La dissolution de l’Assemblée nationale est un moment où la vie institutionnelle s’arrête, presque. Ce vide institutionnel a forcément des répercussions sur le budget.
Mais le constitutionnaliste Ameth Ndiaye pense que le péril est évitable. « Il y a des procédures. Il faut convenablement mettre sur orbite ces élections, pour avoir un budget ».
En effet, le Pr. Ndiaye, face au "Jury du dimanche" d'iRadio, pense que « même si le budget est décalé de quelques jours, techniquement et financièrement, cela ne poserait pas de difficultés majeures pour la continuité de l’État ».
Cependant, il souligne « une rupture dans le fonctionnement régulier de nos institutions. Il n’y a qu’un seul mot d’ordre dans le pays : c’est la perspective des élections législatives. Même en France où nous avons une Assemblée bicamérale avec deux chambres, lorsque l’Assemblée est dissoute, le Sénat ne travaille pas et gèle ses activités ».
3 Commentaires
Djiakhle na lol lol.
Deugeur fit rek
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En Septembre, 2024 (18:20 PM)Quantbusiness
En Septembre, 2024 (19:10 PM)Nous assistons bel et bien a une impasse institutionnelle et je me pose des questions sur ses ramifcaions concernant la contre perfoamnce de l'economie du Senegal (deux trimestres consecutifs de baisse du PIB).
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