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Politique

Aliou DIOUCK: Quand le statiscien-économiste explique l'Indicateur de mesure de l’intérêt national (IMIN)

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Aliou DIOUCK: Quand le statiscien-économiste explique l'Indicateur de mesure de l’intérêt national (IMIN)
Aliou DIOUCK est statisticien-économiste-financier. C'est aussi l'homme qui se cache derrière les calculs des résultats des élections. Il est aussi le  directeur Administratif et Financier du Fonds national de la microfinance (FONAMIF) et cadre de Pastef. Dans cette réflexion, il fait part de l'Indicateur de mesure de l'intérêt national ( IMIN).

L’Etat du Sénégal a mis en place depuis juillet 2024 un Comité d’examen des contrats conclus dans des secteurs stratégiques. Ce comité a pour mission d’analyser dans les contrats susvisés, la présence de l’intérêt national ainsi que ses mécanismes de sauvegarde.

Notons qu’il existe des intérêts génériques, valables pour tous les pays, comme l’indépendance nationale, l’intégrité du territoire ou l’exercice de la souveraineté. Ces intérêts s’incarnent pour chaque nation dans des exigences spécifiques. L’intérêt national devient de ce point de vue une notion ancienne et centrale dans le champ des relations internationales.

Par contre, dans un contrat de construction, d’exploitation ou de réhabilitation, l’intérêt national devrait être estimé en fonction des objectifs définis dans le référentiel de politique économique. Il existe en effet, des critères majeurs qui pourraient gouverner la détermination d’un indicateur synthétique de mesure de l’intérêt national dénommé IMIN, un véritable indicateur synthétique d’arbitrage.

Cet indicateur tiendrait compte de quatre critères. Ceux-ci sont l’augmentation des recettes de l’Etat, la baisse du taux de chômage, le niveau de prix du bien ou service produit à travers le contrat et la préservation de l’environnement. Inutile de revenir sur la pertinence de chaque critère. Ils fondent les débats polito-économiques servis dans la presse ou dans les palabres.

Ces critères sont aussi importants les uns que les autres. Il est cependant possible de les classer afin de donner une pondération à chacun d’entre eux. Ainsi, les recettes de l’Etat qui servent aux investissements et au fonctionnement prendrait la première place avec un coefficient de 50%. La création d’emplois gagnerait un poids de 25%. Le niveau de prix du bien ou service produit à travers le contrat se verrait attribué un poids de 15%. La préservation de l’environnement (ou sa destruction) aurait un poids de 10%.

Par la méthode des moyennes ou la méthode des maillons faibles, l’indicateur prend une valeur comprise entre 0 et 100%.

Pour une valeur de l’indicateur supérieure à 70%, l’intérêt national est présente.

Pour une valeur de l’indicateur inférieure à 50%, le contrat est rejeté lors de la phase de contractualisation et rompu s’il est en cours d’exécution.

Pour une valeur de l’indicateur comprise entre 50% et 70%, des négociations supplémentaires sont nécessaires en début de contrat. Si le contrat est en cours d’exécution une révision de celui-ci devient obligatoire et s’impose à l’entreprise contractante ou à la société concessionnaire.

Si une telle méthodologie est adoptée, la concession des autoroutes à péage serait renégociée. Tous les contrats d’exploitation de nos ressources seraient également révisés en raison de la modicité des redevances et de la faiblesse des recettes tirées. Le contrat avec ACWA Power serait résilié comme ce fut le cas. L’ASER aurait tous les droits de rescrire son contrat avec SAGEMCOM.

Pour les contrats de Partenariats public-privé à venir ou en cours de contractualisation, comme le projet de construction de l’autoroute de l’eau, la construction d’un gazoduc, les infrastructures de productions dans les pôles pour la transformation industrielle, la réhabilitation du chemin de fer (Pour le chemin de fer, le colonisateur avait construit un réseau pour piller nos ressources. Il faut donc un nouveau schéma directeur. Ça c’est autre chose et j’y reviendrai), tenir compte de cet indicateur permettrait d’éviter les erreurs du passé.

Afin de donner un caractère obligatoire à l’usage de cet indicateur, une loi d’orientation ou un décret ou un arrêté au moins permettrait d’être plus regardant et plus rigoureux dans le processus de sélection des offres et d’exécution des contrats.


16 Commentaires

  1. Auteur

    Abdallah

    En Novembre, 2024 (14:13 PM)
    M. L'économiste statisticien en chef, dont acte.

