
Le député Ismaëla Diallo a jeté un pavé dans la mare ce jeudi 13 mars 2025, lors d’une plénière de la session ordinaire unique 2024-2025 à l’Assemblée nationale. Dans une charge sans détour, il a réclamé le limogeage de certains parlementaires, dont l’ancien Premier ministre Amadou Ba, pour absentéisme chronique. S’appuyant sur l’article 104 du règlement intérieur, il a rappelé que « lorsqu’un député, sans excuse légitime, manque à ses obligations au cours d’une session ordinaire, son identité parlementaire peut être suspendue sur-le-champ, voire entraîner une démission d’office ».
Pour Ismaëla Diallo, cette mesure doit s’appliquer sans compromis. « Au nom de la rupture promise, il est inadmissible que des élus payés par le peuple, comme Amadou Ba et d’autres, brillent par leur absence, ni en commission ni en plénière. Je vous invite, Monsieur le Président, à prendre les dispositions nécessaires », a-t-il lancé avec fermeté.
9 Commentaires
Ces nouveaux élus se croient vraiment tout permis
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il y a 8 heures (12:56 PM)L'Assemblée Nationale est le plus grand dortoir du pays, pour les absences c'est la faute aux cérémonies bidons que ces députés adorent.
Apr=ande Poupe Réwmi
il y a 8 heures (12:39 PM)Reply_author
il y a 8 heures (12:46 PM)Zeund
il y a 8 heures (12:44 PM)Les préoccupations du peuple sont le cadet de leurs soucis vu les présumées malversations financières dans lesquelles ils sont trempés de la pointe des pieds jusqu'à la moelle épinière..
Il sait lui aussi que bess bou rafet lay khar je veux dire son tour chez le coiffeur de Procureur financier
Nianthio
il y a 6 heures (14:15 PM)Manou
il y a 6 heures (15:03 PM)Ego Trip
il y a 3 heures (17:29 PM)Une partie du salaire pourrait être retenue pour chaque jour d’absence non justifiée, par exemple un pourcentage du salaire mensuel. Le montant pourrait augmenter en fonction du nombre d'absences non justifiées dans un mois ou une session.
Au-delà d’un certain nombre d’absences injustifiées, des sanctions plus sévères, comme des amendes supplémentaires ou la réduction de certaines indemnités, pourraient être mises en place.
Après un certain nombre d'absences non justifiées, le député pourrait être suspendu de certaines fonctions parlementaires (par exemple, les droits de parole pour une période déterminée).
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