Les «frères» et «sœurs» du Président du Pastef, Ousmane Sonko, dans la cité religieuse de Mame El Hadji Malick Sy, Tivaouane, ont battu le macadam, hier dimanche 5 mars 2023, pour dénoncer fermement «les graves violations des droits des citoyens sénégalais» et «les scandales à répétition qui gangrènent notre jeune nation, qu'est le Sénégal».
Selon les camarades de Ousmane Sonko, dans le département de Tivaouane, «ce Sénégal jadis îlot de paix, de stabilité politique, vitrine de la démocratie dans la sous-région, est en train de traverser aujourd’hui une période sombre de son histoire, marquée par la mal-gouvernance, les malversations financières, la concussion, le népotisme, et surtout l'impunité choquante caractéristique d'une justice partisane à la solde de l’exécutif». Laquelle justice, remarquent-ils, «n'est plus rendue au nom du peuple, mais suivant les desiderata et la volonté d'un homme qui s'appelle Macky Sall».
Pastef les Patriotes du département de Tivaouane dit donc s’ériger en bouclier pour dénoncer «les arrestations arbitraires aux relents purement politiques, la chasse à l’homme des militants de Pastels qui sont traqués, matés et emprisonnés sans raisons valables». Ils alertent l'opinion nationale et internationale sur «les violations manifestes et répétitives des droits humains, de la liberté d'expression et de la cabale contre des opposants et des journalistes libres qui se battent pour une presse libre et indépendante».
Voilà, aux yeux du Secrétaire général de la coordination départementale Pastef de Tivaouane, Babacar Diédhiou, “ce qu’est devenu le Sénégal de Cheikh Anta Diop, de Mamadou Dia”.
“Un Sénégal où la souffrance est le sentiment le mieux partagé”
“Un Sénégal où d’honnêtes citoyens sont opprimés, des journalistes embastillés, des opposants emprisonnés, fustige-t-il. Un Sénégal qui croule sous le poids du coût de la vie ! Un Sénégal où le peuple dans son écrasante majorité est confronté à la cherté de la vie, à la flambée des prix des denrées de première nécessité, du prix de l’électricité, du carburant, du loyer ! Un Sénégal avec une politique sociale qui n'est que le prolongement sur le terrain social d’un clientélisme politique aux fins d'entretenir les militants aux couleurs marron-beige. Un Sénégal où la souffrance est le sentiment le plus partagé. Un Sénégal où les Sénégalais sont tout bonnement fatigués pour reprendre le juge Kéba Mbaye».
«Dans une République les acquis démocratiques obtenus après des décennies de luttes doivent être préservés si on veut pacifier l’espace politique», remarquent les patriotes de Tivaouane, qui refusent d'accepter que «les magistrats-politiciens de Macky Sall exécutent la commande de liquidation du candidat sur qui toute une jeunesse porte son espoir».
Toutefois ils avertissent : «Nous ne jouerons plus à cette comédie politique. Le peuple a déjà choisi son candidat. Et il s'appelle Ousmane Sonko. Personne ne pourra l’empêcher d’être candidat à ces échéances électorales».
Pastef Tivaouane appelle toute l'opposition, la société civile et les mouvements qui se battent pour la liberté et la justice, à «faire bloc pour sauver le Sénégal des dérives de ce régime qui a fini de prouver son incompétence et sa vision limitée du Sénégal». Mais surtout «bouter, en 2024, hors du palais présidentiel l'apprenti dictateur qui en est le locataire actuel».
Selon les camarades de Ousmane Sonko, dans le département de Tivaouane, «ce Sénégal jadis îlot de paix, de stabilité politique, vitrine de la démocratie dans la sous-région, est en train de traverser aujourd’hui une période sombre de son histoire, marquée par la mal-gouvernance, les malversations financières, la concussion, le népotisme, et surtout l'impunité choquante caractéristique d'une justice partisane à la solde de l’exécutif». Laquelle justice, remarquent-ils, «n'est plus rendue au nom du peuple, mais suivant les desiderata et la volonté d'un homme qui s'appelle Macky Sall».
Pastef les Patriotes du département de Tivaouane dit donc s’ériger en bouclier pour dénoncer «les arrestations arbitraires aux relents purement politiques, la chasse à l’homme des militants de Pastels qui sont traqués, matés et emprisonnés sans raisons valables». Ils alertent l'opinion nationale et internationale sur «les violations manifestes et répétitives des droits humains, de la liberté d'expression et de la cabale contre des opposants et des journalistes libres qui se battent pour une presse libre et indépendante».
Voilà, aux yeux du Secrétaire général de la coordination départementale Pastef de Tivaouane, Babacar Diédhiou, “ce qu’est devenu le Sénégal de Cheikh Anta Diop, de Mamadou Dia”.
“Un Sénégal où la souffrance est le sentiment le mieux partagé”
“Un Sénégal où d’honnêtes citoyens sont opprimés, des journalistes embastillés, des opposants emprisonnés, fustige-t-il. Un Sénégal qui croule sous le poids du coût de la vie ! Un Sénégal où le peuple dans son écrasante majorité est confronté à la cherté de la vie, à la flambée des prix des denrées de première nécessité, du prix de l’électricité, du carburant, du loyer ! Un Sénégal avec une politique sociale qui n'est que le prolongement sur le terrain social d’un clientélisme politique aux fins d'entretenir les militants aux couleurs marron-beige. Un Sénégal où la souffrance est le sentiment le plus partagé. Un Sénégal où les Sénégalais sont tout bonnement fatigués pour reprendre le juge Kéba Mbaye».
«Dans une République les acquis démocratiques obtenus après des décennies de luttes doivent être préservés si on veut pacifier l’espace politique», remarquent les patriotes de Tivaouane, qui refusent d'accepter que «les magistrats-politiciens de Macky Sall exécutent la commande de liquidation du candidat sur qui toute une jeunesse porte son espoir».
Toutefois ils avertissent : «Nous ne jouerons plus à cette comédie politique. Le peuple a déjà choisi son candidat. Et il s'appelle Ousmane Sonko. Personne ne pourra l’empêcher d’être candidat à ces échéances électorales».
Pastef Tivaouane appelle toute l'opposition, la société civile et les mouvements qui se battent pour la liberté et la justice, à «faire bloc pour sauver le Sénégal des dérives de ce régime qui a fini de prouver son incompétence et sa vision limitée du Sénégal». Mais surtout «bouter, en 2024, hors du palais présidentiel l'apprenti dictateur qui en est le locataire actuel».
8 Commentaires
Hiii !
En Mars, 2023 (09:21 AM)Il a toujours des mains baladeuses ce mec !
Bayrou vient DSK fait encore un bêtise !!
Joie
En Mars, 2023 (09:25 AM)Tandian
En Mars, 2023 (11:30 AM)Laminata
En Mars, 2023 (11:32 AM)Oussama
En Mars, 2023 (11:34 AM)Mamadou
En Mars, 2023 (11:34 AM)Participer à la Discussion