    Prenons vos hypothèses et constantes comme objectives, même si je remets en cause les coefficients de pondération.

    Très souvent, de très gros chantiers peuvent être initiés sans que l'État n'y injecté un kopeck.

    Alors, votre IMIN sont le seuil pertinent est de 70% tuent t'il la route?

    J'en doute fort et plusieurs exemples le démontrent.

    Là où je vous rejoins, c'est qu'un indice qui mesure cet intérêt et avantage national serait pertinent à mettre en place pour donner plus davantage à la création d'emplois. La logique comptable et financière ne saurait être 'L'alpha et l'Oméga des politiques publiques.

    Actuellement, l'État a bien plus intérêt à promouvoir la création d'emplois que d'accroître ses recettes surtout en ce qui concerne le secteur d'extraction.
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    • Auteur

      Attention

      En Novembre, 2024 (23:24 PM)

      L’Indicateur de Mesure de l’Intérêt National (IMIN), bien qu’utile pour prioriser les politiques et projets en fonction de leur contribution à l’intérêt national, présente certaines limites qu’il convient de considérer pour en garantir une utilisation optimale. Ces limites peuvent être liées à des contraintes méthodologiques, institutionnelles ou contextuelles.
      1. Limites méthodologiques
      • Caractère subjectif :
      Les pondérations des composantes et les critères d’évaluation peuvent refléter des jugements subjectifs ou biaisés, influençant ainsi les résultats.
      • Complexité de la quantification :
      Certains aspects, comme les bénéfices sociaux ou culturels, sont difficiles à mesurer avec précision, ce qui peut fausser l’évaluation globale.
      • Effets d’interactions ignorés :
      Les interactions entre différents secteurs ou composantes (par exemple, l’impact d’un projet économique sur l’environnement) peuvent être sous-estimées ou non prises en compte.
      • Dépendance à la qualité des données :
      L’IMIN repose sur des données fiables et actualisées, mais des lacunes dans la collecte et la gestion des données peuvent limiter sa pertinence.
      2. Limites institutionnelles
      • Capacités institutionnelles limitées :
      Les institutions responsables de la mise en œuvre et de l’évaluation de l’IMIN peuvent manquer de compétences techniques ou de ressources pour gérer cet outil efficacement.
      • Risque de politisation :
      L’IMIN peut être instrumentalisé à des fins politiques, en biaisant l’évaluation pour favoriser certains projets ou intérêts particuliers.
      • Absence de standardisation :
      Sans un cadre standardisé et clair, l’IMIN peut être interprété de manière incohérente, ce qui limite sa comparabilité entre projets ou secteurs.
      3. Limites contextuelles
      • Manque d’inclusivité :
      L’élaboration de l’IMIN peut exclure certains groupes ou acteurs locaux, entraînant des décisions qui ne reflètent pas pleinement les priorités nationales ou communautaires.
      • Inadaptation aux contextes dynamiques :
      Les priorités nationales évoluent avec le temps (par exemple, en cas de crise économique ou environnementale), et l’IMIN pourrait ne pas s’ajuster suffisamment rapidement à ces changements.
      • Focalisation excessive sur l’intérêt national immédiat :
      L’IMIN peut accorder une importance disproportionnée aux gains à court terme, au détriment des objectifs à long terme comme la durabilité ou l’équité intergénérationnelle.
      4. Limites techniques et opérationnelles
      • Coût élevé de mise en œuvre :
      La création et le suivi d’un IMIN nécessitent des investissements significatifs en temps, ressources humaines et financières, ce qui peut être un obstacle pour des pays en développement comme le Sénégal.
      • Absence de flexibilité :
      Si l’IMIN est conçu de manière trop rigide, il peut être difficile de l’adapter à des projets non conventionnels ou à des innovations émergentes.
      • Sous-évaluation des externalités :
      Certaines conséquences indirectes ou à long terme, positives ou négatives, peuvent être négligées dans l’évaluation.
      5. Limites liées à l’acceptation et à l’utilisation
      • Manque de transparence :
      Si les méthodologies ou les résultats de l’IMIN ne sont pas communiqués de manière transparente, cela peut générer une méfiance de la part des parties prenantes.
      • Risque de non-appropriation :
      L’indicateur peut être perçu comme un outil imposé ou bureaucratique, ce qui peut décourager son adoption par les décideurs ou les acteurs locaux.
      Conclusion et recommandations
      Pour atténuer ces limites, plusieurs solutions peuvent être envisagées :
      1. Impliquer les parties prenantes : Assurer une participation inclusive lors de la conception de l’IMIN pour refléter les priorités locales et nationales.
      2. Renforcer les capacités institutionnelles : Former et équiper les acteurs impliqués dans la gestion et l’évaluation de l’indicateur.
      3. Mettre à jour régulièrement l’indicateur : Réviser périodiquement les critères et pondérations pour refléter les changements contextuels.
      4. Assurer la transparence et l’intégrité : Publier les résultats et méthodologies de manière claire et accessible pour renforcer la confiance.
      5. Complémentarité avec d’autres outils : Utiliser l’IMIN comme un outil parmi d’autres pour une évaluation complète et équilibrée.
      L’IMIN peut être un levier stratégique, mais son succès dépend de sa conception rigoureuse et de son adaptation aux spécificités locales.


