Samedi, Seneweb révélait la tournure tragique d’une bagarre soldée par la mort d’un jeune et d’un blessé grave, au village de Mamadou Guiro, dans la région de Kolda. Dans sa livraison de ce mardi 17 septembre, L’Observateur révèle que la gendarmerie, qui a ouvert une enquête, a mis la main sur trois individus.
Qu’est-ce qui s’est passé ? Selon des témoins, repris par le journal du Groupe futurs médias, tout est parti d’une soirée dansante organisée dans une des concessions du village : « Informés, des jeunes du village voisin de Sinthiang Siring décident de se joindre à la fête ». Mais, les choses ne vont pas tarder à dégénérer. Et pour cause, souligne le quotidien d’information, « très vite, le ton monte, des voix se lèvent, tirant certains parents de leur sommeil » dont T. Seydi, un notable du visage. Qui « vient aux nouvelles et somme les jeunes, sur un ton autoritaire, de mettre fin à la soirée dansante » avant « d’ordonner à ceux de Sinthiang Siring de rentrer chez eux. »
Ces derniers font semblant de s’exécuter car affirme L’Observateur, « [ils] se retranchent dans les buissons, attendant que les parents rejoignent leur domicile, pour revenir sur leurs pas, et se poster à hauteur de l’école élémentaire », invitant les jeunes du village de Mamadou Guiro, « à solder leurs comptes s’ils sont de vrais hommes ». Ces derniers, piqués dans leur orgueil, relèvent le défi. La bagarre éclate. « Sourd-muet ayant perdu l'usage de ses membres supérieurs, Idrissa Seydi, 24 ans, va, malgré son handicap, chercher à s'interposer pour stopper les hostilités. Il sera mortellement atteint par deux coups de couteau au cou et à l'abdomen », décrit L’Observateur. Qui indique que la victime, se vidant de son sang, décédera avant même son évacuation.
Hamadou Baldé, qui tentait de lui venir en aide sera à son tour poignardé à l'avant-bras droit. Grièvement blessé, ce proche du défunt est admis aux urgences de l'bôpital régional de Kolda, souligne L’Observateur.
Qu’est-ce qui s’est passé ? Selon des témoins, repris par le journal du Groupe futurs médias, tout est parti d’une soirée dansante organisée dans une des concessions du village : « Informés, des jeunes du village voisin de Sinthiang Siring décident de se joindre à la fête ». Mais, les choses ne vont pas tarder à dégénérer. Et pour cause, souligne le quotidien d’information, « très vite, le ton monte, des voix se lèvent, tirant certains parents de leur sommeil » dont T. Seydi, un notable du visage. Qui « vient aux nouvelles et somme les jeunes, sur un ton autoritaire, de mettre fin à la soirée dansante » avant « d’ordonner à ceux de Sinthiang Siring de rentrer chez eux. »
Ces derniers font semblant de s’exécuter car affirme L’Observateur, « [ils] se retranchent dans les buissons, attendant que les parents rejoignent leur domicile, pour revenir sur leurs pas, et se poster à hauteur de l’école élémentaire », invitant les jeunes du village de Mamadou Guiro, « à solder leurs comptes s’ils sont de vrais hommes ». Ces derniers, piqués dans leur orgueil, relèvent le défi. La bagarre éclate. « Sourd-muet ayant perdu l'usage de ses membres supérieurs, Idrissa Seydi, 24 ans, va, malgré son handicap, chercher à s'interposer pour stopper les hostilités. Il sera mortellement atteint par deux coups de couteau au cou et à l'abdomen », décrit L’Observateur. Qui indique que la victime, se vidant de son sang, décédera avant même son évacuation.
Hamadou Baldé, qui tentait de lui venir en aide sera à son tour poignardé à l'avant-bras droit. Grièvement blessé, ce proche du défunt est admis aux urgences de l'bôpital régional de Kolda, souligne L’Observateur.
4 Commentaires
Le Sage
En Septembre, 2024 (12:57 PM)Avec ces bagarres,les morts dans les océans et sur les routes,la MORT devient de plus en plus BANAL.
Si rien n est fait,nous arriverons a un moment où,avec la PROLIFERATION des armes a feu,chacun réglera son compte comme il l entende.
Croire que l effet dissuasif d une peine de prison,aussi lourde soit elle,pourra venir à bout de ce phénomène,est une erreur monumentale.
La prévention peut réduire de plus de moitié,toute cette violence.
Moi je pense que ces parties de soirées dansantes n existe plus au Sénégal
Ceux qui ont organisé cette soirée avait ils une autorisation de l autorités administratives
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