bezos et Blue Origin, accusés par des employés début octobre de culture “toxique” et “sexiste”. De nombreux employés signataires d’une tribune affirmaient qu’ils ne “monteraient pas à bord d’un vaisseau de Blue Origin”, et dénonçaient un manque de personnel, de ressources, et une pression extrême pour réduire les coûts et les délais.
“La compétition avec d’autres milliardaires (...) a pris le dessus sur les préoccupations liées à la sécurité qui auraient ralenti le calendrier”, ont écrit les anciens employés, citant notamment le Britannique Richard Branson, fondateur de la société concurrente Virgin Galactic.
Les responsables de Blue Origin sont encouragés à “pousser les employés dans leurs retranchements”, raison pour laquelle certains d’entre eux ont eu “des pensées suicidaires”, soutient le texte. En 2019, le personnel a dû signer des contrats les engageant à ne pas dénigrer publiquement l’entreprise, rappelle la lettre ouverte.
Le 12 octobre, il n’ira toujours pas très loin dans l’espace, mais ce second vol de Blue Origin sera symbolique: William Shatner, le capitaine Kirk de la mythique série Star Trek, s’envolera à bord d’un vaisseau spatial.
La startup de Jeff Bezos a confirmé ce lundi 4 octobre que l’acteur de 90 ans fera partie de l’équipage qui montera à bord de la fusée New Shepard, en compagnie de la vice-présidente de Blue Origin, Audrey Powers, d’un ancien ingénieur de la Nasa, Chris Boshuizen, et de Glen de Vries, fondateur d’une startup de logiciels médicaux.
William Shatner deviendra ainsi l’astronaute le plus âgé à avoir séjourné dans l’espace, battant le record établi en juillet par le premier vol de Blue Origin, qui avait emmené en orbite l’aviatrice et astronaute de 82 ans Wally Funk.
“Cela fait longtemps que j’entends parler de l’espace. Je saisis l’occasion de le voir par moi-même. Quel miracle”, a déclaré l’acteur, qui explora la galaxie aux commandes de l’USS Entreprise, le vaisseau spatial de la série Star Trek, dans près de 80 épisodes diffusés de 1966 à 1969.
Une belle opération de communication pour Jeff Bezos et Blue Origin, accusés par des employés début octobre de culture “toxique” et “sexiste”. De nombreux employés signataires d’une tribune affirmaient qu’ils ne “monteraient pas à bord d’un vaisseau de Blue Origin”, et dénonçaient un manque de personnel, de ressources, et une pression extrême pour réduire les coûts et les délais.
“La compétition avec d’autres milliardaires (...) a pris le dessus sur les préoccupations liées à la sécurité qui auraient ralenti le calendrier”, ont écrit les anciens employés, citant notamment le Britannique Richard Branson, fondateur de la société concurrente Virgin Galactic.
Les responsables de Blue Origin sont encouragés à “pousser les employés dans leurs retranchements”, raison pour laquelle certains d’entre eux ont eu “des pensées suicidaires”, soutient le texte. En 2019, le personnel a dû signer des contrats les engageant à ne pas dénigrer publiquement l’entreprise, rappelle la lettre ouverte.
2 Commentaires
Life
En Octobre, 2021 (21:31 PM)Bon Voyage
En Octobre, 2021 (21:47 PM)Participer à la Discussion