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  2. Auteur

    Matar Sonko

    En Novembre, 2024 (14:41 PM)
    Je pense qu'il est tout à fait indiqué de disposer d'un tel outil pour rendre neutre les décisions politiques d'investissements. Cependant, pour moi l'intérêt national doit plutôt se rapporter en priorité à la part des entreprises nationales dans le financement. Je ne sais si elle est prise en compte et dans quelle rubrique ? Parce que pour moi, tôt ou tard l'Etat doit se confiner dans son rôle régalien de régulation des affaires. Son financement doit être orienté vers le faire faire avec une nette préférence nationale.
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    • Auteur

      Kiki

      En Novembre, 2024 (16:46 PM)
      Merci mon frere. Kham kham mon woor. Tu ne verras pas des centaines de commentaires ici car c pas des faits divers. Il est temps de mettre en avant les sachants
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    Auteur

    En Novembre, 2024 (14:58 PM)
    Sénégal a dit au revoir à l économie et développement ça ne sera pas ici 20100 , avec ces tatonants sur tous les domaines
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    • Auteur

      Reply_author

      En Novembre, 2024 (15:44 PM)
      Quand on n’a pas des arguments objectifs, on joue les Ouse aux de mauvaise augure. Le Senegal est sur une pente ascendante depuis qu’on s’est débarassé des voleurs qu’on avait comme dirigeant qui ont volé des milliards jusqu’à voler 100 véhicules de la présidence.
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    Auteur

    En Novembre, 2024 (15:24 PM)
    Voilà un petit farceur qui nous fait croire qu'il a inventé l'eau chaude .

    Continuez à écouter des nullards de ce genre et vous mangerez des cailloux .

    Monsieur l'ingénieur statisticien économiste , l'analyse économique des projets est plus vieille ( excuses moi si tu le prends mal) que probablement que ton grand père donc s'il te plait si tu n'as rien d'autre à proposer que cet "indice" alors tais toi .
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    • Auteur

      Reply_author

      En Novembre, 2024 (15:48 PM)
      Les défaites presidentielles et législatives font encore très mal à certains. Les gars, sauvegardez votre tension arterielle et votre santé cardiaque. Le pays va aller de l’avant ne vous en déplaise.

      Buvez de la glace, ça vous raffraichira le coeur.
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    • Auteur

      Reply_author

      En Novembre, 2024 (01:41 AM)
      15:58 vous croyez que la vie se reduit à la politique politicienne. Je t'apprends que je m'en fous royalement des résultats électoraux . Quant à vous qui croyez que vous serez éternellement " au pouvoir" , je t'apprends que plus on monte , plus la chute sera mortelle
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    Auteur

    Pathe

    En Novembre, 2024 (15:27 PM)
    une belle contribution mr DIOUCK

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    Auteur

    Teddy

    En Novembre, 2024 (15:32 PM)
    Monsieur Diouck fait un travail scientifique ensuite il le soumet au décideurs et basta.

    Il a été clair, net et précis dans son exposé.
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    Auteur

    En Novembre, 2024 (17:06 PM)
    Les limites du caractère scientifique de cet indicateur

    Lorsque nous analysons une méthodologie comme celle de l'IMIN (Indicateur de Mesure de l’Intérêt National), il est essentiel d’en identifier les forces mais aussi les limites scientifiques. Voici trois points critiques à prendre en compte :

    1️ - Absence de validation empirique :

    La méthodologie proposée manque d’exemples concrets où l’IMIN aurait été testé et validé. Sans application pratique, il est difficile de mesurer son efficacité et sa pertinence face aux défis réels.

