
Sur ce, elle a insisté sur le rôle du Comité technique national pour l’élimination des Vbg qui, conformément, aux directives du Chef de l’Etat, va poursuivre le renforcement du cadre juridique pour l’élimination des violences faites aux femmes, aux filles et aux enfants avec, à la clé, trois mesures phare.
Il s’agit d’abord du relèvement de l’âge du mariage de la fille de 16 à 18 ans conformément à la Charte africaine des droits et du bien-être de l’Enfant et du Protocole de Maputo relatif aux droits des femmes en Afrique, ensuite de la capacité des associations reconnues d’utilité publique dont l’objet statutaire comporte la lutte contre de telles violences, d’ester en justice et de se constituer partie civile, en cas de violences faites aux femmes et aux enfants et enfin, l’inclusion de la problématique des Vbg.
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