
Le Président Macky Sall a demandé au ministre de la Justice de trouver la meilleure formule pour amnistier certains acteurs politiques ayant été déchus de leur droit de voter et de se faire élire.
Les regards se sont vite tournés vers Karim Wade et Khalifa Sall. Ces derniers sont privés de ces droits depuis leur condamnation ferme pour, respectivement, enrichissement illicite et détournement de deniers publics. Ils ont été par la suite graciés par le chef de l'Etat, mais ils n'ont pas recouvré la possibilité de participer à des élections comme électeurs ou comme candidats.
L’ancienne Première ministre Mimi Touré a assimilé ce projet de projet de loi à «un deal politique». Me Oumar Youm lui a porté la réplique. «En démocratie, les opinions sont librement exprimées. Il faut accepter la diversité et les différences qui sont souvent ni profondes ni réelles, mais conjoncturelles pour ne pas dire contextuelles», suggère dans L’Observateur le président du groupe Benno à l’Assemblée nationale.
Il poursuit : «Le contexte est souvent le meilleur paramètre d’appréciation de la qualité ou de la véracité d’une opinion émise. Il n’y a jamais d’opinion neutre. Si c’est un deal, c’est heureux de constater qu’il n’est fait contre personne ni au profit de personne, si ce n’est la vitalité de la démocratie sénégalaise qui en profite.»
Me Oumar Youm estime que «l'instruction donnée par le président de la République (constitue) un prolongement du dialogue». Qu'elle «est dans le sillage de notre culture de pardon et de dépassement qui caractérise notre grand peuple».
Les regards se sont vite tournés vers Karim Wade et Khalifa Sall. Ces derniers sont privés de ces droits depuis leur condamnation ferme pour, respectivement, enrichissement illicite et détournement de deniers publics. Ils ont été par la suite graciés par le chef de l'Etat, mais ils n'ont pas recouvré la possibilité de participer à des élections comme électeurs ou comme candidats.
L’ancienne Première ministre Mimi Touré a assimilé ce projet de projet de loi à «un deal politique». Me Oumar Youm lui a porté la réplique. «En démocratie, les opinions sont librement exprimées. Il faut accepter la diversité et les différences qui sont souvent ni profondes ni réelles, mais conjoncturelles pour ne pas dire contextuelles», suggère dans L’Observateur le président du groupe Benno à l’Assemblée nationale.
Il poursuit : «Le contexte est souvent le meilleur paramètre d’appréciation de la qualité ou de la véracité d’une opinion émise. Il n’y a jamais d’opinion neutre. Si c’est un deal, c’est heureux de constater qu’il n’est fait contre personne ni au profit de personne, si ce n’est la vitalité de la démocratie sénégalaise qui en profite.»
Me Oumar Youm estime que «l'instruction donnée par le président de la République (constitue) un prolongement du dialogue». Qu'elle «est dans le sillage de notre culture de pardon et de dépassement qui caractérise notre grand peuple».
7 Commentaires
Nafékh
En Octobre, 2022 (15:41 PM)Reply_author
En Octobre, 2022 (16:02 PM)S G
En Octobre, 2022 (15:42 PM)Thales
En Octobre, 2022 (15:53 PM)Ça va être très serré
Participer à la Discussion