    2️ - Pondérations arbitraires :

    Les coefficients attribués aux critères (50% pour les recettes de l’État, 25% pour l’emploi, etc.) semblent subjectifs et ne reposent pas sur une analyse multicritères ou des données empiriques. Une approche plus rigoureuse, basée sur des études ou des consultations d'experts, renforcerait leur fiabilité.

    3️ - Manque de références académiques :

    Un texte à visée scientifique devrait s'appuyer sur des recherches ou des travaux antérieurs. En l'absence de telles références, la proposition reste davantage normative qu'analytique.

    L'idée de l'IMIN est innovante et prometteuse, mais pour gagner en légitimité scientifique, il faut enrichir cette méthode par des études empiriques, une pondération justifiée et des citations de travaux existants. Seule cette rigueur renforcera sa crédibilité et son applicabilité. Si on sent derrière de la politique politicienne



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    Auteur

    G.d

    En Novembre, 2024 (18:07 PM)
    Un effort intellectuel à saluer. Très patriotique et génereux aussi.

    L' outil reste à parfaire, à mon humble avis. Se serait chimerique de croire, en l'etat actuel du savoir, qu'une clé magique puisse ouvrir toutes les portes, ou qu'un vaccin unique puisse contrer toutes les infections virales et microbiennes ! Les projets sont différents, même si en apparence ils présentent des similutudes. L'outil de mesure devrait être moins subjectif, tenir compte de la volatilité et de l'évolution de la situation géopolitique et parfois sanitaire, du pays d'origine, etc..Enfin, il ne faudrait surtout pas s'empresser de l'implementer comme outil de reference sans une étude plus appronfondie, de mesure, contre mesure, simulation, projection...
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    Auteur

    En Novembre, 2024 (19:04 PM)
    Les grieux qui se disent scientepjiques en économie feront plus de mal aux Sénégalais que les dirigents qui ignorent de tous apart populisme
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    Auteur

    En Novembre, 2024 (20:40 PM)
    Derrière un merdeux enkuleur de gamine, ça ne vaut rien !!
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    Auteur

    En Novembre, 2024 (08:20 AM)
    Il est extrêmement risqué d'utiliser un indicateur de manière décisionnelle pour statuer sur les projets de la République. Des initiatives stratégiques, comme le projet Ila Touba, pourraient être rejetées en raison de cet outil, alors même qu’elles répondent à des besoins essentiels qui dépassent la rentabilité immédiate. Certains investissements, bien qu’apparemment non rentables à court terme, sont indispensables pour des raisons telles que l’équité territoriale, la sécurité ou le développement à long terme.

    Il est essentiel de saluer les efforts de recherche ayant conduit à la création de cet indicateur et de continuer à les approfondir dans les universités et les laboratoires. Cependant, ces outils doivent être utilisés avec prudence et ne pas servir à imposer des mesures qui pourraient compromettre l’avenir du pays. Les décisions doivent s’appuyer sur une vision stratégique globale, prenant en compte l’intérêt général au-delà des analyses purement financières.



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    Auteur

    En Novembre, 2024 (10:45 AM)
    Il a une curiosité
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    Auteur

    En Novembre, 2024 (10:58 AM)
    C'est ça qu'on appelle usurpation d'identité. Mamadou Yauck est celui qui a permis de mettre en place toute cette technique pour le calcul des résultats électoraux.
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    Auteur

    En Novembre, 2024 (10:58 AM)
    C'est ça qu'on appelle usurpation d'identité. Mamadou Yauck est celui qui a permis de mettre en place toute cette technique pour le calcul des résultats électoraux.
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    En Novembre, 2024 (10:58 AM)
    C'est ça qu'on appelle usurpation d'identité. Mamadou Yauck est celui qui a permis de mettre en place toute cette technique pour le calcul des résultats électoraux.
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    Auteur

    En Novembre, 2024 (15:27 PM)
    Je connais un certain Monsieur Mamadou Youck, membre de Moncap, qui réside actuellement aux États-Unis. Il a réalisé un travail similaire en développant plusieurs applications, notamment une pour la collecte des votes lors des élections, ainsi que des indicateurs pour l'élaboration du Projet Sénégal Horizon 2050. Le problème est que je ne vous ai pas connu à Moncap. Cependant, Pastef reste ouvert à toute nouvelle adhésion et à l’échange d’idées. Je tiens néanmoins à féliciter Monsieur Diouck pour le travail qu’il a accompli. Moncap a mené un effort solide et ardu, particulièrement dans les moments les plus difficiles.
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